Sans culotte à la pizzeria. (Part1)

Ce soir toi et moi, on a prévu d’aller chez Gino avec Murielle et Célia.
Gino a repris la pizzéria il y a 6 mois et ça tourne bien.
Ses pizzas sont bonnes et c’est devenu un pote.
On a réservé la meilleure table en terrasse, à l’abri de la pluie mais sous le vent. Il fait chaud en ce moment.

Il est 18h00 et on va prendre une douche avant de se préparer.
Comme d’habitude, on se tripote un peu mais sans plus ce soir. On a une soirée avec nos copines …

On passe dans le dressing et tu attrapes un string, une jupe en jean assez courte avec une fente sur le côté, et un tee-shirt, sans sous-tif. Je mets un caleçon, un short et une chemisette.

Je prépare une sauce yaourt avec des lamelles de carottes et des cacahuètes dans un bol pendant que tu plies la pile de linge propre qui était restée là, sur la commode du dressing.

Je mets tout le nécessaire sur un plateau et je le pose sur la table basse du salon. Je me pose aussi. Sur le canapé.

Les filles arrivent et tu vas les accueillir.

Elles me font un smack, c’est devenu une habitude. Je me décale et vous vous posaient toutes les trois sur le canapé. On est un peu serrés mais ça va. Et ça me plaît. Célia est à mes côtés.

Je me lève quand même pour nous servir et on trinque ensemble.

Célia pose sa main sur ma cuisse, Murielle sur la tienne. Ce n’est pas pour nous déplaire.
En fait, au bout d’un moment, tout le monde a une main qui caresse une autre jambe qui n’est pas la sienne …

On passe un apéro sympa avec les filles et on rigole bien mais l’heure tourne et on a réservé. Je suis assez ponctuel en général.

Avant de partir, Mumu s’exprime : « Et si on enlevait tous notre culotte pour aller chez Gino !
- Oui pourquoi pas mais je vais enlever mon short et mettre un pantalon léger, ce sera plus sympa !
-Oui, mets celui en lin que j’aime bien.
- Ok chérie ! »

Je m’exécute dans le dressing pendant que les filles balancent leurs culottes sur le canapé avant de débarrasser en se dirigeant vers la sortie.

Murielle et Célia sont toutes les deux vêtues d’un débardeur robe. Celui de Murielle est assez classe mais un peu plus long que celui de Célia. Célia la petite coquine, a un genre de lacet en cuir autour de la taille, avec 2 petits coquillages à chaque extrémité. Très sympa. Et elle peut gérer la hauteur de sa "jupe". Bien sur, comme toi, elles ne portent pas de soutien-gorge.

Je ferme la porte derrière vous et je vous suis dans l’allée en matant ces 3 petits culs. Je suis un homme comblé.
« Vous êtes magnifique les filles ! Et vous avez toutes un cul superbe !
- Merci ! Toi aussi t’es beau mon cœur ! »

Tu reviens vers moi pour m’embrasser, tu passes un bras sous le mien et on rattrape les filles sur le trottoir.
Le restau n’est pas loin, on y va à pied.
« C’est vrai qu’elles ont un joli p’tit cul nos copines !
-C’est clair ! Merci mon cœur de me laisser en profiter avec toi.
- Tu sais que ça m’excite quand tu les baises, et quand on fait l’amour devant elles. J’aime bien les toucher aussi.
- Je sais chérie, c’est top ! ».

On marche tranquillement derrière, les filles se tiennent la main.
Tu reprends: « Hey les filles ! C’est vrai que vous avez un joli p’tit cul ! »

Célia qui n’est jamais la dernière à montrer son cul s’arrête, se cambre un peu en avant et soulève les 20 centimètres qui lui servent de robe pour nous montrer son arrière-train. Mumu éclate de rire et fait la même chose. Y’a personne dans la rue, les filles se lâchent.

Elles avancent de 3 mètres et elles recommencent plusieurs fois jusqu’à ce qu’on soit à leur niveau.
Tu as Mumu devant toi, j’ai Célia, et tu me montres ton index en me faisant un signe de la tête en direction du cul de Célia. Je crois comprendre ce que tu veux et, ensemble, on rentre notre index dans les petites chattes de nos partenaires et on les doigte discrètement.

