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Travaux à la maison de campagne.

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 23/05/2024

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Je m'appelle Céline, j'ai vingt quatre ans, et vais vous parler d’une période sulfureuse de ma vie. J’étais mariée depuis deux ans, avec Alain, âgé de vingt sept ans, rencontré au réfectoire du lycée. J’étais folle amoureuse, et ne pensais jamais le tromper, même en rêve. Pourtant, un jour…
Voilà qu’il hérite d’une maison de campagne. Lors de sa visite, on s’aperçut, qu’il y avait énormément de travaux. Alain travaillait toute la semaine dans une agence immobilière, et passait ses week-end à retaper la maison. Femme au foyer, je l’aidais du mieux que je pouvais, mais les travaux traînaient en longueur, et la fatigue se faisait sentir.
Un jour, au bar, il rencontre Marc, un copain d’enfance et lui expose son problème.
Celui-ci lui dit être disponible est lui propose ses services. Il ajoute même qu’il connaît un copain, Rachid, maçon de métier, à la recherche d’un emploi. Alain accepte la proposition, et prend son lundi pour lancer les travaux.
Dès sept heures du matin, je prépare un panier repas pour midi, et vais prendre une douche. Je passe un jean’, un pull, et des baskets. Alain me dit de me mettre plus à l’aise, et me conseille un short et un débardeur. Arrivé sur le chantier, il me présente les ouvriers bénévoles. Tout en prenant un café, je vois leur regard se poser sur moi, sans doute surpris par ma tenue sexy, qui n’a aucun rapport avec un chantier de rénovation.
Les premiers travaux consistent à décroûter les murs, et évacuer les gravas à la main. Très dur pour moi, aussi, souvent, les garçons me viennent en aide. Un jour, en allant chercher de l’eau au puits, j’aperçois Rachid, en boxer, torse nu, en train de se rafraîchir. Je suis troublée par son physique, et en se retournant, j’ai vu la bosse sur son boxer, je m’imaginais la queue qu’il y avait en dessous. C’est l’esprit retourné que je retournais à la maison, espérant qu’il ne m’est pas vu.
Les travaux avançaient à grand pas, à tel point qu’on a pu aménager deux chambres, une douche de fortune en extérieur. Un barbecue improvisé, servait de cuisine. Ce qui nous permettait de rester sur place, et ainsi gagner du temps.
Seul Alain était obligé de rentrer, et revenait le week-end, quand Marc et Rachid rentrer en ville pour leur pause hebdomadaire. Autant les premiers jours les douches étaient intime, mais petit à petit, une certaine confiance s’installait, et ne faisions plus cas à nôtre intimité, bien que mon regard était attiré par leur grosse bite, surtout celle de Rachid, énorme, et toujours décalottée.
Un jour, alors que la douche était occupée par Marc, je trouvais le jeune maghrébin au puits, entièrement nu, sa queue balançant entre ses jambes. De suite, une humidité s’installa sur ma fente. Pourtant silencieuse, Rachid s’aperçut de ma présence. Tout en plaisantant, il me demanda si je voulais lui laver le dos. Je ne sais pourquoi, j’acceptais.
Mais de sentir son corps musclé, mes intentions se mirent à changer. Aussi, quand il se retourna, je n’hésitais pas à tomber à genoux, et prendre sa queue en bouche. Soudain, elle se mit à grossir et à durcir. Une main sur les hanches, Rachid suivait la scène, voyait sa bite coulisser entre mes lèvres. En toute décontraction, il rythmait lui même les va et vient sur sa bite. Au bout d’un moment, je le sentis se tendre, signe d’une jouissance proche. Allez savoir pourquoi je l’ai empêcher de se retirer, et pris ses jets de sperme à pleine bouche. Je déglutis, et avala toute sa semence.
Honteuse, je me relevais, et regagnais la maison, ou la douche était enfin libre.
Je me rinçais rapidement, et m’attelais à la cuisine. Pendant le repas, je n’osais défier le regard de Rachid. Quand je le croisais, il me rassurait, disant que ça restait entre nous.
Nous n’avons as eu d’autres relation avec Rachid, sauf le dernier jour de la semaine. La journée avait été plus longue. Après une bonne douche, j’avais enfiler une nuisette, sans rien dessous, pour accueillir mon cher mari.
Il arrivait alors que j’étais appuyée à la fenêtre de l’étage. Il s’arrêtait pour faire l’état des travaux avec Marc. Il me salua d’un signe de la main.
