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Soirées d'été en famille

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 2 - Histoire postée le 07/05/2024

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Je suis invité pour quelques jours chez ma sœur. Nous sommes installés dans son jardin au bord de la piscine pour un rafraichissement en cette fin d’après-midi d’été caniculaire.
- Noémie n’est pas là, demandai-je déçu à ma sœur ?
Noémie, c’est ma nièce et aussi ma filleule. Je l’aime beaucoup. Ma sœur et elle sont ma seule famille. J’ai été marié mais je n’ai pas eu d’enfant. Ma femme m’a quitté et je n’ai pas encore trouvé une compagne pour recommencer une histoire. Ma sœur est plus âgée que moi. Presque dix ans de plus. Sa fille à dix-neuf ans. Il y a presque la même différence d’âge entre ma soeur et moi qu’entre ma nièce et moi.
- Elle est allée passer la journée chez une amie. Elle ne devrait pas tarder.
Quelques dizaines de minutes plus tard, elle arrive effectivement. Elle me saute au cou, visiblement contente de me voir. Je lui demande de ses nouvelles je m’informe sur ses études de droit en cours. Elle va, dans quelques jours, entrer en deuxième année. Quand elle fait une bise à sa mère je sens une tension. Ma sœur a un tempérament strict et autoritaire. Noémie porte une jupe de coton au motif fleuri assez courte sur ses jolies jambes minces et un teeshirt blanc très moulant. Pas de maquillage pas de bijou. Seulement une fine chaine en or autour de sa cheville droite.
- Tu peux me dire ce que c’est que cela ?
Ma sœur Christine lui tend une enveloppe décachetée. Noémie prend connaissance du courrier.
- J’ai dû être flashée l’autre jour à la sortie de la ville en allant chez ma copine.
- Avec ma voiture ?
- Euh… Oui ! 59km/heure au lieu de 50 ce n’est pas beaucoup !
- Oui mais c’est moi qui paye l’amende et à qui on retire un point sur son permis.
- Désolée !
- Tu vas être punie, dès ce soir. Va prendre une douche et te changer. Nous règlerons cela après le dîner.
La soirée se poursuit. Je perçois toujours une tension mais qui a changé de côté. C’est ma nièce qui s’est renfermée. Elle d’habitude si gaie et enjouée parle peu et seulement quand on l’interroge.
Dessert et café sur la terrasse, une gentille soirée en famille…
- Maintenant ma fille, tu vas recevoir ta punition.
- Non maman pas maintenant !
- Et pourquoi pas maintenant je te prie ?
- Pas devant oncle Michel !
- Bien sûr que si ! Justement, la punition sera d’autant plus marquante.
- Maman… dit-elle suppliante.
- Ne discute pas et prépare-toi.
Je réalise à ce moment que ma sœur, comme nos parents, s’est toujours vantée d’élever sa fille sévèrement et d’être une fervente adepte des châtiments corporels. Noémie se lève.
- Excuse-moi maman, je te promets de faire très attention à l’avenir.
- J’y compte bien. Tu seras pardonnée quand tu auras reçu ta punition. 35 euros ça fait 35 fessées plus 9 pour les km de dépassement et un pour le point soit 45. Ça me semble juste pour commencer. Déshabille-toi et installe-toi.
La jeune fille est redevenue une petite fille à cet instant. Debout devant nous, elle ne bouge pas.
- Ecoute dépêche-toi, on ne va pas y passer la nuit !
Elle déboutonne lentement son chemiser et l’enlève. Le pose soigneusement sur le dossier d’une chaise. Elle quitte son short qui rejoint la chaise également. Elle porte un petit soutien-gorge en coton imprimé de motifs bleus orné d’une petite bordure en dentelle blanche et un tanga assorti. L’ensemble est tout à fait charmant.
- Allez la suite !
- Maman !
- Tu connais la règle, je ne vois pas pourquoi elle changerait ce soir.
Rouge comme une pivoine, elle se tourne et ôte son soutien-gorge. Prestement elle enlève sa culotte et reste debout en nous tournant le dos. Elle a un corps de rêve, une magnifique silhouette, des hanches bien marquées et de longues jambes. Je détaille ses jolies épaules avec des omoplates un peu saillantes et des bras délicats. Des marques de bronzage dessinent un triangle blanc sur ses petites fesses toutes rondes surmontées de deux petites fossettes au creux de la cambrure de ses reins.
- Viens ici !
Elle se retourne et tout en masquant sa poitrine du bras droit et son sexe avec la main gauche elle s’avance sur la terrasse.
- Prend la position contre la table.