Notre petit jeu ne dure pas très longtemps. Juste le temps pour toi de plonger une main dans mon pantalon pour masturber ma demie-molle. Puis on reprend la route car nous ne sommes plus seuls.

On s’installe à notre table et on commande un apéro le temps de choisir nos pizzas.
Tu es positionnée à ma gauche, Mumu à ma droite, et tu poses une main sur ma cuisse. Je pose une main sur la tienne.

A un moment, Murielle nous dit : « Alors, ça vous fait quoi d’être ici sans culotte ?
- C’est pas la première fois !
- Oui mais là, tous les quatre ! » Murielle dit ça en passant une main sous la table pour se caresser.
« Oui c’est cool. » Dis-je en posant ma main droite sur sa cuisse. Mais il y a un peu de monde autour et je reste discret. Ma main ne va pas jusqu’à son entre-jambes et je la regarde, se pinçant les lèvres pour ne pas gémir.

3 couples de jeunes s’installent à côté alors Mumu se calme et on boit l’apéro tranquillement.

Les pizzas ne sont pas encore commandées mais Célia veut boire un deuxième verre. On reprend la même chose et Murielle commande une bouteille de vin qu’elle avait repérée sur la carte.

Nos mains se baladent souvent d’une cuisse à l’autre mais sans plus. On reste discrets, on est connu ici.

La nouvelle serveuse que je ne connais pas nous amène les pizzas et je recommande une bouteille de vin. Oui, Mumu et Célia se sont lâchées.

D’ailleurs, Célia, puisqu’on en parle, se penche en avant pour cacher un peu sa poitrine au niveau du rebord de la tables et se tripote les seins.
Quelques secondes suffisent à les faire pointer.
Elle se redresse, se cambre un peu en arrière, et pose les mains sur ses côtes pour tendre le tissu afin qu’on apprécie ses petites poires.
« Vous aimez ? ».
Discrètement, Mumu lui caresse un de ses seins. « T’es magnifique Doudou ! ».

On termine nos pizzas, sauf Célia qui n’a fait que déconner. Mais avec son petit gabarit, elle doit être rassasiée et demande un dogy-bag à la serveuse. Certains d’entre nous commandent un café.

La terrasse se vide peu à peu et Célia attrape son verre d’eau à demi plein et l’envoie sur la poitrine de Mumu. « On fait un concours de tee-shirt mouillé ? »
Murielle surprise, se venge en lui rendant l’appareil.

Célia nous montre encore ses tétons et dit : « Et si on faisait un concours de chatte mouillée ? ».

Tout le monde se marre mais Murielle a l’air de vouloir se prêter au jeu. Elle écarte un peu les jambes et recommence à se frotter le clito.

Célia fait de même et moi, je pose une main sur ta cuisse pendant que ta main rejoint ta chatte. Ton index atteint ton clito et le titille un peu, tu serres les jambes. Tu te prêtes également au jeu. Tout le monde se prête au jeu.

« Mais moi, je peux pas jouer ?
« Toi t’est le jury ! ».

Célia se penche en avant et tripote un de ses seins. Elle est la première à être excitée. Elle plaque sa main contre sa chatte sans bouger, et on sent bien qu’elle vient de gicler. On la connait un peu maintenant. Elle serre les cuisses et attrape sa serviette pour essuyer sa main qui est trempée, puis l'intérieur de ses cuisses.

En tant que seul membre du jury, je me lève, je jette un coup d’œil tout autour de nous en contournant la table pour m’accroupir à côté de Célia. Je suis face au comptoir et personne ne peut nous voir. Je pose ma main sur ses cuisses qu’elle écarte et je la caresse doucement pour atteindre son minou. Je rentre deux doigts en faisant quelques allers/retours lentement et je lui présente mes doigts qu’elle lèche spontanément.

Murielle se tourne un peu vers nous et pose un pied sur le rebord de la chaise, deux doigts dans sa chatte. « Et moi, tu viens voir si je suis mouillée ? ».

Je me déplace encore et je m’accroupi derrière sa chaise.
Ma main prend la place de la sienne et je rentre 3 doigts sans problème. Mumu est déjà bien mouillée mais je sais qu’elle peut faire mieux.

