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Rooftops partie 2

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 16/09/2024

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ROOFTOPS
partie 2
C'est le week-end suivant que j'ai décidé de poursuivre mon exploration des lieux. Cet immeuble me plaisait J'y sentais la présence du passé, surtout dans les pièces où il restait du matériel industriel. On fabriquait ici autrefois, je l'avais appris, et jusqu'en 1967, des moulins à café, qui partaient à travers la France et le monde, pour une marque aujourd'hui disparue. Je pensais aux générations disparues. Ils avaient vécu, travaillé, aimé, eu une famille, une vie quotidienne, et ils étaient aujourd'hui morts. Ils avaient eu leur temps, comme chacun d'entre nous avait le sien.
Et puis je suis tombé sur ce grand escalier. Dont j'ai compris qu'il menait au toit.
Je ne m'attendais certainement pas à trouver sur le toit ce que j'y ai trouvé.
Il était dix-neuf heures, et c'était samedi soir.
J'ai repensé à la fille du samedi précédent. Que je n'avais pas revue dans l'immeuble. Présence réelle, fantôme, hallucination? Je croyais aux forces de l'ombre.
Il y avait une porte métallique. Je pensais qu'elle était condamnée. Pourtant, elle s'est ouverte quand je l'ai tirée, et c'était normal.
Je me suis avancé et j'ai basculé dans un autre monde.
Dans la vie, on ne regarde pas autour de soi, et on ne voit pas ce qui est autour de soi. Je n'avais pas eu l'idée de regarder vers les toits, depuis que j'étais installé. Pourquoi l'aurais-je eue d'ailleurs? On s'arrête rarement à regarder, du bas vers le haut, et ce qu'on va voir, logiquement, est très limité.
Cette partie de la ville était faite de cinq immeubles de la même taille, et qui, à voir leur architecture, avaient du être construits à la même époque. J'imaginais bien, sans le savoir, puisque celui où j'étais était une ancienne usine, un groupe d'immeubles, qui aurait englobé celui où on fabriquait, celui où on stockait, et des bâtiments d'habitation. Juste après, sur la gauche, il y avait un petit passage, et on basculait sur un ensemble totalement différent, une grande place.
Je savais qu'il y avait souvent des aménagements sur les toits. C'était bien le cas ici, et de manière surprenante. Il y avait en effet, sur les toits des cinq immeubles, des constructions, plus étroites que l'immeuble lui-même, des aménagements construits eux aussi, avec des murs, mais une façade ouverte, et un toit, tout en laissant de la place autour, pour pouvoir se déplacer à l'air libre.
Le plus surprenant, c'était qu'il y avait un moyen de passer entre les immeubles. En effet des passerelles métalliques pouvaient se déplier, permettant d'aller d'un bâtiment à l'autre. Un passage suffisamment large, avec des rambardes.
Et sur ces toits, il y avait des dizaines de personnes. Qui parlaient, riaient, mangeaient, buvaient et flirtaient, un flirt qui pouvait aller très loin. Mais il y avait, sous ces constructions du mobilier, des tables, avec boissons et victuailles, mais aussi des canapés sur lesquels on pouvait s'ébattre.
Je suis resté un moment à regarder. Témoin, ici, d'un mélange de beauté, et d'élégance. Les femmes avaient des robes de soirée et les hommes de beaux costumes, des smokings, mais pas que...
Je me suis dit que je n'avais rien à faire ici. J'avais juste un jean et une chemise, et il émanait d'eux une telle grâce...D'ailleurs à y bien réfléchir, la jeune femme avec qui j'avais eu un rapport très bref l'autre jour correspondait bien à ces critères. Une sorte d'élite.
J'allais repartir quand une jeune femme s'est approchée de moi. Elle était magnifique. Grande, plus grande que moi, elle était brune. Un visage d'une rare beauté, et un corps longiligne, enveloppé dans un magnifique fourreau. Elle avait à la main deux coupes de champagne. Elle m'a fait un immense sourire.
— Bonsoir, bienvenue parmi nous.
Et elle m'a tendu une coupe de champagne.
— Désolé, j'ai dit...Je ne voulais pas vous déranger...Et je ne suis pas en tenue...
— Ca n'a aucune importance. Vous savez, ici, nous cooptons les gens. Et tout le monde est accepté. Si je vous coopte, personne ne dira rien.
On a trinqué, et j'ai goûté le champagne. Un nectar. Il n'avait pas du être acheté au supermarché du coin.
— Venez, je vais vous présenter quelques amis.
J'ai été entraîné dans un défilé, qui m'a permis de rencontrer des hommes et des femmes tous charmants, spirituels, magnifiques. Assez curieusement, mon malaise s'est rapidement dissipé. Je me sentais bien ici, et surtout totalement accepté, ce qui n'avait pas toujours été le cas dans ma vie.
Il y a eu un moment, je ne savais pas depuis combien de temps j'étais ici, où ça a basculé. Elle m'avait entraîné vers un coin du toit plus calme, la nuit était tombée, mais il y avait des sources de lumière, qui ménageaient des zones d'ombre il est vrai. On était entre les deux, quand elle m'a dit:
— Viens, j'ai très envie de toi.
