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Sexe et carwash 3

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 27/05/2024

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SEXE ET CARWASH
PARTIE 3
C'était un travail minutieux. Lent et technique. Ne rien laisser au hasard pour que tout marche. Poser élément après élément. Il fallait que tout soit parfaitement calé pour que l'ensemble fonctionne. Et surtout pour qu'il n'y ait pas de défaillance dans les jours et les semaines qui suivraient. Une installation qui marchait, c'est la meilleure des publicités pour la boite.
Je me suis mis au travail. Mes outils, tous les éléments. J'avais de quoi m'occuper.
En même temps je regardais autour de moi.
Le futur car wash était installé dans une de ces zones hybrides qui avaient échappé à ce qu'on appelait à l'époque le POS, le Plan d'Occupation des Sols, où tout fleurissait de manière anarchique, bâtiments commerciaux, petites maisons.
Cela faisait deux heures que je travaillais, sans réel effort, j'avais déjà posé une partie des structures quand j'ai vu une jeune femme traverser la route. Elle avait une cafetière et une tasse à la main, et j'ai pensé que c'était pour moi.
Le temps qu'elle traverse, j'ai eu tout le loisir de la regarder. Elle avait une trentaine d'années, brune, pas très grande, avec des formes pleines soulignées par un caleçon simple, bleu marine, très moulant, et un hoodie, des lunettes, une bouche pulpeuse, et des yeux noirs très sombres. C'était le genre de femme qui, quand j'étais en mission venait vers moi. Des filles qu'on n'aurait pas immédiatement regardé mais qui, quand on regardait bien, avaient un charme fou, de véritables corps de femme qu'elles ne mettaient pas forcément en valeur, avec des seins, des hanches, des cuisses, des culs, des chattes, des femmes qui aimaient le sexe, qui avaient envie de sexe, qui avaient un peu de pratique et beaucoup d'imagination, qui s'ennuyaient avec un partenaire qui ne les satisfaisait pas forcément, et qui m'apercevaient. A la recherche d'un moment de plaisir, et parce que quelque chose les attirait, j'aurais dit le mélange du fait que je n'étais pas trop moche, et que je restais seulement pour quelques jours, donc sans conséquences fâcheuses, même si assez paradoxalement, avec beaucoup d'entre elles, on gardait le contact et on se revoyait quand je passais dans le coin.
Et cette brune pulpeuse était bien attirante. Elle ne porterait jamais de robe de soirée, ne serait jamais hyper maquillée, mais elle avait énormément de charme.
Elle avait pris le temps de me mater, et elle s'était dit que ça valait peut-être le coup de tenter une approche, quelle qu'elle soit.
— Bonjour, je vois que vous trimez depuis deux heures. J'avais envie de vous proposer une pause. Ca vous dit un café? Je mouds les grains moi-même.
— Il doit être bon alors. Bien sûr que je ne dis pas non.
Elle m'en a versé une tasse. A la première gorgée, j'ai su qu'il était effectivement bon.
— Ca vous dit de manger un petit quelque chose? Je fais aussi des pâtisseries, et je viens de sortir une tarte aux pommes du four.
— Je peux bien faire une pause. Je gère mon emploi du temps comme je veux quand j'installe.
Elle a repris le cafetière pour traverser, moi j'avais la tasse à la main. Elle avait un cul bien charnu, comme j'adorais, qui tendait bien son caleçon. La fente qui le coupait en deux se dessinait très nettement, laissant entrevoir que soit elle n'avait pas de culotte dessous, soit elle avait un string.
Mais j'avais le sentiment que je n'attendrais pas longtemps avant d'avoir la réponse.
Un couloir qui conduisait au choix vers une chambre, on apercevait le grand lit par la porte entrouverte, un living simple mais cosy. Elle m'a emmené vers la cuisine. Effectivement une belle tarte aux pommes était posée sur une table. Elle en a coupé deux parts, m'a resservi du café. Une part pour elle, une pour moi.
— Tu manges où à midi?, m'a-t-elle demandé, basculant sans transition sur un tutoiement.
— Je ne sais pas encore.