Elle se penche, s’y accoude, écarte un peu les jambes suffisamment pour que je puisse entrevoir son petit abricot. Sa mère se lève se place à sa gauche. Sa main droite parcourt un instant la rotondité de sa fille magnifiquement exposée. Merde, je bande ! J’ai un peu honte de me régaler du spectacle de ma filleule nue et humiliée mais nous n’avons que neuf ans d’écart. Elle est tellement jolie ! J’essaie de me calmer de respirer doucement. Je ferme un instant les yeux mais les rouvre instantanément quand le premier coup claque.
- Un !
C’est la punie qui compte à haute voix selon un rituel de toute évidence bien établi. Je vois dans les secondes qui suivent la marque de la main se dessiner sur la peau blanche.
- Deux… Trois…
Une dizaine de secondes entre chaque claque laisse le temps à la brûlure de diffuser. A dix ma nièce commence à remuer et le popotin irradie.
- Douze… treize…
Sa voix s’éraille.
- Vingt !
Sa respiration devient haletante hachée par des sanglots.
- Vingt-cinq !
On a passé la moitié de la punition. Ma sœur marque une pause la belle se redresse et se frotte vivement le postérieur maintenant cramoisi. Plus aucune pudeur, elle ne pense plus à dissimuler les attributs de sa féminité. Ses petits seins fermes se balancent au rythme des mouvements saccadés de ses mains qui tentent en vain d’apaiser la brûlure de ses fesses. Son joli minou complètement épilé, réduit à une simple fente, me surprend mais me ravit.
- On reprend !
Les claques sonores et brûlantes résonnent à nouveau dans cette chaude soirée d’été. Heureusement, il n’y pas de voisins très proches.
- Trente… trente-cinq…
Après chaque coup la pauvre Noémie plie les genoux et le décompte n’est plus qu’une plainte entrecoupée de sanglots et de reniflements.
- Quarante… enfin quarante-cinq.
La punie se relève juste le temps de se frotter la zone endolorie avant que sa mère ne lui intime l’ordre de rester debout au milieu de la terrasse les mains posées sur la tête exposant son joufflu incandescent. Une humiliation qui durera presque une demi-heure, les yeux rougis avec de grosses larmes coulant sur ses joues et en se dandinant d’une jambe sur l’autre pour ma nièce. J’ai du mal à détourner les yeux de cette lune si attirante. Ne voulant pas trop montrer d’intérêt pour le corps dénudé de ma nièce je me force à détourner le regard mais ne peux m’empêcher de jeter un coup d’œil nièce de temps à autre. Enfin sœur lève la consigne et ajoute :
- Tu n’en tireras pas comme cela. Demain deuxième épisode et c’est Michel qui te donnera ta punition.
Je reste sans voix. Je la regarde s’éloigner et plonger toute nue dans la piscine dans le but évident d’apaiser le feu de la punition. Je l’y rejoins sans plus attendre.
- Pas trop mal ?
- Non ça peut aller et l’eau fraîche ça fait du bien. Elle a retrouvé son sourire que j’aime tant.
- Ta mère te corrige souvent comme cela ?
- Parfois mais bien moins qu’avant. En général je l’ai mérité !
- Je vais vraiment devoir te donner une fessée demain ?
- Tu sais quand maman promet quelque chose on n’y échappe pas !
- Mais je ne veux pas te faire de mal.
- Tu me feras surement moins mal que maman et dis-toi que c’est pour mon bien !
Elle a retrouvé son sourire et son habituel air enjoué. A ce moment je suis plus inquiet qu’elle Après avoir prolongé sa baignade quelques minutes, sans doute soulagée par l’eau fraiche, elle nous rejoint sur la terrasse et sans s’être rhabillée, nous souhaite une bonne nuit et disparait dans la maison.
Nous montons nous coucher. J’ai du mal à trouver le sommeil. Je revois le corps délicieux de ma nièce. Ses seins, son ventre, ses fesses, sa silhouette s’agitent devant moi. Anxieux et excité par ce qui se passera le lendemain je finis par m’endormir. Il est presque neuf heures quand je rejoins ma sœur et ma nièce attablées devant un petit-déjeuner sur la terrasse.
Noémie en maillot de bain s’éloigne vers la piscine et y saute pour quelques longueurs nous laissant tous les deux.
- Tu ne crois pas qu’elle a passé l’âge d’être fessée comme une gamine ?
- Je ne pense pas. Nous en avons souvent parlé. Elle a toujours préféré une bonne fessée à une retenue d’argent de poche ou à une série de tâches ménagères ou de jardinage. Les punitions doivent être comprises et acceptées pour être efficaces ne crois-tu pas ?
- Certes, mais tu veux vraiment que je la corrige à mon tour ?
