ACCUEIL > Lieux publics > Récit : Sous la douche partie 2

Sous la douche partie 2

+7

Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 16/09/2024

Découvrez les filles coquines près de chez vous :

SECONDE PARTIE
CHRIS
Comment les choses se sont faites...Vous savez, dans la vie, on glisse de moment en moment, de phase en phase...Je crois que la première fois où je me suis posé sous la douche l'après-midi c'est parce que je sortais de la séance de sport et j'étais tout courbaturé. Il faut dire qu'avant d'arriver au centre, je ne faisais jamais de sport. Je m'y étais mis en arrivant...Et j'aimais ça...Mais bon, dans les premières semaines, j'avais des courbatures...Je m'étais accroché...
Et c'était donc juste à mon arrivée que, parce que j'avais mal partout, après la première heure et demi de sport, que je m'étais dit...Que ça serait une bonne idée que d'aller prendre une douche.
Et j'avais pensé que vu que j'avais beaucoup de courbatures, ça serait bien que je reste longtemps sous le jet, et je m'étais dit: 'Et si je prenais une chaise?' Il y avait partout de ces chaises en plastique qui permettaient de se caler un moment, mises à notre disposition dans l'établissement.
J'en avais récupéré une, pas loin d'ailleurs, dans le couloir, et je m'étais mis sous le jet chaud de la douche. Je m'étais senti incroyablement bien. Ca effaçait tout. Et pas seulement les courbatures. La semaine, une semaine difficile, pas évidente toujours, avec son lot d'espoirs, de désillusions, de frustrations...
Et puis je me suis rendu compte que j'avais une bonne érection. La queue bien dressée, collée contre mon ventre. La détente sans aucun doute, totale, qui avait permis à mon érection d'éclore. J'avais empoigné ma queue et j'avais commencé à me caresser. Les derniers mois avaient été compliqués, pas, peu de sexe.
J'ai joui très vite, un orgasme fort et fulgurant, qui m'a traversé, sans pour autant que je débande. J'avais sans doute un quota d'orgasmes offerts, qui correspondait à des mois d'abstinence. J'ai joui plusieurs fois, quatre je crois jusqu'à ce que la tension sexuelle qui m'habitait se relâche.
Pour tout dire, ce moment sous la douche était comme un point de repère pour moi. Quand on commençait le lundi, je me disais: 'Bientôt le mercredi...'C'est fou comme on peut se raccrocher à quelque chose...
Ca s'est passé plusieurs mois comme ça. Et puis tout a changé CE mercredi-là.
J'étais là bien tranquille, dans ma routine, laissant l'eau glisser sur moi et me caresser, moi je caressais ma queue et puis elle est entrée.
J'ai eu le souffle coupé. Et des spasmes dans la queue. Elle était...Vraiment magnifique. Je ne me souvenais pas de l'avoir croisée dans le centre, mais il y avait tellement de monde. La décrire, c'était essayer de la décrire, sans forcément y arriver. Elle était très grande, blonde, avec des formes bien marquées, et elle portait un ensemble de sport, noir et blanc, une culotte, et un top.
— Qu'est ce que tu fais là?, je lui ai demandé. J'avais envie qu'on me fiche la paix.
— J'aime bien prendre ma douche avec quelqu'un. Ca te dérange? Tu préfère rester seul?
— Sans doute que oui.
— Tu as tort. Une fille, ça peut faire beaucoup de choses. Regarde.
Et elle s'est penchée sur ma queue, pour balader une langue avide dessus. Elle faisait ça bien. Sans doute pas la première fois qu'elle caressait le membre d'un garçon avec sa bouche.
J'étais un peu décontenancé. Je ne m'attendais pas à ce qu'elle surgisse. Et puis j'avais tellement l'habitude de me branler. Je m'étais, finalement, refermé sur cette pratique.
Je me demandais où on allait en arriver. Ce n'était pas la peine au final que je me pose la question. Au moment où les choses prenaient forme, si on peut dire, hop, elle a arrêté. Une montée vers le plaisir qui a stoppé net.
Elle voulait jouer avec moi.
J'étais en tout cas totalement décontenancé. Je restais avec cette queue énorme, que je n'osais plus toucher. Se branler, c'est un acte intime.