— Je suis toute seule. Tu veux venir manger avec moi? Je commence dans l'après-midi. Je suis comptable, je fais la compta d'un supermarché. Et je vis uniquement en compagnie de moi-même depuis trois mois. Une histoire d'amour qui a bien commencé, mais mal fini.
— Comme pas mal, j'ai répondu.
— J'ai envie de me faire baiser. Je t'ai aperçu. Tu es très séduisant. Ca te dirait un moment de sexe?
Et pour mieux me convaincre, elle a exhibé des charmes plus que convaincants. Descendu le zip qui fermait son hoodie. Une superbe poitrine, bien lourde, avec deux aréoles très larges est apparue. Lourde, mais ferme. En riant, elle a attrapé ses tétons, et elle les a pincés...Ils se sont érigés rapidement, et de manière spectaculaire.
— Ils te plaisent? Et le reste est du même encan. Je te donne mes seins maintenant, et le reste à midi. Ca te dit?
Je n'allais pas dire non. Elle faisait partie de toutes ces femmes qui ne se mettent pas en valeur, qui ne savent pas ou ne peuvent pas le faire par manque d'argent, mais dont les charmes sont bien réels. Il suffit de savoir les découvrir. Cela je l'avais compris depuis longtemps. D'autres ne le comprendraient jamais.
— Viens, mets-toi debout devant moi. Je pense que tu seras pile au bon niveau.
C'est elle qui m'a défait. J'avais joui deux heures plus tôt, mais ma queue était aussi dure, aussi gorgée de sang qu'aux premières heures de la matinée. Elle me faisait très envie, tout comme la propriétaire du car wash. Deux femmes radicalement différentes, mais aussi attirantes l'une que l'autre. J'aimais la diversité.
— Tu as une queue magnifique. On va passer un bon moment. (Son regard s'est voilé.) Ca me permettre d'oublier que je suis seule. Enfin, j'ai un mec pour quelques instants. Et tu vaux le coup. Quand je t'ai vu par la fenêtre... Je me suis dit que ça valait la peine de tenter. Tant pis si tu m'envoyais balader.
Les minutes qui ont suivi ont été exquises. Aussi bizarre que cela pouvait paraître, alors même que j'avais beaucoup de moments de sexe avec beaucoup de partenaires, c'était la première fois qu'une fille me faisait une cravate de notaire. Et j'ai trouvé ça très bon.
Il fallait dire qu'elle était guidée, pour se surpasser, à la fois par le manque et l'envie. Elle s'est penchée sur moi, et elle a entamé une série de manœuvres qui m'ont donné énormément de plaisir. Et à elle sans aucun doute la satisfaction d'avoir un partenaire, de pouvoir jouer à nouveau avec une queue d'homme...La meilleure preuve, c'en était sans doute cette tâche, d'abord minuscule, qui s'est élargie au niveau de l'entrejambe du caleçon, prenant de plus en plus d'ampleur au fil des minutes.
Elle a commencé par attraper un de ses seins en coupe, et elle est venue le frotter contre ma queue. Sa chair lisse, puis son téton...C'était hyper-agréable, et j'ai cru un instant que j'allais jouir tellement c'était bon. J'avais déjà été caressé par une chatte, par une bouche, jamais par un sein...J'avais envie que ce soit de nouveau le cas dans les jours et les mois à venir. Je lui demanderais son numéro pour qu'on se revoie quand, inévitablement, je reviendrais pour faire la maintenance.
Le basculement, ça a été quand elle a fermement saisi ses deux seins, les a écartés, et elle a plongé sur ma queue, les resserrant autour. Une impression délicieuse de douceur de chaleur, et une caresse qu'elle a esquissé tout en gardant cette pression autour de ma queue. Je connaissais déjà trois sensations, être dans la bouche d'une fille, dans son vagin, dans son anus, j'en découvrais une quatrième. Et je devais me retenir pour ne pas jouir. Elle était d'ailleurs consciente de l'effet qu'elle avait sur moi, parce qu'elle m'a dit: 'Retiens-toi de jouir aussi longtemps que tu peux, comme ça tu profiteras bien de ma caresse.'
