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Sous la douche partie 1

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 16/09/2024

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SOUS LA DOUCHE
PARTIE 1
CHLOE
Ca a été par hasard que je l'ai vu la première fois.
Je fais partie d'un projet et d'un processus qui ont été initiés il y a cinq ans, qui permet à de jeunes adultes, qui ont échoué dans leurs études, de suivre une formation, encadrés, appuyés, jusqu'à ce qu'ils aient un diplôme. On est dans un grand centre, et on fonctionne en parallèle avec des mêmes formations, mais la notre est plus courte, et au final, le diplôme est le même.
Ca a pas mal de succès. Des gens viennent de très loin pour s'inscrire. Comme moi.
Raison pour laquelle je suis interne. Je ne peux pas rentrer le week-end. Mais ça me va très bien comme ça.
C'est d'ailleurs grâce à ça que j'ai découvert ce spectacle qui m'a...Remuée jusqu'au fond de mon ventre.
On a un grand bâtiment d'internat. Pour schématiser, mais ce schéma correspond bien à la réalité, il y a un bloc garçon, un bloc filles, et les sanitaires sont au milieu, avec clairement identifié un coin garçon et un coin fille.
Donc, c'était mercredi après-midi. Je revenais du sport, il était trois heures de l'après-midi. Je suis allée prendre une douche.
Lavée, essuyée, changée, j'allais repartir.
Je suis sortie des douches filles.
C'est en passant devant les douches garçons que j'ai entendu l'eau couler. Rien de surprenant. Il pouvait très bien y avoir des personnes qui venaient prendre une douche selon leur gré, comme moi. D'autant qu'il y avait une séance sport le mercredi après-midi.
Non, ce qui m'a inquiété, c'est que l'eau coulait déjà quand j'étais passé en sens inverse, et je me suis dit que peut-être, quelqu'un avait oublié de couper l'eau.D'autant que l'eau coulait avec une certaine force.
J'ai donc décidé de me risquer, très discrètement, dans le coin garçon.
Je n'oublierai pas la scène que j'ai surprise.
Il y avait des douches individuelles, et un bloc collectif, pour ceux à qui la nudité ne posait pas problème. Quoi que généralement...On n'hésite pas à se balader à poil à cet âge là, et dans des collectivités.
Le gars était calé, dans le bloc collectif, sous le jet d'une douche, les robinets bien ouverts, l'eau tombait avec intensité.
Mais il ne prenait pas une douche. Enfin, pas vraiment.
Il était posé sur une chaise en plastique. Une de ces chaises que l'on trouve n'importe où, qu'on ne paye pas trop cher, et dont on se sert pour l'extérieur. Celle-là était rouge.
Il était entièrement à poil. Et il se laissait arroser par le jet, que j'imaginais chaud et agréable.
Il était plutôt beau gosse. Brun, cheveux coupés courts, et musclé.
Et il avait une queue énorme.
A 23 ans, j'aimais les queues, et j'aimais le sexe. Comme tous ceux qui avaient le courage de l'avouer. J'aimais jouer avec une verge, la prendre dans ma bouche, dans mon vagin, dans mon anus. Là, il y avait tout ce qu'il me fallait. Une queue en pleine érection, très longue, mais aussi très épaisse, qu'il masturbait sous l'eau. Un geste lent, il voulait sans doute prendre son temps, avant de jouir. Et sa queue, déjà bien épaisse, s'est dilatée tout le temps que je l'ai regardé.
J'étais planquée contre le mur qui limitait la partie douches, je me suis dit plus tard que j'étais peut-être visible. Il était en plein trip, en tout cas, Les yeux mi-clos, il était ailleurs, partagé entre le plaisir que lui procurait sa masturbation, et celui apporté par cette chaleur qui l'enveloppait.
Le voir se caresser me donnait envie de me caresser comme lui. Une question de mimétisme, mais aussi les fantasmes qui m'ont envahi, m'ont fait rêver que cette queue puisse rentrer en moi et me fouiller. Ces derniers temps, j'avais consacré beaucoup de mon temps aux études, et peu au plaisir sexuel, et je prenais soudain tout de plein fouet, un retour en pleine tronche, comme un boomerang.