Tout ce que je pouvais faire, au final, c'était la regarder. La mater, pour être plus précis.
C'était sans doute ce qu'elle voulait, sinon, je ne vois pas pourquoi elle aurait agi comme elle a agi.
Elle a ouvert les robinets du plot juste à côté de moi. Un mix d'eau chaude et d'eau froide. Et elle s'est calée juste dessous. L'eau s'est mise à couler. Elle avait amené un pain de savon, de Marseille, mais dans un premier temps, elle ne s'en est pas servi. Elle a fermé les yeux, et profité de l'eau qui coulait sur elle. Ça a été vraiment sympa, parce que le tissu, en se trempant, a perdu de son opacité. Il n'est pas devenu transparent pour autant, mais ses formes, et des détails se sont dessinés nettement, et ça m'a mis dans tous mes états. Ses seins lourds et bien galbés, les tétons qui tendaient le tissu, le léger renflement de son ventre, le dessin de son sexe, qui est devenu ultra-précis...sa bosse et la fente qui le coupait en deux...Elle s'est tournée aussi pour me faire profiter de son cul, charnu et bien cambré.
Autant dire que, si, parce que j'étais décontenancé, j'avais pu débander, ça n'a pas été le cas. Ma queue était énorme.
Et puis, une fois qu'ils ont été littéralement détrempés, elle a fait passer le haut par dessus ses épaules, et descendu le bas le long de ses jambes. L'occasion de la voir nue. Même si le tissu mouillé avait déjà dit beaucoup. Sur ses seins. J'ai découvert le dessin intime de sa chatte. Une chatte glabre, une fente entrouverte dont sortaient deux bouts de lèvre qui se gorgeaient de sang, s'épaississant et s'allongeant, une métamorphose troublante.
Je pensais qu'elle allait se savonner, mais j'ai réalisé qu'elle avait envie de sexe, et que ça ne pourrait pas attendre plus longtemps. Elle est revenue vers moi, et cette fois sa fellation a pris un autre tour, criant son envie et son manque. Elle a littéralement dévoré ma queue, avec avidité et sans une seconde de répit. Donnant d'abord des coups de langue habiles et affamés, sur le gland, sur la tige, venant envelopper mes couilles et les mordillant. Elle avait faim. Et moi très envie. Se branler c'est bien. Avoir la main, la bouche, le sexe d'une fille pour soi...C'est aussi très bon...Je l'avais oublié...
J'en ai eu...Mille fois plus que je n'aurais pu espérer...Alors même que je pensais simplement faire comme d'habitude, me branler sous l'eau chaude qui me relaxait.
A sa bouche, ont succédé ses seins. Ils étaient suffisamment épais, avec un décolleté suffisamment profond pour qu'elle puisse les prendre à pleines mains et envelopper ma queue. La cravate de notaire je connaissais...Mais jamais personne ne m'en avait fait une...C'était pour moi comme un fantasme d'un acte qui ne se réaliserait jamais. Et là, elle m'avait enveloppé de ses seins. Une sensation d'une peau très douce, délicate comme de la soie. Un peu comme sa chatte, mais différemment. Elle m'a d'abord gardé en elle, au creux de ses seins. Ma queue était invisible. Elle avait un visage radieux. Sans doute que, comme moi, ça faisait longtemps qu'elle n'avait pas eu de sexe.
Et puis elle a commencé à me caresser, très doucement, me massant de ses deux seins, dont elle maîtrisait parfaitement l'utilisation. Une caresse à laquelle elle a donné de la lenteur, et c'était plus fort que si elle avait été vite. Je sentais ma queue bien à l'abri dans ce petit nid douillet, bien caressée, et le plaisir était très fort. J'aurais voulu pouvoir la toucher elle aussi, mais la situation ne rendait pas les choses possibles. J'aurais aimé masturber l'entrée de son sexe, frotter ses lèvres, son gland clitoridien, sentir sa mouille couler sur mes doigts si elle mouillait, glisser en elle et la fouiller...
Mais ça n'était pas possible. Pas pour l'instant. Il fallait que je me laisse aller à cette caresse.