Mais, s'il y avait eu un moment où j'avais été sur le fil du rasoir, à présent, j'avais passé ce stade, et je savais que je pouvais tenir.
C'est du moins ce que j'ai pensé jusqu'au moment où elle a écarté ses seins, libérant ma queue. J'avais eu du plaisir, ce dont je ne m'étais pas rendu compte c'était que ma queue s'était dilatée grâce à ce plaisir. Elle avait rarement été aussi grosse, aussi épaisse.
Elle l'a gainée a nouveau, mais cette fois différemment. La poussant un peu plus loin au creux de ses seins, mais faisant aussi émerger un peu moins d'un tiers de ma tige. Mon gland était énorme de dilatation, et j'arrosais ma chair de mes liquides pré-sécrétifs dont l'abondance était à la mesure de mon excitation. Avec une expression qui disait son bonheur, elle s'est mise à caresser mon gland de la langue, venant à la source de mon méat pour laper tout ce qui en sortait. Après des mois de frustration, elle avait enfin un moment de plaisir. Et elle voulait d'évidence en profiter au maximum. Sa caresse était souple et précise, et, petit à petit, j'ai bien senti que je tenais de moins en moins. Elle le sentait aussi. Elle continuait de me frotter avec ses seins. Elle a refermé sa bouche sur mon gland quelques secondes avant que j'explose et elle a laissé mon sperme couler dans son gosier.
A peine avait-elle lâché ma queue, qui n'avait pas débandé, elle m'excitait énormément,qu'elle m'a dit:
— Viens, donne-moi ta main.
Elle n'avait que quelques pas à faire pour se basculer sur deux chaises rapprochées. Elle a tiré bas son caleçon, sous lequel elle ne portait rien. J'ai aperçu ses parties intimes. Une grosse croupe bien charnue, comme je les aimais, fendue en deux par un sillon profond, et une chatte que l'excitation avait bien dilatée, l'ouvrant de manière spectaculaire, dégageant une vulve dont l'intérieur était visible très loin, des lèvres bien charnues, longues et épaisses, et un gland clitoridien assorti au reste de son anatomie, totalement décalotté, épais et long. C'était la première fois que j'en voyais un aussi volumineux.
Elle a tendu sa main vers la mienne.
— Ta queue, ce sera pour plus tard.
A suivi une expérience aussi décalée que la précédente. Mais qui m'a justement plu pour ça. Elle s'est servie de ma main pour se donner du plaisir, un peu comme elle l'aurait fait si elle avait eu un gode. A part que c'était de la chair. De la chair qui sentait, qui percevait.Ce moment, je ne l'ai pas oublié. Dans toutes ses composantes.
Il y avait le point commun. La chaleur et l'humidité. Et puis une série de sensations variables selon ce que je touchais. Au niveau de ses lèvres, qu'elle m'a fait caresser, de la pulpe de mes doigts, j'ai senti leurs pleins et leurs creux, et la manière dont elle les arrosait. Ses jus intimes étaient de plus en plus abondants et de plus en plus épais.
Elle a ensuite remonté mes doigts sur son gland clitoridien pour le frotter. Elle gémissait à présent, en plein trip. Je sentais ce que j'aurais pu apparenter à une mini-bite contre la pulpe de mes doigts, tellement épaisse et longue que c'en était troublant.
Le meilleur ça a été après, quand elle m'a fait rentrer en elle. Très franchement, je ne m'attendais pas à ce qu'elle fasse ce qu'elle a fait. Je pensais qu'elle glisserait un doigt, maximum deux, en elle. Je n'ai pas compris quand elle a resserré ma main. C'était pourtant une évidence: Aucune fille n'avait un sexe pareil, elle, elle bénéficiait d'une grande ouverture, et en plus, elle était très dilatée. Elle a fait glisser ma main en elle, sans même à avoir à forcer, et d'un seul mouvement, fluide. Mes doigts sont tous rentrés en elle. C'était étrange à voir. Les sensations ont très vite afflué, celles d'être enveloppé par une gaine chaude, souple et humide. Un gant confortable que j'aurais enfilé et qui m'aurait rempli de félicité, parce que je me suis très vite rendu compte que, si elle se donnait du plaisir avec ma main, elle m'en donnait aussi, en me caressant avec ses muqueuses, créant une chaleur intense qui est remontée dans tout mon corps et m'a rempli de félicité.