J'avais un caleçon sec, et une petite culotte dessous. J'aurais été bien incapable de m'en empêcher, j'ai glissé ma main sous le caleçon d'abord, me frottant à travers ma culotte. J'ai trouvé le tissu déjà bien humide, et sur une vaste surface. Ca va parfois très vite quand on est excité et d'autant plus quand on n'a rien fait pendant longtemps. Pas même se masturber. Je me suis fourré la main dans la culotte. Comme je l'avais senti à travers le tissu, mon sexe était entrouvert, et mes lèvres, habituellement repliées à l'intérieur, sorties et s'épanouissant. Il y a eu ce jaillissement de mouille, sur mes chairs, et contre mes doigts, mouille que je sentais de plus en plus abondante de seconde en seconde. Je me suis frottée en ayant du mal à ne pas gémir de plaisir. Ca faisait trop longtemps que je ne m'étais pas branlée. J'ai senti mon gland clitoridien s'ériger, et finalement sortir de sa gaine. Je suis remontée sur lui et je l'ai branlé de la pulpe de mon index. J'avais oublié qu'il pouvait être aussi gros. Il était vrai que j'étais dans un état d'excitation extrême.
Le gars approchait de la jouissance. Je le voyais à la manière dont son corps se positionnait, à son expression. Sa queue était à l'extrême de sa dilatation.
Je me concentrais sur mon gland clitoridien, même si, à d'autres fois, je m'étais branlée différemment, en insistant sur mes lèvres ou encore avec un doigt, deux, trois ou quatre allant et venant en moi. Ou encore avec un gode. Je sentais bien qu'il suivait un chemin parallèle à son érection, quoi que de manière plus courte et plus rapide.
Il a poussé un gémissement, s'est tordu, a fermé les yeux, a basculé en arrière...Et son sperme a commencé a jaillir, dans les airs, sous et à travers l'eau. Des jets de semence copieux. C'en était trop et je me suis mise moi aussi à jouir.
Je me suis retenue de hurler, parce que je ne voulais surtout pas me signaler. C'était sans doute parce que je n'avais pas joui depuis longtemps que les orgasmes se sont enchaînés, et qu'ils ont été aussi forts. Je sentais surtout que je crachais des jets copieux de liquide.
L'eau chaude, qui continuait de couler, a lavé la semence qui avait arrosé son corps. Assez curieusement, il ne débandait pas, et sa queue restait aussi dure. Je me suis dit que ce serait le bon moment pour aller jusqu'à lui, et m'empaler sur sa queue. La sentir en moi...Je venais de jouir, et pourtant mon sexe palpitait à nouveau, d'envie...
J'ai remonté ma culotte et mon caleçon, marqués par ma mouille. Heureusement j'avais un blouson, plutôt long, qui allait masquer en partie les choses jusqu'à ce que j'arrive à ma chambre, et puis le mercredi, il n'y avait pas grand monde.
Un dernier coup d' oeil sur lui. Il venait de se lever, la queue collée contre le ventre, et d'enfin couper l'eau.
J'ai regagné le couloir, et ma chambre.
Quand je suis arrivée dans ma piaule, j'ai balancé mon caleçon et ma culotte dans le sac de linge sale que je ramenais le week-end. Mais je n'ai remis ni slip ni pantalon de quelqu’ordre que ce soit. J'avais envie de me masturber, encore, et encore. Le ventre en feu. Jouir, jusqu'à ce que je n'en puisse plus. Ce spectacle me tournait dans la tête et surtout il avait fait renaître en moi des envies étouffées par trop de travail ces derniers temps.
Je me suis allongée sur le lit, avec juste un haut, et je suis venue glisser ma main entre mes cuisses. Toute la zone était bien mouillée, autant parce que j'avais joui que parce que j'étais toujours excitée, et ma cyprine continuait de couler. Une cyprine qui a commencé à tremper les draps parce que je suis revenue sur mes lèvres, pourles frotter, je les ai senties bien gonflées, Et gonflant encore. J'ai su qu'un orgasme montait. Déjà, ou encore, car il était dans la continuité des précédents. C'était comme si je rattrapais, et c'était sans doute partiellement le cas, six mois sans jouissance, en enfilant les orgasmes que j'aurais pu avoir.
Quand Katrina est arrivée, j'avais couplé deux de mes doigts, mon index et mon majeur, et je les faisais aller et venir dans ma chatte. Chaque mouvement d'aller poussait hors de ma vulve de la mouille, avec un bruit visqueux. Je n'avais pas regardé, mais il devait y avoir, au-delà de mes fesses, une énorme tâche d'humidité.