Elle a ouvert ses seins, pour se recaler, pour paramétrer autrement sa caresse mammaire, mais aussi peut-être pour me laisser voir l'effet de ladite caresse, et me montrer son efficacité. Ma queue avait bien gagné un tiers.
— Tu as envie de venir dans mon ventre, maintenant?
— Tu as ce qu'il faut?, j'ai demandé.
Il y a des moments où on se dit que ce n'est pas possible. Je rêvais...
Elle a disparu un instant, son cul cambré projeté vers moi. Elle est revenue avec un préservatif au creux des doigts. Elle l'a fait glisser le long de ma queue, avant d'aménager le réservoir.
J'avais terriblement envie de la pénétrer. Les envies qu'on peut avoir d'une femme, d'un rapport sexuel, d'une manière d'avoir un rapport sexuel ne se concrétisent pas forcément mais là, c'était vraiment bien parti pour, et dans les secondes qui ont suivi, elle est venue se caler au-dessus de moi, calculant la bonne trajectoire, pas trop loin, pas trop près, au-dessus de ma queue. On était toujours sous l'eau, arrosés par le jet chaud. Ses cheveux dégoulinaient d'eau, sa peau comme la mienne était arrosée, marquée par des lignes de liquide et des gouttelettes. Ça lui allait bien. Son sexe était bien ouvert à présent, d'excitation, lèvres épanouies. Elle a attrapé mon sexe, et l'a guidé vers l'entrée du sien. Il y avait une partie de moi qui se disait que non, ce n'était pas possible qu'une chose pareille se produise. Ça faisait trop longtemps que je n'avais pas eu du plaisir avec une femme. Un instant, je me suis même dit que j'allais jouir au moment où j'allais rentrer en contact avec son sexe, mais ça n'a pas été le cas.
Ça m'a fait une décharge d'électricité quand j'ai senti sa muqueuse contre mon gland. J'avais accroché un bout de lèvre, ou alors un bout d'intérieur. Et puis elle m'a calé en elle, et elle s'est faite descendre sur moi, m'enveloppant, me gainant de sa chatte. Elle m'a avalé totalement, et lorsque mon gland a buté contre son utérus, elle a relevé la tête, elle regardait jusqu'alors, comme moi, ma queue glisser dans sa chatte, et elle a poussé un long gémissement.
Je n'oublierai pas les minutes qui ont suivi. L'occasion de renouer avec le plaisir, celui d'être dans un sexe de fille, de se sentir pris par elle.
Il y a eu une sorte de moment de pause, et puis elle s'est mise à bouger sur moi...Totalement dans son trip, je crois bien que j'étais juste à ce moment une queue, une queue sur laquelle elle s'était empalée et elle se faisait aller et venir, Elle retrouvait, sans aucun doute, le plaisir d'avoir un sexe d'homme en elle. Elle se frottait dessus. Elle a brisé son mouvement quand je suis venu poser mes mains sur ses hanches, Je l'ai faite aller et venir sur moi, donnant, moi, le rythme. Elle se laissait faire, comme une poupée dont j'aurais disposé, prenant son plaisir sans plus se soucier d'autre chose. Je sentais ma queue se dilater en elle, prendre du volume. Sous mes yeux, tout en haut de son sexe, je voyais nettement son gland clitoridien prendre du volume, s'épaissir plus que s'allonger, après s'être décalotté. Elle a amené ses doigts dessus et elle a commencé à le masturber, pour accroître son plaisir.
Les bras tout raides, j'ai fini par la lâcher.
Je n'avais pas idée que le meilleur, ou en tout cas le plus surprenant, le plus décalé, était à venir. Il s'est passé quelque chose que j'ai du par la suite revoir, découper, analyser pour comprendre ce qui s'était passé. Elle a resserré les muscles de son con autour de ma queue, un peu comme si elle s'y était accroché, et elle a pivoté, passant sa jambe au-dessus de moi pour me présenter son dos. Elle m'avait toujours bien gardé en elle. Ma queue fichée au plus profond d'elle, avec une sorte d'illusion qu'elle pourrait rester longtemps ainsi, dans ce nid chaud et doux, pour quelque chose qui se rapprochait du paradis. J'avais devant moi une autre perspective, son dos, lisse, et sa croupe, pleine, charnue, cambrée avec le sillon profond qui la coupait en deux, entrouvert, laissant voir les plissements de son anus. Elle était vraiment magnifique. J'avais de la chance qu'elle m'ait rejoint, même si je ne connaissais pas vraiment les tenants et les aboutissants. Finalement, c'était mieux que de se branler tout seul, sous l'eau chaude.