- Oui. Elle vient de passer son permis. Si elle commence à s’affranchir des règles du code de la route au bout d’un mois qu’est-ce que se sera dans un an ou deux. Je n’ai pas envie de la retrouver à l’hôpital ou pire encore ! Elle t’adore et t’admire si tu participes à la punition c’est que tu es d’accord avec moi. Ton avis compte pour elle.
- Oui mais je n’ai jamais fait cela.
- Rappelle-toi, tu en a reçu de bonnes de nos parents ce n’est pas si vieux.
- C’est vrai !
J’ai dû rougir en y repensant. Nos parents nous ont donné des fessées et nous assistions toujours à la punition de l’autre. J’ai vu jusqu’à un âge avancé les fesses de ma sœur rougir à plusieurs reprises et elle a vu les miennes bien plus souvent encore. J’ai l’impression que c’était hier.
- Nous procéderons à la deuxième partie de la punition ce soir après le repas.
Noémie ruisselante, nous rejoint enveloppée dans une serviette de bain.
- De quoi parliez-vous demande-t-elle ?
- De punitions, de fessées pour être plus précis. Ton oncle à des doutes sur leur utilité en général et sur celle qu’il doit t'infliger ce soir en particulier.
- Ah !
- Et toi qu’en penses-tu ?
- Ça me parait être une méthode comme une autre et qui a fait ses preuves, non ? Vous en avez pris dans votre enfance, le regrettez-vous vraiment ?
- Non certes, avouai-je.
- Donc ce soir c’est mon oncle préféré qui va me donner la fessée ? C’est un honneur dit-elle en riant !
- Je n’en suis pas certain dis-je. Seulement si tu l’acceptes et pour te rappeler les règles de prudence.
- Je l’accepte, je l’ai méritée. Ne sois pas trop sévère tout de même. Dit-elle en s’éloignant vers la maison.
Je la regarde s’éloigner. Son joli postérieur moulé dans son petit bikini jaune retenu par des nœuds sur les côtés se balance au rythme de ses pas. Je l’imagine dénudé rougissant sous ma paume. Je suis son oncle mais l’ambivalence de mes sentiments me trouble. Je reste silencieux ma sœur me tire de ma réflexion :
- Tu vois, pas de quoi se formaliser. Ce ne doit pas être l’occasion de défouler sa colère. Une punition corporelle doit être réfléchie, expliquée et acceptée sinon c’est uniquement de la violence. La dernière fois qu’elle en a reçu une c’était il y a dix-huit mois pour une soirée entre copines prolongée bien au-delà de l’heure permise. Elle était encore mineure. Si Noémie me dit : Non je ne veux plus, je suis trop vieille ou pour toute autre raison, on arrête mais tu, vois cela ne s’est encore pas produit.
- Là je suis d’accord.
La journée fut merveilleuse. Christine et Noémie me posèrent un tas de questions notamment si j’avais une femme dans ma vie et m’encouragèrent à en trouver une sans tarder afin de fonder une famille.
- J’aimerais tellement avoir un cousin, Je serais comme sa tante, je pourrais le garder, lui faire des cadeaux, l’emmener au manège comme tu as fait avec moi tu te rappelles comme on a passé de bons moments ?
- Oui bien sûr. Une ombre passe dans ma tête. Et si une malheureuse fessée venait tout gâcher ?
Repas du soir. Les deux filles sont détendues mais moi je me sens de plus en plus nerveux.
- Bon Noémie, tu sais que nous avons une petite formalité dont nous devons nous acquitter ?
- Oui Maman.
Elle est incroyablement calme et naturelle.
- Alors prépare-toi. Et toi Michel comment veux-tu procéder ?
- Sur mes genoux, restons classiques, dis-je sans réfléchir.
Noémie est en maillot de bain. Je la vois détacher le nœud derrière le cou qui tient le haut, puis l’enlever complètement. Elle ne tente plus de cacher sa jeune poitrine et en se penchant en avant fait glisser son bas de maillot de bain jusqu’à ses chevilles, l’enjambe pour s’en libérer complètement et dans le plus simple appareil s’approche de moi. Elle se place à ma droite, s’agenouille puis se couche en travers de mes genoux. Son petit popotin qui s’offre ainsi me met dans un état second. Je recommence à bander. Je ne porte qu’un short de bain. Elle ne pourra pas manquer de sentir mon sexe dur contre sa hanche. Je n’aurais pas dû choisir cette position. Trop tard ! J’ai posé ma main droite sur ses fesses incroyablement fermes. Je sens ses muscles frémir. Ma main gauche se place enserre sa hanche droite et la maintient fermement contre moi. Sa peau est douce et soyeuse.