Le tournant, ça a été quand, sans l'avoir voulu, j'ai déplié mes doigts et esquissé une caresse. Une sorte de caresse.
— Ca sera mieux si c'est toi qui me caresse.
J'ai trouvé ça un rien surréaliste que d'être totalement en elle, ma main avalée, ça ne m'était jamais arrivé avant, et ce basculement sur une caresse dans laquelle je me suis d'abord senti maladroit, et puis rapidement plus à l'aise. J'ai perçu, alors que ma main se déployait et qu'elle prenait de l'ampleur, toute l'ampleur et la complexité de l'intérieur de son sexe. Les parois douces et chaudes, ses creux, ses replis de chair. Je l'ai caressée et explorée en même temps. Ça avait l'air de lui plaire, J'ai vite trouvé plus d'assurance et plus d'habileté. Et mon autre main est venue accrocher ma queue, roide d'une tension qui devenait insupportable. Je me suis caressé doucement. Je ne voulais pas jouir, mais simplement apaiser la tension qui était en moi.
Ses liquides intimes ruisselaient autour de ma main, ils devenaient plus abondants, et plus épais.
Elle m'a jeté:
— Ah putain, je suis entrain de jouir!
En hurlant, elle a éjaculé, crachant autour de ma main des jets épais d'un liquide aussi blanc que le sperme qui est sorti de ma queue quelques secondes plus tard, au sommet d'une excitation que je ne maîtrisais plus. Nos liquides de plaisir se sont mélangés dans les éclaboussures qui nous ont trempés et souillés.
Pour elle, c'était moins de problème de se changer que pour moi. Nous étions trempés des liquides de nos jouissances. Par chance, j'avais toujours des tenues de rechange, plusieurs combinaisons si je me salissais trop.
Je me suis redressé, encore dans le vertige de ce moment fort. C'était ça que j'aimais dans les files comme elle. Elles étaient surprenantes, avec de nombreuses ressources. Les filles trop belles étaient souvent quasiment frigides, sans aucun charme, sans aucune initiative, sans aucune imagination. Elle était dodue, elle avait de la cellulite, sans doute elle était trop ronde, mais elle était pleine d'envie, de vitalité, elle adorait le sexe...
— Je fais la pause sur le coup de midi trente...Ca te dit toujours que je te rejoigne ?
— Je t'attendrai la chatte ouverte.
Et comme pour mieux me le prouver, elle a glissé ses deux index en elle, et elle s'est ouverte autant qu'elle le pouvait, me laissant voir sa muqueuse très loin. Jusqu'à son utérus. C'était un bon argument pour me faire revenir, en tout cas. J'ai pensé à sa chatte jusqu'à midi. Cette image, son corps, son sourire, les sensations quand j'avais été entre ses seins, et la main dans son ventre. Tout cela, cet ensemble, c'était ce qui me donnait envie de vivre, qui me faisait aussi oublier des moments pas formidables. Ce n'était pas toujours évident de faire ce que je faisais, même si ça me plaisait, je n'étais pas forcément bien payé et je n'avais pas forcément d'avenir non plus.
L'essentiel du premier portique était installé quand j'ai rangé tout mon matériel dans ma fourgonnette, la fermant soigneusement, et je suis parti la rejoindre.
Elle m'attendait sans doute. Elle a ouvert la porte et est apparue dans sa quasi nudité, souriante, radieuse à l'idée de ce moment de sexe qui l'attendait. Elle avait gainé ses jambes de bas stay-up. Elle n'avait que ça sur le dos, et ça lui allait parfaitement. Elle brillait d'un éclat nouveau, quelque chose qui avait été initié deux heures plus tôt. Le bonheur du sexe, d'avoir un partenaire, qui donnait à cette journée un éclat particulier et la faisait revivre.
