Sexe et carwash 5

CAR WASH
partie 5
Quand je me suis réveillé, ça a été à l'instinct. J'avais l'habitude de me lever tôt, tant parce que je devais partir en mission que parce que je devais démarrer mes journées d'installation rapidement. C'était devenu une sorte de réflexe.
Un instant, je me suis demandé où j'étais, avant que ça ne me revienne. Le dîner après qu'on ait joui, nos queues collées l'une à l'autre. Puis l'invitation à rejoindre ce grand lit dans lequel je me trouvais à présent. On s'était accouplés, endormis, réveillés au milieu de la nuit pour baiser à nouveau, puis nous rendormir, jusqu'au matin.
Elle était couchée sur le dos, avec juste un bout du ventre couvert par le drap. Il a suffi que je la regarde, avec ce corps souple, taille fine, seins énormes, et sa queue gorgée de sang pour que j'éprouve un désir immense pour elle, qui s'est matérialisé par une pleine érection, qui s'est installée en quelques secondes.
Sans doute mon regard sur elle, elle a ouvert les yeux. Sans un mot, elle m'a souri, et a engagé une reptation sur le lit, qui a amené sa queue dilatée au niveau de ma bouche, tandis que la sienne venait chercher la mienne. On s'est caressés mutuellement, d'une bouche avide et habile, la sienne sans doute plus que la mienne.
On a pris un petit déjeuner ensemble, la bouche encore pleine du sperme dont l'autre nous avait remplis. Il était temps pour moi de rejoindre mon chantier.
Un pantalon en vinyle ultra-moulant, un corset en haut dont ses seins semblaient prêts à jailir, sa queue glissée entre ses cuisses. Une femme avec un petit plus, ou une petite différence.
— Je ne serai pas là de toute la journée. Je pars à cinquante kilomètres d'ici. On a le projet d'ouvrir une salle de sport dans un bâtiment agricole abandonné. Il faut que je voie dans quel état il est. Ecoute...J'ai très envie de te revoir. Tu penses revenir?
— Il faut que tu détraques le car wash...
— On va faire mieux que ça. Je vais appeler ton patron et lui dire que ça déconne. Tu reviendras et comme tu n'auras aucune réparation à apporter, on aura tout le temps pour baiser ensemble.
Je crois qu'on aurait encore cédé à nos envies, mais on s'est éloignés l'un de l'autre, pour ne pas céder à la tentation.
Je suis parti finir mon chantier. Une heure de travail. Une demi-heure pour tout vérifier. C'était bon.
9 heures 45. Juste en face, une jolie brune qui aimait le sexe m'attendait.
Ca me permettrait de finir mon séjour ici en beauté. Je l'inviterais ensuite au restaurant, puis je rentrerais.
Et demain ?
D'autres lieux, d'autres installations, d'autres femmes.
J'ai traversé la rue pour la rejoindre.