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Rooftops partie 1

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 16/09/2024

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ROOFTOPS
partie 1
Je suis arrivé dans la région il y a plus de vingt ans. Sans savoir ce qui m'attendait d'extraordinaire. Un département rural, j'y avais été muté. Le problème c'était qu'il me fallait trouver un appartement. Quelque chose qui me convienne, et pas un taudis. J'ai pas mal tâtonné avant de découvrir, à l'époque il y avait des journaux de petites annonces, c'était avant que le net n'explose vraiment, une proposition pour un appartement sympathique. Grand, clair. Dans un grand immeuble en L. Un vieil immeuble qui avait été partiellement refait, avec plusieurs entrées. C'était une ancienne usine, et il y avait encore des vestiges, des salles qui marquaient la trace de l'usine. C'était quelque chose de labyrinthique et je n'avais même pas cherché à l'explorer. Le propriétaire m'en avait présenté quelques aspects, sans plus.
Je suis arrivé, je me suis installé, j'ai eu énormément de choses à faire, et un mois est passé avant que je n'aie l'idée, sans doute parce que c'était mon premier moment de libre, d'explorer l'immeuble.
Comme j'ai pu m'en rendre compte en m'avançant dans les couloirs, il y avait vraiment un aspect labyrinthique. Il y aurait pu y avoir simplement des couloirs, mais c'était en plus une multitude de passages courts, d'escaliers de quelques marches...Tout se recoupait, tout se retrouvait, et je me suis promis de faire une cartographie des lieux.
C'était un samedi après-midi, calme, et c'est comme ça que j'ai trouvé la jeune femme. J'avais suivi une volée de trois marches, il y avait un palier, qui donnait sur deux passages, je me demandais même si j'allais pouvoir me retrouver...Bon j'avais le week-end, et plutôt une bonne mémoire....Il y avait encore une volée de marches.
Je suis monté plus haut.
Et je l'ai trouvée là.
C'est peu de choses que de dire que j'ai été surpris.
En haut de la dernière marche, il y avait une fille assise.
Une fille magnifique, et à moitié nue.
J'ai pensé un instant avoir une hallucination.
Avant de me dire que non. Elle était bien réelle.
Elle était cinq marches en dessous de moi, mais elle ne m'a pas aperçu dans un premier temps. Elle avait la tête ailleurs.
C'était vraiment une très jolie femme. Elle était blonde, avec des cheveux mi-longs, et un visage que ces cheveux mi-longs mettaient en évidence, bien dessiné, avec de grands yeux et des pommettes hautes, ainsi qu'une bouche pleine et sensuelle.
Elle était à moitié nue. Mais pas dans le sens où on l'aurait imaginé. C'est-à-dire qu'elle n'avait pas le torse nu, mais le bas. C'était vraiment troublant. Il y avait donc une veste de tailleur, rouge, avec dessous sa peau nue, mais un soutien-gorge de la même teinte enveloppait une poitrine qui semblait lourde. La veste s'arrêtait juste en dessous du nombril, et son ventre et ses jambes étaient nues, enfin ce n'était pas tout à fait le cas, puisque des bas stay-up enveloppaient ses jambes jusqu'à mi-cuisses. Elle avait des escarpins avec des talons aiguille d'une bonne dizaine de centimètres.
De la manière dont elle était assise, ses jambes pas croisées ou ramenées, j'avais une vision parfaite de son sexe. Un sexe totalement imberbe, une fente comme une découpe ou une déchirure dans son ventre, dont sortaient deux bouts généreux de lèvre. Et juste en dessous, les plissements de son anus.
Elle est revenue à la réalité. S'est rendue compte que j'étais là. Elle n'a pas du tout été effarouchée. Au contraire, elle m'a dit, en souriant:
— Viens, j'ai envie de me faire lécher la chatte. Tu t'en sens capable?
Tout dans cette situation était irréel. Cette fille qui sortait de nulle part, je ne savais même pas qui elle était. Une voisine? J'avais fait le tour de tous les voisins, pour me présenter, je ne l'avais pas rencontrée. Une amie qui rendait visite à une voisine le week-end? Pourquoi pas...Et qui se retrouvait cul nu? Une fille qui ne me connaissait même pas, et me proposait de lui lécher la chatte...Et pourtant, il me semblait bien que j'étais éveillé.