— Tu as du temps ?
— Suffisamment en tout cas pour qu'on puisse avoir du plaisir et manger.
On a commencé par le plaisir. On avait très envie tous les deux, elle parce qu'elle était en manque, moi parce qu'elle m'attirait de plus en plus. Elle revivait, et ça lui donnait un nouvel éclat qui la rendait encore plus attirante. Il y avait une bonne odeur de cuisine dans la maison, mais on avait encore plus faim de sexe. Elle m'a attiré vers le divan, m'a poussé dessus et elle est venue se caler sur moi, de telle sorte qu'elle m'offrait ses parties intimes, sa croupe que cette position ouvrait, et sa vulve, que l'excitation de la situation rouvrait, même si elle n'était pas restée fermée, et faisait couler. Ses liquides intimes ont arrosé ma chair, coulant de suite d'abondance, et venant poisser mes chairs, alors que déjà elle plongeait sur ma queue et la léchait avec avidité.
--C'est trop bon d'avoir une queue à disposition, de pouvoir jouer avec...Comment j'ai pu vivre sans ça...
Une fellation pareille...C'était vraiment bon...Elle me bouffait littéralement la queue, me mordillant les couilles, faisant aller et venir sa bouche sur ma queue jusqu'à l'avaler totalement, basculant en gorge profonde. Je devais me retenir pour ne pas jouir. Mais elle n'était pas forcément en meilleur état. Je mettais un point d'honneur à la travailler avec autant d'ardeur qu'elle s'acharnait sur ma verge. Emerveillé par la manière dont son sexe, déjà dilaté au départ, s'ouvrait encore plus, se dilatait, comme une chambre aux trésors s'ouvre, me laissant voir les parois roses de son intérieur, sur lesquelles ses sécrétions intimes ruisselaient, coulant hors d'elle, ruisselant sur ses lèvres dilatées, saturant ma bouche du goût si particulier qu'ont les sécrétions intimes. Son sexe se modifiait de minute en minute, de ses lèvres gonflées à l'extrême à son gland clitoridien qui retrouvait le volume qu'il avait pris deux heures plus tôt.
--Ne jouis surtout pas, je t'en prie. J'ai envie que tu viennes dans ma chatte et que tu me caresses bien et longtemps à l'intérieur.
Finalement on en revenait toujours au plus basique, mais le plus basique était aussi le plus bon. J'avais la bouche pleine de ses sécrétions et de leur goût, quand elle s'est dégagée en se contorsionnant. Elle avait sorti une boite de préservatifs. Elle en a dépiauté un, avant de le faire coulisser sur ma queue en pleine érection. Le liquide pré-séminal qui sortait de moi a poissé le latex contre lequel il a appuyé.
On s'est calés en quelques secondes. Elle m'a poussé le dos contre le divan, elle est venue se caler au-dessus de moi et elle a guidé ma queue vers l'ouverture de son sexe. Elle a esquissé une sorte de contorsion et elle m'a avalé, se faisant descendre sur ma queue jusqu'à m'avoir totalement en elle. Hmmm...La sensation des parois de sa chatte contre moi...Si on avait fait rien que ça, rien que cette pénétration ultra-classique, ça aurait déjà été très bien.
Son sexe comme un gant, souple, chaud, doux, qui m'aurait enveloppé...Qui m'enveloppait. Qui a bien caressé ma queue, en même temps qu'elle se caressait elle avec le pieu bien dur fiché dans sa chair. Une queue qui caresse une chatte, une chatte qui caresse une queue...C'était comme ça depuis le commencement des temps, et, quels que soient les progrès, ça resterait irremplaçable.
On a senti le plaisir approcher l'un et l'autre, nous enivrer lentement. Elle m'a dit:
— C'est tellement bon...Ca me manquait...Mes doigts, un gode...Ce n'est pas aussi bien qu'une queue chaude, dure et qui crache sa semence...
