ACCUEIL > Divers > Récit : Rooftops partie 3

Rooftops partie 3

+4

Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 16/09/2024

Découvrez les filles coquines près de chez vous :

ROOFTOPS
PARTIE 3
Pour vous parler des mois qui ont suivi... Ca a été une sorte de rêve éveillé, et sans doute que je n'étais pas dans mon état normal. J'étais dans quelque chose d'à la fois flou et précis. Avec des pans entiers de mon existence totalement gommés. Je ne voyais, ne comptaient que ces moments que je passais, les week-ends, là-haut.
J'étais monté les autres jours de la semaine. Les passerelles repliées, les cabanes vides...On avait du mal à croire qu'il puisse y avoir une quelconque vie en ces lieux...
Ils ne s'animaient que le week-end.
C'était un moment particulier, parce que le monde dans lequel je vivais tous les jours se gommait, j'avais même du mal à croire qu'il ait jamais pu exister, et celui dans lequel je m'ébattais avait une autre épaisseur, une autre dimension. Il n'était pas comme celui que j'avais connu 27 ans durant...Ici, il n'y avait pas de soucis, et je sentais bien que les personnes qui participaient à la fête n'avaient que des pensées positives...Le plaisir, d'être ensemble, des mets, des boissons, du sexe...C'était comme s'ils avaient pu couper de leurs pensées tout ce qui m'encombrait, tout ce qui nous encombrait.
Une pensée bizarre m'a traversé. Je me suis demandé s'ils existaient vraiment en dehors de ce lieu. Chaque semaine était différente, mais il y avait à chaque fois cette même routine.
Ce qui était sûr, et fort, c'était qu'il y avait des filles magnifiques, qui venaient vers moi, se donnaient à moi. Si ici tout me semblait décalé, différent, le plaisir que je pouvais éprouver l'était aussi. Plus intense, plus fort. Comme si le plaisir que j'avais éprouver ailleurs, avec d'autres partenaires, n'était au final qu'un ersatz de ce que je pouvais connaître ici. Avec des partenaires généreuses de leur corps et de leurs idées, qui m'emmenaient vers des pratiques sexuelles auxquelles je n'avais pas pensé, ou j'avais pensé sans envisager qu'elles soient réalisables. Je pourrais donner des dizaines d'exemples...Une belle blonde qui m'avait calé entre ses fesses bien épaisses, et caressé, resserrant, en les tenant bien, lesdites fesses et esquissant une caresse du bas vers le haut, qui m'avait donné énormément de plaisir. Aucune fille ne m'avait fait ça avant. J'avais eu un orgasme très fort, crachant des jets de sperme copieux, à l'image de ce moment d'exception, et du plaisir que j'avais eu, et arrosant son dos jusqu'à sa nuque. J'avais eu droit aussi à à peu près la même chose mais avec une paire de seins. Des seins lourds, bien charnus, qui m'avaient enveloppé et caressé en me massant. Ma semence, copieuse, était venue arroser le décolleté et le visage de la femme qui avait ri, avant de ramasser le sperme au bout de ses doigts et de le manger. Il y avait eu aussi ces deux filles qui s'étaient calées devant moi, à genoux, m'offrant leur intimité, et j'avais été en elle, de l'une à l'autre, dans leurs vagins, et puis dans leurs anus, finissant par jouir, mais à regret, alors que j'aurais voulu continuer encore –tout en ayant conscience que ça avait quand même duré longtemps. Ici le temps était différent, étiré. Je m'en étais rendu compte pour la première fois quand j'avais jeté un œil sur mon portable laissé en bas dans l'appartement. Ce qui ne m'avait semblé qu'une heure, peut-être deux, avait représenté toute une nuit. Plus curieux sans doute, le changement d'atmosphère en redescendant. Là-haut, c'était encore la nuit, en bas le petit matin se levait. En fait, quand j'étais là-haut, le temps se dissolvait pour moi, je n'avais plus de repères, mais je restais de plus en plus longtemps.
J'étais bien, vraiment bien là-haut. Avec un sentiment étrange d'avoir trouvé ma place.