- Tu dois annoncer la durée de la punition me dit Christine.
- Je ne sais pas… Comme hier, quarante-cinq ?
- Pour quelqu’un qui avait des doutes tu y vas franchement !
Je corrige en hâte :
- Non c’est trop ! Vingt !
- Là ce n’est pas assez, ce qui est dit est dit, ce sera quarante-cinq. Allez, vas-y !
Un première fois ma main s’abat sur le fessier de ma nièce. On entend à peine un claquement.
- C’est une fessée pas des caresses, lance Christine !
Tant pis ! Allons-y je me lance les claques pleuvent à un rythme plus soutenu que celles de ma sœur. Je m’applique à répartir les claques sur toute la surface du joufflu et en alternant droite gauche.
- Vingt dit Noémie ! On fait un break s’il te plait.
Je vois alors que la peau a viré au rouge vif. Elle se relève. Se masse les fesses. Sa poitrine s’agite à quelques centimètres de mes yeux. Je m’étonne en voyant ses mamelons dont les petits tétons sont dressés et les aréoles toutes ridées. Je suppose que le contact avec la peau de ma cuisse explique cette réaction, à moins que… Je baisse mon regard sur son ventre. J’ai l’impression que sa petite fente est luisante. Serait-elle excitée par la situation ? pour ma part je bande furieusement et il est peu probable que ça lui ait échappé.
- Tu ne te débrouilles pas trop mal pour un novice, dit-elle, ça me chauffe bien.
Qu’entend-elle par-là ? Je la chauffe… C’est pour cela que son petit minou est humide ? Je dois en avoir le cœur net.
- Reprends la position, dis-je.
- Bien mon oncle répond-elle d’un petit ton espiègle.
Elle s’allonge de nouveau sur mes genoux. Je lui administre une série de dix toujours en alternant fesse droite fesse gauche. Je marque une pause. Faisant mine de m’inquiéter je lui demande :
- Ça va ?
Elle ne dit rien mais pousse un gros et long soupir, j’en profite pour masser le joufflu avec insistance en écartant les deux globes afin de bien voir sa petite chatte. Cette fois j’en ai la certitude elle est toute mouillée ! Insidieusement mon pouce parcourt de haut en bas le sillon de son intimité, frôle son petit abricot et en ressort bien humide ! Qu’à cela ne tienne si elle aime ça elle va en avoir. Les quinze dernières gifles données très lentement ne sont pas des caresses, croyez-moi. Quand elle se relève je vois les larmes couler sur ses joues. Je me lève à mon tour et la serre dans mes bras. Je lui donne un bisou sur chaque joue. Sa poitrine nue contre mon torse ajoute à mon trouble et mon érection est encore plus intense.
- Sois prudente à l’avenir, on t’aime !
Elle plonge dans la piscine. En marchant vers le bassin pour de faire de même j’approche ma main de mon visage. J’hume longuement cette odeur de sexe de femme qui m’excite tant. Je la rejoins. Je nage sous l’eau dans sa direction et j’émerge près d’elle. Elle me sourit.
- Je ne t’ai pas fait trop mal ?
- Oh que si ! la dernière série était assez dure et l’eau fraiche n’a pas encore calmé la brûlure de mes fesses qui se souviendront de toi. Je vais rester là encore un moment. Deux fessées consécutives vont laisser des traces pendant quelques jours.
- J’ai presque eu l’impression que tu aimais ça, je me trompe ?
- Moi aussi j’ai eu la même impression et je ne pense pas me tromper !
Nous rions, elle m’éclabousse, je lui appuie la tête sous l’eau, elle se dégage en nageant à l’autre bout du bassin. Cet échange se termine par un petit chahut qui permet de dissiper le léger malaise qui s’est installé. Elle sort de l’eau sans aucune gêne. Je profite encore une fois du spectacle de son corps magnifique. La rotondité de son postérieur affiche encore une belle couleur. Elle s’enroule dans une serviette de bain avant de l’allonger sur un transat. Je lui souhaite une bonne nuit et monte me coucher. Il faudra que je libère cette tension sexuelle érotique avant de trouver le sommeil. Suivant les conseils de ma sœur et de ma nièce je suis décidé à me mettre sérieusement à la recherche d’une femme pour partager ma vie. Aurai-je les arguments suffisants pour la convertir à la pratique de la fessée ?
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Histoire de visigoth

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Commentaires du récit : Soirées d'été en famille

Le 27/07/2024 - 04:52 par dallas
A quand la suite????
Le 10/05/2024 - 14:18 par nana08000
Histoire très sympa mais je reste sur ma faim et j'espère qu'il y aura une suite

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