Et elle s'est mise à jouir, se cambrant sur moi et criant son plaisir, secouée par plusieurs orgasmes, qui l'ont tordue, et faite partir de cette réalité de tous les jours qu'elle ne vivait pas forcément bien. Moi j'étais figé dans une dilatation poussée à son extrême par cette caresse qui s'était prolongée longtemps, même si on n'avait plus de réelle notion du temps.
Elle s'est dégagée, révélant ma queue...Les yeux brillants, elle a dit :
— Mon Dieu, comme a grossi en moi!
J'ai pensé qu'elle allait me faire jouir avec sa bouche ou sa main. Sans doute pas qu'elle reviendrait sur moi, mais cette fois en appuyant mon gland qui avait quasiment doublé de volume contre sa muqueuse anale. Elle s'est laissé descendre sur moi. Je suis rentré en elle avec une facilité qui m'a surpris. J'ai vu ma queue disparaître dans son orifice rectal que les filles m'avaient souvent refusé. Elle a fermé les yeux et gémi de plaisir.
— Hmmmm c'est bon par le cul. Par la chatte aussi, mais là c'est vraiment incomparable. Du plaisir pur.
On s'est recalibrés de quelques centimètres. Moi me reculant tandis qu'elle se dégageait de sur moi, projetant le bas de son ventre en avant. Elle s'était agitée sur moi, elle m'a laissé les commandes, pour la fouiller pendant qu'elle amenait sa main sur son sexe et se masturbait pour décupler son plaisir et lui donner plus d'intensité.
Ca faisait très longtemps que je n'avais pas sodomisé une fille, et je retrouvais ce que ce moment peut avoir d'unique, en faisant aller et venir ma queue dans le conduit étroit. Je durcissais encore, mais son rectum avait accueilli ma chatte et s'était pour ainsi dire moulé sur ma queue, s'adaptant même si je me dilatais encore. C'était que la situation était excitante, et elle l'était encore plus parce qu'elle se masturbait devant mes yeux, avec des gestes qui me troublaient. Elle avait commencé par tirer d'une main sur ses grosses lèvres gorgées de sang, tandis que de l'autre elle masturbait son gland clitoridien à l'allure d'une mini-bite. Elle ruisselait encore, comme si elle avait eu en elle des fontaines qui ne se tarissaient jamais. Elle a joui à nouveau. Mais avec une autre source de plaisir...Ejaculant et maculant nos deux corps.
J'ai senti ma résistance fondre. Elle l'a senti aussi, a dégagé ma queue de son anus, j'ai eu le temps de me rendre compte qu'elle était dilatée, on voyait loin les parois de son rectum, cette zone habituellement close. Elle m'a collé contre elle, de telle sorte que le dos de ma queue repose à plat contre ses lèvres et son gland clitoridien, et elle a esquissé un mouvement de bassin pour me masser. Elle n'a pas eu le temps d'esquisser le deuxième que j'explosais...Elle m'a gardé bien collé contre elle, et mon sperme a maculé, comme elle le souhaitait, son ventre, ses seins, mais il est aussi monté haut, atteignant son cou et son visage. Elle a ri, un rire de bonheur, de plaisir, pendant que le sperme la frappait.
Il y a eu un moment de pause. Le temps de savourer ce moment, qui avait été très fort, et qui était rattaché pour chacun à des besoins et des désirs précis, pour elle jouir pour oublier sa solitude, pour moi jouir pour oublier que peut-être bientôt, je n'aurais plus de travail.
— Si on cassait la croûte?, elle a proposé. Je meurs de faim.
Toujours à poil, avec juste ses bas, sans se soucier de s'habiller, elle est parti chercher le repas. Moi j'étais habillé, mais je pourrais encore me changer. Heureusement que j'avais toujours un stock.
C'est sur le seuil de la porte, avant que je ne retourne travailler qu'elle m'a demandé:
— J'ai l'espoir de te revoir encore ?
Il y avait presque dans son regard une supplication. J'ai voulu la rassurer.
— Je reste deux jours...Et après je reviendrai. Je te donnerai toutes mes coordonnées et toi tu me donneras les tiennes.
Elle a semblé rassérénée.
Je suis reparti faire mes installations.
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Histoire de JamesB

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