Je rentrais, un milieu d'après-midi, quand je l'ai trouvée devant ma porte habillée. Une très jolie robe, qui soulignait sa beauté, même si elle n'en avait pas besoin tellement elle était magnifique. Elle m'a souri.
— Je ne te vois jamais là-haut.
— Je ne fais pas partie de leur monde. J'en ai été exclu. Mon monde, c'est celui de la maison.
— Tu habites ici?
— Oui et non. C'est plutôt compliqué. Je ne sais pas si tu pourrais comprendre.
Je l'ai faite rentrer. J'avais rarement connu, même là-haut, une fille aussi attirante. Elle avait quelque chose de...Différent...Et pourtant les filles là-haut étaient belles, sensuelles, elles savaient se servir de leur corps, elles aimaient le sexe, sans limite, sans tabou...
Dès qu'on a été à l'intérieur, elle m'a proposé:
— Et si tu défaisais ma robe? Regarde, il y a une longue fermeture-éclair. Tu la descends...Je suis toute nue dessous. Ça te dit ?
Elle est venue se poster devant moi. Il y avait effectivement une belle fermeture-éclair. Je l'ai attrapée et je l'ai descendue, faisant apparaître sa chair nue. Elle ne portait effectivement rien en dessous. Il n'y avait pas de marque de soutien-gorge. Par de slip en bas, car la fermeture descendait à la moitié de ses fesses. Un geste au niveau de ses épaules, et la robe a glissé, la dévoilant intégralement. Elle s'est retournée, est venue se coller contre moi et prendre mes lèvres, en même temps qu'elle libérait ma verge dure et qu'elle la masturbait.
— Tu as une bonne queue...J'ai envie d'en profiter. Mon Dieu qu'elle est belle...Et dure...
On était dans mon living. Elle a basculé à genoux sur le divan, et jeté un regard sans aucune équivoque.
--Viens.
Je me suis approché. Je rentrais du boulot, deux minutes plus tôt, sans imaginer qu'elle m'attendait, belle, chaude et offerte. A ce moment, je n'étais plus qu'une envie, rentrer en elle. Je n'avais pas pensé la revoir, et ça me remplissait d'une joie supplémentaire. C'était pour ainsi dire retrouver son sexe, la douceur de cette gaine chaude et souple, qui m'a enveloppé comme un gant enveloppe une main et caressé. Elle a gémi alors que je rentrais en elle, la remplissais. Je l'ai fouillée, avec envie et plaisir. Avec elle, j'avais du plaisir, un plaisir encore plus fort que cette première fois, que j'avais pensée unique.
On a joui tous les deux, mais j'avais encore envie. On a changé de position, encore joui, jusqu'à ce qu'on finisse simplement dans les bras l'un de l'autre.
Il y a eu quelque chose, une sorte de déclenchement, dans ma tête, et je lui ai dit:
— Tu es avec eux, n'est-ce pas? Enfin, tu étais avec eux, mais tu les as quittés...
Elle m'a regardé, même pas surprise que j'aie pu percer ça à jour.
— Oui, c'est ça. Je suis ici, dans l'immeuble maintenant. Mais c'est bien, on se voit. Tu me plais énormément.
Je commençais à comprendre. Petit à petit. Comprendre qu'il y avait pas mal d'irrationnel.
— Ils sont là depuis longtemps, n'est-ce pas?
— Les années 30...Il s'est passé quelque chose. Ils étaient tout le temps ensemble. Des hédonistes. A la recherche du plaisir...J'étais avec eux à l'époque. Ils ont fait un pacte pour rester ici pour toujours. Ils sont liés aux lieux. Dans une dimension parallèle. Si tu les vois, c'est parce qu'ils veulent que tu les rejoigne.
— Ils sont...
— Ils sont...A côté. Ils habitaient dans les maisons voisines. C'était eux qui faisaient tourner l'usine.
— Et toi?
— Je suis comme eux, mais je me suis détournée d'eux. Parce qu'ils sont froids et cyniques.
Je sentais bien qu'elle était différente.
— Ils veulent te prendre avec eux. A toi de voir ce que tu souhaites.
— Et si je voulais te garder toi? Tu me plais énormément.
--Je ne suis pas comme eux. D'ailleurs je n'ai pas accès au toit. Je suis ici, dans l'immeuble.
Moi, je te laisserais le choix. De rester comme tu es, ou de décider de me rejoindre. On serait ensemble pour très très longtemps. Ca te plairait?