Elle a pris un rythme, montant et descendant sur moi, comme elle l'avait fait quand elle me faisait face. Ses fesses bougeaient, tressautaient. Je me suis rendu compte au bout d'un moment qu'elle se masturbait en même temps, frottant son gland clitoridien.
Je ne m'attendais pas non plus à ce qui est venu plus tard. Elle a fait sortir ma queue de sa vulve, et elle l'a amenée contre les plissements de son anus, justifiant, alors que je ne lui demandais rien:
— J'adore me faire enculer...J'ai fait ça pendant un an avec un petit copain parce qu'il avait peur de me mettre enceinte...Depuis je suis accro...
Ma queue était très dilatée, et je commençais à sentir la jouissance glisser sur moi. Je savais que je ne tiendrais pas éternellement. Mais il FALLAIT que je tienne. Je voulais qu'elle ait du plaisir.
Elle a appuyé sur mon gland. Elle avait du effectivement déjà pas mal se faire sodomiser parce que c'est rentré tout seul. Elle m'a avalé quasi totalement, en laissant échapper un gémissement de plaisir. Je me suis demandé où elle avait mis tout ça. Je me sentais bien en tout cas gainé par ses chairs, et c'était différent de dans sa chatte. Vraiment bon. J'avais rarement sodomisé une fille jusqu'à présent. Je l'ai laissée faire, monter et descendre sur moi. Je ne maîtrisais plus grand chose...Elle montait très haut, puis redescendait, et j'avais l'impression à chaque fois qu'elle avalait plus de ma queue. Je voyais son bras, agité, et je comprenais bien qu'elle se masturbait avec de plus en plus de force.
Elle s'est mise à jouir, avant moi, alors que je pensais être le premier. Secouée par des spasmes, elle s'est tordue dans tous les sens, a crié. C'est la voir jouir ainsi, aussi fort, et éjaculer autour de ma queue, en nous arrosant qui a déclenché ma jouissance à moi. Mon sperme est venu cogner contre ses parois intimes. Elle a hurlé.
Elle s'est arraché à ma queue. Je n'ai pas été surpris de rester encore dur, Elle a roulé le préservatif. J'ai pensé qu'elle voulait simplement me l'enlever, mais ce n'était pas du tout ça. Elle a fait en sorte de préserver le réservoir. Elle s'est écartée du jet, et elle a étiré le préservatif pour laper tout le sperme qu'il contenait. Il y avait de quoi faire, j'ai toujours eu des éjaculations copieuses.
Et puis elle s'est éclipsée. Et c'était comme si elle n'avait jamais été là. Je me suis même demandé si je n'avais pas eu une sorte d'hallucination. Un rêve éveillé.
Ca avait été en tout cas une parenthèse. J'étais toujours sous l'eau chaude, et ma queue aussi roide. Je suis revenu à avant, et je me suis remis à me masturber. Me demandant si je n'avais pas rêvé tout cela. Je m'étais peut-être endormi sans m'en rendre compte.
Je me suis frotté la tige jusqu'à ce que j'aie un orgasme. De nouveau? Ou alors c'était le premier?
J'ai coupé les robinets, attrapé ma serviette et je me suis essuyé en laissant traîner mon regard sur les lieux.
C'est comme ça que j'ai remarqué sa tenue. Elle était partie sans. Le slip et le top. Je les ai essorés.
Je me suis rhabillé. Et je suis partie avec, dans les mains, l'équivalent de la pantoufle de vair de Cendrillon.
A ceci près que je ne me voyais pas faire le tour de toutes les filles du centre en leur demandant si c'étaient leur top et leur culotte.
Ca me ferait un souvenir.
Je devais faire une lessive, j'y ai ajouté ces deux éléments.
Les jours ont passé. Je l'ai cherchée un peu partout sur le campus. Sans la trouver. J'avais envie de lui rendre ses vêtements de sport, mais aussi de la revoir. Et pas forcément sous la douche.
Le mercredi suivant, d'ailleurs, j'étais convaincu qu'elle passerait. Mais rien.

