ACCUEIL > Masturbation > Récit : Soirée de saint Sylvestre

Soirée de saint Sylvestre

+12

Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 16/09/2024

Découvrez les filles coquines près de chez vous :

Soirée de réveillon

Quelques jours avant la fin de l’année 2009, j’ai rencontré fortuitement un ancien élève prénommé Julien, qui, me sachant seul ce soir là, m’a invité à passer le réveillon de la Saint Sylvestre dans sa famille.

Le jour venu, je sonne au domicile de Julien vers 19H30, les mains chargées de fleurs pour la maîtresse de maison. C’est d’ailleurs elle qui vient m’ouvrir, avec immédiatement sur ses talons Julien qui me présente sa mère, Anne Sophie. D’entrée de jeu, je la trouve très belle femme. Arrivé le dernier, tous les invités me sont présentés (une dizaine de personnes dont un jeune enfant) et nous passons rapidement à table.

Je me retrouve entre Julien à ma droite et son père , Philippe à ma gauche. En face de moi prend place la maîtresse de maison, Anne Sophie. Elle porte un haut marron, très moulant, qui lui couvre les bras et une jupe ample, marron également. Sous sa jupe, des bas ou un collant. De belles bottes noires complètent sa tenue.

Les verres se lèvent et les conversations s’engagent. Tandis que je questionne Julien sur ses études de psychologie, je ne puis m’empêcher de poser mon regard sur Anne Sophie. Ses épaules et surtout sa poitrine sont admirablement moulées par son haut marron. J’admire également les traits réguliers de son visage et ses cheveux blonds frisés. Elle porte un joli collier, dans le ton de sa jupe. Inconsciemment, je lui souris. Elle me répond par un sourire, puis porte son verre à ses lèvres.

Je constate que, seules, 2 femmes sont présentes autour de la table. La 2ème , prénommée Marie, ne retient aucunement mon attention. J’apprends simplement, dans le courant de la conversation, que c’est la femme d’Eric, assis à la droite d’Anne Sophie. Eric semble être le meilleur ami de Philippe.

Je finis par engager la conversation avec Anne Sophie que je dévisage et mate de plus en plus souvent. J’éprouve de la gêne à la regarder avec autant d’insistance. Je me surprends à épier les moindres mouvements de ses mains et de ses lèvres. Le relief de sa poitrine capte toute mon attention. Je bois ses paroles quand elle me parle de son métier. Le timbre de sa voix me charme et je l’écouterais pendant des heures.

Mon regard, qui croise de plus en plus souvent le sien, ne semble pas la perturber. Pourtant, je perçois à son maintien et aux attitudes qu’elle prend quand elle s’exprime que c’est un caractère réservé, voire timide. Cette réserve et cette timidité naturelles font d’ailleurs partie de son charme.
Mais la convivialité de cette soirée festive, bien arrosée, l’amène à converser avec tous ses invités, en sortant de sa réserve habituelle…

De mon côté je finis par me laisser aller à la regarder, l’alcool me désinhibant complètement. Je me surprends à la fixer, et à lui sourire pratiquement en permanence. Nos regards finissent par rester accrochés. Je la dévore des yeux. A ma grande surprise elle ne baisse pas ses paupières mais soutient mon regard, comme si l’attention soutenue que je lui porte la flattait.

Vers la fin du repas nos regards embués par les vapeurs éthyliques finissent par se perdre dans une contemplation réciproque. Ces instants sont magiques. Nous nous regardons et nous dévisageons avec un intérêt croissant, beaucoup de tendresse et une pointe de désir.

Je finis par allonger timidement mon pied sous la table….Lorsque ma chaussure rencontre la botte d’Anne Sophie, elle rougit mais ne dérobe pas son pied.
Je clos à moitié mes yeux en essayant de ne rien laisser paraître de l’émotion et du trouble qui commencent à me gagner. De son côté, Anne Sophie tourne un peu sa tête en agitant son buste, pour, sans doute, dissiper sa gêne et chasser de son esprit quelque sentiment coupable. Sa main saisit son verre aux trois quart rempli qu’elle vide assez rapidement.

Discrètement je me déchausse afin d’avoir un meilleur « contact » avec la botte sur laquelle je remonte très lentement. Le visage d’Anne Sophie reste de marbre mais sa tête s’abaisse , en signe d’acceptation. Au bout de quelques instants, il me semble lire sur son visage l’ombre d’un plaisir complice. Je finis pas atteindre son genou que je caresse amoureusement.