Un appel des sirènes des deux côtés. Je ne savais plus trop.
C'est à la fin de la semaine que je suis monté, à nouveau sur le toit. L'envie de sexe, d'avoir encore des moments exceptionnels. Je crois bien qu'à ce moment précis, j'étais prêt à tout plaquer pour les rejoindre.
Et puis je suis arrivé sur le toit, et je les ai vus tels qu'ils étaient.
Ca a été vraiment étrange. Ils étaient comme à l'accoutumée mais cependant différents. Ce que j'ai vu ça a été, sur leurs visages, une profonde lassitude. Comme s'il y avait plus de malheur que de plaisir dans leur condition.
J'ai pourtant pris du plaisir avec une superbe brune, ce soir-là. Elle s'est offerte à moi, m'incitant à la sodomiser directement. Une de ses copines l'a rejoint, léchant nos parties intimes pendant que j'allais et venais en elle, sortant ma queue finalement et la suçant avant de la remettre dans l'anus de sa copine. Elle a fini par se positionner à côté d'elle, m'offrant elle aussi son anus. J'ai été de l'une à l'autre, fasciné et quel homme ne l'aurait pas été, par ces deux croupes offertes, ces deux anus dilatés, ouverts sur la muqueuse interne que je m'appropriais, la fouillant, les faisant jouir, mais elles s'aidaient, masturbant leurs moules elles aussi dilatées, aussi béantes que dégoulinantes...Elles ruisselaient sur leurs aines, leurs cuisses et le sol...
Elles ont joui en criant...Moi non. Ça faisait bien notre affaire. Elles se sont retournées, et ont léché ensemble ma queue, dilatée comme elle l'était seulement quand j'étais sur le toit, Un torrent de sperme a jailli, qu'elles se sont partagé, se faisant passer la queue d'une bouche à l'autre.
Et à ce moment, il s'est produit quelque chose d'étrange. Tout s'est dissous autour de moi. Il n'y avait plus rien. Le toit était vide. Il ne restait que ces cabanes, et les passerelles.
J'ai compris que je ne les reverrais jamais.
Je suis redescendu.
Une période de ma vie était terminée.
Je suis revenue souvent sur le toit. Mais il n'y avait plus aucune présence.
Il s'est passé deux mois, mes souvenirs se dissolvaient petit à petit, je me demandais même si je n'avais pas rêvé tout cela. J'en étais d'ailleurs de plus en plus convaincu.
Je n'avais qu'un regret. Ne plus revoir celle qui avait été mon amante deux fois. Elle était différente, et elle me plaisait énormément.
Et puis un soir, je rentrais, il y avait quelqu'un dans le couloir. Entièrement nue, avec juste des bas et une paire de cuissardes. Toujours aussi magnifique.
— Je ne pensais pas jamais te revoir.
— Tu en avais envie?
— Certainement, oui. Mais je pensais que tu étais partie.
— Je suis toujours là.
— Tu es à poil.
— Il n'y a que toi qui peut me voir.
— C'est déjà bien. Tu veux rentrer?
— Ca me ferait très plaisir. Je voudrais qu'on se voie beaucoup plus souvent. Tu crois que c'est envisageable?
— On appartient à deux mondes différents.
— La différence n'empêche pas de se rapprocher.
Elle avait raison. On verrait bien ce qui adviendrait par la suite. J'avais envie d'aller vers elle, et elle de venir vers moi.
Je l'ai faite rentrer dans l'appartement. Une minute plus tard, elle s'empalait sur ma queue.

4 vote(s)


Histoire de JamesB

Vous avez aimé ce récit érotique ? Tweeter

Nous luttons contre le plagiat afin de protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette histoire est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être copiée ou imprimée.

© Copyright : Nos histoires sont protégées par la loi. Un grand nombre d'écrivains nous ont donné l'exclusivité totale.


Commentaires du récit : Rooftops partie 3


Aucun commentaire pour le moment

Pour poster un commentaire ou faire un signalement, merci de vous inscrire ! Inscription rapide


Histoire précèdente <<<


Retour en haut de la page

Libertinage et masturbation de jolies libertines en webcams totalement gratuites :