Je n'ai pas eu l'ombre d'une hésitation. Elle était magnifique, et il est des propositions qu'on ne refuse pas. J'ai remonté les quelques marches qui me séparaient d'elle, et je me suis positionné juste en dessous d'elle, dans une bonne position pour un cunni. Un ventre de fille offert...Hmmm...C'était bon. Je me penchais sur elle quand un filet de mouille à coulé, au bas de son sexe, qui a commencé à se dilater. Je suis venu le laper alors qu'il courait sur sa chair, descendant vers son anus. Elle a poussé un petit gémissement. Un processus magique s'était enclenché, et alors que je parcourais son sexe, et que je poussais autour, il s'est métamorphosé sous mes yeux. Ses liquides se sont mis à sortir, de plus en plus abondants, ses lèvres se sont allongées et leur chair a gonflé, et son gland clitoridien s'est décalotté, un petit bout de chair fin mais qui s'est mis à s'allonger. Le nez de Pinocchio s'allongeait quand il mentait, son gland clitoridien à mesure que je tournais sur ses chairs intimes aussi.
Je ne devais pas être si mauvais que ça, parce que la fille, qui m'avait paru, quand je l'avais regardée dans les premières secondes, indifférente, était à présent transfigurée de plaisir. Yeux clos, gémissant, elle était basculée en arrière, appuyée sur le palier derrière elle, ventre poussé vers moi, les cuisses ouvertes au maximum pour me donner toute la surface de son ventre. Ses jus intimes ruisselaient sur sa chair et dans ma bouche. J'ai tendu ma main vers le pantalon de survêtement que je portais et qui me comprimait, et je l'ai descendu, en même temps que mon caleçon...Ma queue était gorgée de sang, et j'avais l'impression qu'elle n'avait jamais été aussi grosse. Je l'ai sentie collée contre mon ventre, toute raide.
Mes gestes ne lui avaient pas échappé, car elle m'a dit :
— Tu as envie de venir dans mon ventre ?
Je n'y avais pas vraiment pensé. On était dans une drôle de situation. Pas vraiment confortable, et puis quelqu'un risquait de nous surprendre. Mais quand on a vraiment envie... On est portés, et le reste passe au second plan. En fait, j'avais le sentiment qu'il y avait quelque chose de magique dans cette histoire et qu'on ne nous surprendrait pas. Un peu comme si on avait basculé dans une dimension parallèle.
J'avais pris son gland clitoridien dans ma bouche et je le suçais doucement. Elle gémissait, gardant le contrôle à grand peine. Elle est pourtant parvenue à extirper quelque chose de son soutien-gorge. C'était un emballage doré et carré, celui d'un préservatif. Elle l'a déchiré, puis elle a dit:
— Montre-moi ta queue, que je le mette dessus.
Je me suis décalé, laissant sa chatte dégoulinante, et je lui ai présenté ma queue.
— Hmmmm, tu as une queue comme je les aime, grosse et dure. J'ai envie de sexe. Et avec un partenaire comme toi, ça sera plutôt bien.
Dire que dix minutes plus tôt, j'explorais les lieux, en n'attendant rien d'autre que de découvrir un immeuble plein de charme, et avec uniquement en tête l'idée de faire un plan pour mieux me repérer lors d'explorations ultérieures.
Elle a fait glisser le latex le long de ma queue, et l'a descendu quasiment jusqu'à la racine de ma queue. Deux secondes plus tard, mon visage proche du sien, je faisais glisser ma queue entre les lèvres de son sexe et je m'enfonçais dans la gaine de sa vulve, avec la délicieuse sensation d'être caressé par quelque chose de délicat comme le plus subtil des tissus. Elle me mordait la bouche, et il y avait dans son expression quelque chose de radieux qu'il n'y avait pas alors qu'elle attendait je ne savais quoi. Je me demandais d'ailleurs comment ça se faisait qu'elle se soit trouvée là le ventre nu...Expulsée d'un appartement. Je devais le découvrir par la suite, la réalité était bien autre.
Son regard s'est révulsé, et elle s'est mise à jouir, en lâchant un classique:
— Oh, mon Dieu...
Et puis une série de 'Mon Dieu, mon Dieu, mon Dieu...' parce que l'orgasme se démultipliait et se répétait...Moi j'arrivais au bout du contrôle de ce que je pouvais tenir, et je me suis mis à jouir...Mon sperme jaillissant dans le préservatif et venant cogner contre sa muqueuse vaginale a déclenché une nouvelle série d'orgasmes.
Ca avait été vraiment bon...Dans un contexte aussi décalé...Mais c'était peut-être le fait que ce soit aussi décalé qui avait fait que ça ait été aussi bon.
Je me suis redressé, encore dans ma jouissance, j'ai redescendu trois marches, et je me suis réajusté, dans un réflexe de pudeur.
Quand je me suis retourné, elle avait disparu.
Un rêve? J'avais perdu la raison pour quelques instants ? 
J'ai mieux compris une semaine plus tard.
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Histoire de JamesB

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