Soudain, je sens la main d’Anne Sophie se poser sur mon pied qu’elle commence à caresser tendrement. J’essaie de lui rendre cette tendresse et cette caresse. Je sursaute presque lorsque je sens la 2ème main d’Anne Sophie rejoindre la 1ère pour…m’ôter rapidement ma chaussette. Ce contact direct entre nos deux épidermes m’émoustille. Puis elle repose vivement sa main droite sur la table afin de ne pas éveiller l’attention des convives. De sa main gauche, Anne Sophie caresse et masse mon pied dénudé pendant encore quelques minutes. Elle repose ensuite sa main sur la table.

Pour faire diversion, elle se tourne vers Eric qu’elle questionne sur son travail, puis recueille l’avis de Marie sur le degré de cuisson des coquilles Saint Jacques….
Durant ce temps, mon pied continue d’explorer la cuisse de la maîtresse de maison en la caressant à travers son collant. Fort heureusement le niveau sonore des voix, qui s’expriment sans retenue dans cette chaleureuse ambiance, couvre le probable crissement du collant sur lequel je fais voyager mon pied.

Devinant la nature plus intime de mon approche, Anne Sophie cesse soudain de parler. En appui sur ses coudes, elle joint alors ses mains et clôt à demi ses yeux, comme pour goûter l’instant où mes orteils dénudés effleureront son sexe à travers la matière soyeuse du collant.

Je sens ses cuisses bouger en s’entrouvrant un peu afin de faciliter ma visite. Le repérage effectué, tous mes orteils viennent se caler dans son entrecuisse qu’ils commencent à masser, assez maladroitement. Cet attouchement insolite, au nez et à la barbe de cette assistance bruyante, est fabuleux. Sentir le sexe déjà moite d’Anne Sophie à portée de « pied » me rend fou de désir. Le visage d’Anne Sophie s’empourpre et ses lèvres s’entrouvrent comme pour laisser échapper un gémissement de bonheur.

Puis soudain, Anne Sophie se ressaisit. Elle rouvre complètement ses yeux. Elle se lève assez vivement en prétextant une surveillance en cuisine. Interloqué, je me demande si je ne suis pas allé trop loin dans ma démarche. En réintégrant sur l’instant mon pied, toujours dénudé, dans ma chaussure, je commence à me reprocher d’avoir tout gâché en voulant brûler les étapes.

Quelques minutes plus tard, la maîtresse de maison réapparaît. Son visage n’exprime aucune contrariété. Comme pour dissiper mes doutes et ma culpabilité, elle me sourit d’une manière étrangement complice. Encouragé par son attitude nullement réprobatrice, je ressors mon arme de son fourreau en retentant une timide approche sous la table. Puis sous la jupe qui semble avoir été remontée pour faciliter les opérations…

Consciencieusement, je refais le parcours à l’identique pour me représenter à l’endroit stratégique. Et là je constate, en suffoquant presque, que la matière soyeuse recouvrant l’entrecuisse a disparu, ou plutôt a été déchirée. J’en profite alors pour m’engouffrer dans cette brèche. J’effleure d’abord les lèvres molles de sa vulve, puis me complais à palper sa fente déjà bien mouillée. Assez gauchement mon gros orteil cherche le bouton… et, à lire le chavirement dans les yeux de ma partenaire, le trouve.

La main droite d’Anne Sophie se glisse alors le plus discrètement du monde sous la nappe. Je sens cette main brûlante guider et surtout appuyer et compresser mon orteil à l’endroit où c’est si voluptueux pour elle. Elle use et abuse de mon orteil pour faire monter son plaisir. Je perçois les ondes qui commencent à traverser et irradier son ventre et son bas ventre. Au moment où Philippe, son époux, lâche une plaisanterie grasse en soufflant dans un cotillon, je sens Anne Sophie sur le point de venir. Légèrement penchée au dessus de la table, elle presse et compresse très fortement mon orteil contre son clitoris. Des spasmes accompagnent son orgasme au milieu d’un éclat de rire général.
12 vote(s)


Histoire de Paul456

Vous avez aimé ce récit érotique ? Tweeter

Nous luttons contre le plagiat afin de protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette histoire est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être copiée ou imprimée.

© Copyright : Nos histoires sont protégées par la loi. Un grand nombre d'écrivains nous ont donné l'exclusivité totale.


Commentaires du récit : Soirée de saint Sylvestre


Aucun commentaire pour le moment

Pour poster un commentaire ou faire un signalement, merci de vous inscrire ! Inscription rapide


Histoire précèdente <<<


Retour en haut de la page

Libertinage et masturbation de jolies libertines en webcams totalement gratuites :