Soudain, je sentis une présence derrière moi, une main remonter entre mes cuisses, à l’orée de ma chatte, puis plus rien. Je sentis une tête s’incruster entre mes jambes, une langue lécher ma fente. Ce ne pouvait être que Rachid, et me dis qu’il était fou. Sa langue ouvrait mes lèvres intime, montait jusqu’au clitoris, il me rendait folle. Soudain, l’impensable. Il me prit par les hanches, me tira vers le bas. Je sentis un objet dur contre ma chatte. Ce salaud avait sorti son énorme queue, et commençait à ouvrir ma fente humide. Je résistais, mais n’avais pas la force.
Petit à petit, ma chatte s’empalait sur son calibre. A hauteur de l’appui de fenêtre, je voyais mon mari tirer des plans avec Marc, alors que moi aussi je me faisais tirer, mais pas pour les mêmes raisons. Je pinçais mes lèvres quand j’atteignis soudain un terrible orgasme. Rachid enfilait ses main sous la nuisette, jusqu’à mes seins, dont il fit rouler le bouts entre ses doigts. Mais ce salaud eut le culot d’aller plus loin, il fit glisser les fines bretelles de ma nuisette, la tira vers le bas. Je me retrouvais entièrement nue, au risque de me faire surprendre par mon mari. Il remis son visage entre mes cuisses et me bouffa la chatte, déclenchant un deuxième orgasme.
Puis je sentis une serviette en papier essuyer ma chatte...Quelle délicatesse…
La nuit avec mon mari fut plutôt calme. Après les turbulences que m’avait fait vivre Rachid, l’envie n’était plus là. Je jouais sur la fatigue dû aux travaux, et me contentais simplement de lui tailler une pipe. Je me retirais pour le faire jouir dans un mouchoir.
Le lundi, les travaux reprirent. Mon mari absent pour la semaine, me laissait toute liberté, même si au début, je fuyais le jeune maghrébin. A peine mon mari parti, je redevenais leur jouet.
J’avais en permanence un trou de bouché par une bite, parfois deux. Quand je me déplaçais, j’étais guidée par un doigt dans la chatte ou dans le cul.
Un soir je me rendais au puits, et découvrais Marc et Rachid, totalement nus, en train de se rafraîchir. Mille idées érotique traversaient mon esprit. C’est mon corps qui trouva la réponse. J’ôtais mes vêtements, et entièrement nue, m’approchais du puits. Une petite toux les fit se retourner. Ils se regardèrent, puis me firent signe de les rejoindre. Je me blottis entre leurs bras musclés, offrant mon superbe corps à leurs divines caresses.
Mais c’est finalement dans le lit, que je m’exprimais encore le mieux. J’avais deux mecs rien que pour moi, toute la semaine, deux mecs hyper montés. La semaine fut fabuleuse, mes partenaires me faisant découvrir tous les interdits du sexe. De la pénétration de ma chatte, à mon petit trou, ou les deux à même temps, dans des doubles pénétration féroces, sans compter les pipes qui emplissaient ma bouche de leur semence.
Je passais mes journées et mes nuits à me faire baiser. Un coup sur les margelles du puits, un coup sur un muret, sur une pile de sacs de ciment. La plus savoureuse fut celle ou Marc, allongé dans la brouette, me demanda de m’empaler sur sa bite, tandis que Rachid enfilait mon petit trou avec sa grosse bite.
Je ne comptais pas les orgasmes, mais ils étaient nombreux, ces salauds n’arrêtant pas de me faire jouir avec leur énorme queue.



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Histoire de Aurore34

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Commentaires du récit : Travaux à la maison de campagne.

Le 26/05/2024 - 21:45 par Jacques du Canada
C’est beaux moments ont eu lieu dans le passé et aujourd’hui Alain ne fait plus partie de votre vie Alain savait certainement ce qu’il faisait en vous amenant habillée ainsi sur le chantier. L’entente était peut-être bénévole mais peut-être aussi avec récompenses. Une fois le travail terminé Alain s’est probablement résolu a s’ abstenir de vos services d’encouragement. Il doit y avoir une autre belle dame qui profite maintenant des travaux réalisés. Votre aide restera certainement marquée dans sa mémoire.parce qu’en regardant autour de lui il constate avec stupéfaction les économies réalisées. Quelle chance il a eu de vous rencontrer.

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