Elle a glissé ses mains dans son dos et elle a du défaire un bouton, une série de boutons. Sa robe s'est effacée, elle a glissé au sol, dévoilant un corps de femme somptueux, tout en courbes. Elle était fine, mais avec des formes bien marquées là où on pouvait en rêver.
Je n'étais pas aveugle, et j'avais bien remarqué, tout au long de la soirée, que des couples s'étaient formés, et qu'ils se donnaient l'un à l'autre en toute impudeur. C'en était d'ailleurs impressionnant. Et cela ne gênait personne. Mais je voyais très bien aussi, qu'ici, et cette certitude s'ancrait plus en moi à chaque seconde, il y avait des règles, une ambiance autre que celle que je connaissais.
J'avais vu...Une fille assise sur un homme, le couple calé sur un canapé. Elle aussi portait une robe, mais elle l'avait retroussée à sa taille, et elle se faisait aller et venir sur son sexe. J'avais regardé avec fascination le sexe aller et venir dans la vulve de la femme. Il était long et épais, et semblait procurer infiniment de plaisir à la jolie blonde qui se faisait pistonner. Gêné soudain d'être ainsi voyeur. Mais si personne n'était choqué que le couple fasse l'amour aux yeux de tous, personne ne l'était non plus par mon attitude.
Elle s'est plaquée contre moi, Sa bouche est venue chercher la mienne, et sa langue a caressé ma langue. C'était tellement bon...
— Tu veux mes seins? Je suis toute à toi.
J'ai jeté un coup d' oeil autour de moi. Je me suis rendu compte que la plupart des personnes présentes sur les toits s'accouplaient. Hommes et femmes, mais aussi hommes et hommes, femmes et femmes. L'ensemble était, curieusement, d'une grande beauté. Totalement esthétique.
Je me suis penché sur ses seins, énormes, ronds et fermes, et j'ai appuyé ma bouche dessus. Ma langue est venue à la rencontre de ses tétons, déjà érigés, et je les ai caressés. Elle a gémi, et a glissé un compliment:
— C'est bien!!!
Mes mains sur elle, je la pelotais, je caressais sans relâche ses chairs, chaudes et douces...Je sentais en elle un élan absolu vers moi, comme j'en avais rarement connu.
Elle avait tendu la main vers moi et m'avait défait...J'étais en pleine érection. Difficile qu'il en soit autrement quand une fille aussi désirable qu'elle était plaquée contre vous. Elle m'a caressé doucement, avant de me gainer d'une capote, et de conclure:
— Viens, tu vas rentrer dans mon sexe.
Elle s'est retournée et pliée en deux, en s'appuyant contre une des parois des cabanes. Ainsi, elle était totalement offerte, sa croupe ouverte sur sa muqueuse anale, son sexe bien ouvert entre ses cuisses, intérieur tout rose et des lèvres gorgées de sang le long desquelles ruisselaient ses liquides intimes.
Une vision qui aurait rendu n'importe quel homme fou de désir. Et encore plus quand elle a tourné son visage vers moi et m'a dit:
— Tu pourras aussi rentrer dans mon anus.
C'est toujours tellement bon pour un homme de rentrer dans l'intimité d'une femme. Du plaisir à l'état pur. Un plaisir que j'avais trop oublié ces derniers temps, vécus sans partenaire. Je suis rentré en elle facilement, me sentant gainé par la chaleur et la délicatesse de sa vulve. J'ai été jusqu'au fond, mon gland venant cogner contre son utérus. Elle a poussé un long soupir. Ce qui m'a plu en tout cas, c'est que je sentais bien le plaisir que je lui donnais. Intense et vrai.
Je l'ai caressée à l'intérieur, longtemps, avant qu'elle ne m'expulse, ne me récupère, et ne vienne poser mon gland dilaté contre ma muqueuse anale.
Elle a esquissé un petit mouvement, comme une invitation à me faire rentrer en elle. Je me suis laissé aller et je l'ai pénétrée, ravi d'être dans ce conduit étroit. Je m'y suis enfoncé aussi loin que possible.
— Par la chatte c'est bon, par le cul c'est...Divin...
J'étais tenté de penser la même chose. Surtout dans sa chatte et dans son cul.
Je l'ai bien fouillée, totalement emporté par le plaisir que je ressentais. J'avais l'impression que ça n'avait jamais été aussi bon avant, avec une autre femme. Une question de contexte, de partenaire? Je ne savais pas trop. J'étais tout entier dans mon plaisir et pas dans la réflexion.
Pendant que j'allais et venais dans son rectum, ma partenaire dont je ne connaissais même pas le nom avait amené sa main contre sa vulve ruisselante, et elle se masturbait avec intensité, frottant ses lèvres et son gland clitoridien. Ses jus qui coulaient d'elle rencontraient sa main en sortant et nous éclaboussaient.
Ce qui a vraiment déclenché ma jouissance, ça a été la sienne. Elle s'est mise à se tordre comme si elle avait la danse de Saint Guy, et j'ai été pris dans son mouvement. On a été l'un comme l'autre secoué d'orgasmes.
Il y a comme un trou dans mes souvenirs. Je me souviens d'avoir été dans mon appartement, sur mon lit. Je me suis demandé si tout cela n'avait pas été un rêve. J'ai même eu envie un instant de monter sur le toit pour vérifier. Mais je me suis endormi aussitôt.
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Histoire de JamesB

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