CHLOE
La honte m'est tombée dessus une fois que je suis sortie de la douche. J'avais laissé une serviette et un peignoir derrière le mur, je me suis rapidement essuyée, j'ai passé le peignoir, et je me suis enfuie.
J'avais eu envie de réaliser un fantasme, et à présent, je me sentais ridicule.
Jamais je n'avais été aussi loin dans l'audace. Dans le sexe, si, mais avec des partenaires que je connaissais bien. Pas avec un inconnu qui prenait une douche de 20 minutes en branlant une queue énorme.
Il me restait six mois à faire ici. Qu'est-ce qu'on allait dire de moi? S'il parlait...
Je m'étais rendue compte que j'avais laissé ma culotte et mon top d’entraînement. Une preuve.
S'il faisait le tour du centre en demandant qui j'étais, en voulant me rendre mes vêtements, s'il racontait ce qui s'était passé...Je voyais bien le directeur me déclarant:
— Vous avez eu un comportement d'une rare immoralité!
Tout en brandissant mes vêtements.
— Ils sont bien à vous, n'est-ce pas? Et ne dites pas non. Vous les avez abandonnés derrière vous comme une preuve incontestable. Plusieurs de vos partenaires de jeu les ont identifiés. Vous finirez vos études ailleurs.
Et bien sûr, il ne dirait pas qu'il passait une demi-heure sous l'eau chaude en se branlant. Et si je le balançais, on dirait que je voulais me venger.
Mais les semaines ont passé, et je n'ai rien vu venir.
Je prenais toujours ma douche après le sport dans les bâtiments, pas au gymnase, parce que je savais que j'y serais seule et tranquille.
Je n'avais plus jamais glissé un œil dans la partie masculine.
Je l'imaginais, toujours là.
J'avais fait un faux pas, je ne tenais pas à en faire un deuxième. Je faisais comme s'il n'existait pas.
Ça s'est passé pile deux mois après. Un mercredi après-midi. Je sortais de la douche, changée, sous-vêtements secs, et survêt propre.
Il m'attendait, habillé dans le couloir. Alors que je l'avais imaginé se branlant sous l'eau chaude.
Avec à la main mes vêtements d’entraînement. Le top et la culotte.
Ca faisait drôle de le voir habillé.
— J'ai quelque chose qui t'appartient. Je tenais à te le rendre. J'espérais te revoir...Je ne t'ai jamais trouvée...Et tu n'es pas revenue...Tu vois, après que tu sois passée, les douches sous l'eau chaude, la queue dure, n'avaient plus le même goût. J'y ai renoncé. J'aurais voulu un moment de sexe en commun à chaque fois, sous l'eau chaude. C'était...Tellement bien avec toi...Ce one shot, je ne l'ai pas oublié. J'avais envie qu'on refasse quelque chose. Pas forcément dans les mêmes conditions. Mais qu'on partage un bon moment de sexe.
Il m'a tendu mes affaires. Je les ai attrapées, et je l'ai pris par le poignet.
— Tu as un endroit tranquille?
— Ma piaule fera l'affaire. Je n'ai plus de co-locataire, il a démissionné il y a deux semaines.
Il nous a fallu deux minutes pour y arriver. A la troisième, j'avais sa queue dans ma bouche, à la cinquième, on était tête-bêche, à la dixième, je m'asseyais sur sa queue...
On en a bien profité pendant les trois derniers mois qui ont précédé nos examens et la remise de nos diplômes.
Et on est toujours ensemble aujourd'hui.
Ironiquement, on a essayé pas mal de lieux pour faire l'amour mais plus jamais une douche.


7 vote(s)


Histoire de JamesB

Vous avez aimé ce récit érotique ? Tweeter

Nous luttons contre le plagiat afin de protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette histoire est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être copiée ou imprimée.

© Copyright : Nos histoires sont protégées par la loi. Un grand nombre d'écrivains nous ont donné l'exclusivité totale.


Commentaires du récit : Sous la douche partie 2


Aucun commentaire pour le moment

Pour poster un commentaire ou faire un signalement, merci de vous inscrire ! Inscription rapide


Histoire précèdente <<<


Retour en haut de la page

Libertinage et masturbation de jolies libertines en webcams totalement gratuites :