J'étais dans mes fantasmes, dans cette séquence enregistrée et qui tournait en boucle, le gars sous l'eau, assis sur sa chaise, sa queue à la main...Je n'arrivais pas à chasser ces images.
— Tu te donnes bien du plaisir, dis donc !
Je suis revenue à la réalité.
Katrina partageait la chambre avec moi. C'était une blonde pas très grande, avec des origines slaves, un visage bien dessiné, de grands yeux bleus pétillants, une magnifique chevelure blonde, un corps aux formes très marquées. On s'entendait très bien. On se racontait tout. J'avais déjà remarqué que, si je la trouvais attirante, elle aussi me matait ferme. Quand on partage une chambre avec une fille, on est souvent à poil ou en petite tenue. Mais on n'avait jamais trouvé l'autre en pleine masturbation.
— Tu seras d'accord si je t'aide?
Et en deux secondes, ce dont on avait envie, sans vraiment oser l'avouer ou se l'avouer est devenu réalité. Si je n'avais jamais douté de mon envie d'elle, j'aurais pu douter de la sienne.
Elle s'est approchée du lit, a glissé dessus, sur le ventre, est venue m'attraper par les fesses et m'a tiré vers sa bouche, commençant sans attendre à me lécher.
Ça m'a balancé de l'électricité à travers le ventre, puis dans le corps tout entier. Elle savait lécher. Une langue souple et habile, qui se déplaçait bien sur mes chairs, et qui en même temps buvait mes jus intimes.
— Ca fait trop longtemps que j'ai pas léché une fille. Ton foutre a bon goût. Je pourrais en boire des litres.
Je l'ai attrapée par les hanches, en lui proposant:
— Viens, on va se mettre autrement.
On s'est calées tête-bêche. Mes mains sur ses hanches, son cul face à mon visage offert, sa croupe charnue ouverte sur les plissements de son anus, et sa moule, gonflée, dégoulinante, des lèvres longues et fines, et des ruissellements aussi abondants que les miens. Elle a gémi quand ma langue est venue effleurer pour la première fois ses lèvres. Elle a choisi de venir envelopper mon gland clitoridien de sa bouche, alors que j'enfonçais ma langue aussi loin que je le pouvais en elle pour lécher ses muqueuses internes. On a pris du plaisir tout en en donnant à l'autre, et en s'enivrant de ce liquide divin qu'est la cyprine d'une fille.
— Viens, on va jouir autrement, elle a proposé en se dégageant.
J'ai compris où elle voulait en venir quand elle s'est positionnée en biais par rapport à moi. De la sorte, nos deux sexes était bien en contact. Quand j'avais eu des rapports avec des filles jusqu'à présent, on avait fait pas mal de choses, jamais on ne s'était calées comme cela. J'ai éprouvé l'efficacité de cette caresse dans les secondes qui ont suivi. Nos sexes l'un contre l'autre, c'était l'assurance d'une caresse intense, profonde, qui mettait en jeu toutes les parties de notre vulve, lèvre, gland clitoridien, mais aussi le pourtour du sexe, pour un plaisir très fort. Elle a commencé à me frotter, j'ai pris la suite, on était en plein trip, gémissant, ruisselant, arrosant les chairs de l'autre, nos sexes béants à présent, et surtout allant d'orgasme en orgasme. On a fini par s'endormir, épuisées, enchevêtrées. Nous avions d'abord été de simples colocs, on était devenues amies, notre relation venait de basculer sur autre chose. On devait sans doute avoir envie depuis un bon moment, en tout cas, sans vraiment se le dire, car, dans les semaines qui devaient suivre, dès qu'on avait un moment, on se sautait dessus pour du sexe intense et sans tabou.
Je n'avais pas pour autant oublié le moment unique surpris dans les douches. Je ne savais d'ailleurs pas trop quoi en faire. Devais-je retourner le voir, comme j'en avais tant envie, ou tirer un trait dessus? D'autant que je passais mon temps à gouiner Katrina. Et que j'avais énormément de plaisir avec elle. Et si j'y retournais, devais-je simplement regarder, ou enfin céder à mon envie?
Si les choses s'étaient estompées...Mais ça me tournait dans la tête...
Je l'ai cherché un peu partout. Mais le campus était immense, et je n'ai pas trouvé sa trace.
Il ne me restait qu'une chose à faire.
Attendre le mercredi suivant et aller le mater à nouveau.
On verrait bien ce qui se passerait.

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Histoire de JamesB

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