Elle retire sa main pour me laisser faire. J’y vais de bon cœur. Je la fait jouir et mouiller encore plus. « Oh ouiii ! ».

Comme Célia, Mumu lèche mes doigts.

Quant à toi, tu rentres et tu sors tranquillement 2 doigts dans ta chatte et je te rejoins.

Je me penche pour t’embrasser et je te dis de venir me rejoindre dans les toilettes dans deux minutes.

J’ai une petite bosse sous mon pantalon alors je mets une main dans la poche pour camoufler tout ça et je rentre dans l’un des deux toilettes.
Il y a de la place et il n’y a personne à côté.
J’enlève carrément mon pantalon que j’accroche au porte-manteau et commence à me masturber.

Tu me rejoins quelques instants après, je t’ouvre la porte et en voyant mon sexe en érection, tu ne peux t’empêcher de te mettre à croupi pour me sucer.
Je me penche en avant pour remonter ta jupe jusqu’à la taille et je passe ma main sur ta chatte. « Et toi t’es trempée chérie ?
- Oui ! »

Je constate effectivement que ta chatte est bien humide mais je la masturbe un peu pour faire monter l’excitation.

Tu te redresses et te retournes, poses un pied sur la cuvette des toilette et tu me dis : « Prend-moi tout de suite !
-Oui je vais te baiser ! ».

Je te tiens par les fesses, ma bite est bien raide, à la verticale, et je te pénètre d’un coup, à fond.
On gémit tous les deux, pas trop fort.
Je reste un instant au fond et je commence à te pilonner.

Tu a un bras posé sur la vasque en pierre et je t’attrape par les cheveux et décale ta tête pour la mettre face au miroir. « Regarde comme tu es belle chérie ! ».
Le reflet de ton sourire apparaît dans le miroir sous un air de jouissance.

Je te palpe les seins, je pince tes tétons, ma main descend tout le long de pour remonter, sans oublier aucune surface de ton corps.
Je te pénètre doucement, amoureusement car je sais que je peux jouir rapidement. Je gagne quelques minutes.

La position dans laquelle tu te trouves ne te convient plus.
Tu reposes ton pied au sol et tu te tournes vers la porte, penchée en avant, les mains sur la poignée.
Je me décale, plie un peu les jambes et ma bite reprend sa place en toi.
On ne va pas y passer 3 heures alors j’accélère mes mouvements. Je te chevauche comme une salope. Tu aimes ça …
« Oui Adrien ! Baise-moi ! »

Tu sens que ça va venir alors tu te retournes et t’accroupies en me branlant.
Tu veux vraisemblablement tout avaler.
Tu me suces, tu me branles, ta bouche reste toujours ouverte devant mon gland, tu te tiens prête.
Tes petits gémissements m’excitent et quand tu me fixes dans les yeux, tu me dis : « Vas-y mon cœur ! Viens ! ».
La montée de sève ne se fait plus attendre et tu gobes bien mon chibre en avalant tout mon sperme. Tu lèches mon gland jusqu’à la dernière goutte.

Je remets mon pantalon et je sors le premier, tu veux te refaire une beauté. Il faut que tu essuies l’intérieur de tes cuisses.

Les filles sourient en me revoyant.
« C’était du rapide ! » dit Célia.
« Bref mais intense ! Et toi, t’as pas jouis en 1 minute tout à l’heure ? ».
Elle me sourit. « Je peux remettre ça si tu veux ! ».

Tu nous rejoins et on termine nos verres en payant l’addition.

Célia se lève la première, pousse sa chaise, et quand elle se retourne, on aperçoit une grande auréole au niveau de ses fesses.
En plus, y’a un bout de tissu coincé dans sa raie. Murielle lui dit : « Viens Doudou!" et elle s’approche d’elle pour pincer le coton et détendre la robe qui lui moulait vraiment le cul.
Elle en profite pour passer une main par-dessous avant de partir.

On paye l’addition, remercie la serveuse et on suit les filles jusqu’à la maison, main dans la main.

« Je t’aime chérie !
- Moi aussi mon ange ! »

.../...

A suivre ...

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