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Un amour de tante 4

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Lue : 1205 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 22/04/2020

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Je l’ai emmenée lentement dans sa chambre, j’ai ouvert le grand lit et je l’ai assise, je lui ai enlevé son pull, une fois allongée, sa jupe et j’ai recouvert son corps du drap. Je suis sorti de la chambre en silence. J’étais inquiet, j’avais peur qu’elle puisse avoir des problèmes cardiaques ou autre. Je ne pouvais pas la laisser seule, m’en aller comme ça. Je décidais de rester avec elle et de prévenir par téléphone (il n’existait pas encore de portable mais un fixe) mes parents de mon retard sans leur donner la raison exacte. Ils n’ont pas insisté et accepté mon arrivée le lendemain soir. En attendant, je suis sorti faire quelques achats au supermarché tout prés. Au retour, un grand calme régnait…j’ai paniqué. Je me suis rué dans la chambre, L reposait sur le dos, toute la partie basse dénudée, la tête dans l’oreiller, elle respirait calmement…j’étais rassuré. Je retournais dans la cuisine pour d’abord nettoyer le dessus de la table souillé de nos exploits et préparer, ensuite, un plat qu’elle appréciait particulièrement, les pâtes à l’ail et sauce tomate. Il m’a fallu une petite heure pour dresser le couvert, préparer le dîner, j’attendais L, une petite rose sur la table. Il se faisait tard, toujours pas de L en vue. J’ai filé dans sa chambre, elle avait les yeux ouverts, elle m’a souri
-L « C’est toi qui m’a couchée ? »
-Moi « Oui, tu étais bizarre, comme inanimée »
-L « J’ai… trop…enfin, j’ai eu trop d’émotion, je crois ! Je n’ai plus l’habitude »
Ma tante me parlait sans se rendre compte de la tenue qu’elle me présentait, à demi nue, son sexe bien ouvert en raison d’une jambe à l’équerre. Je l’observais en détails
-L « Tu me trouves belle ? »
-Moi « Oui, terriblement belle…surtout comme ça ! »
Elle comprenait ma réponse en se regardant.
-L « Allez, je me lève »
Je m’approchais et lui tendais mes deux mains dans lesquelles elle mit les siennes pour l’aider à se mettre debout. Elle a atterri dans mes bras et lui ai dit
-Moi « J’ai prévenu mes parents, j’arriverai demain. Ce soir, je ne veux pas te laisser seule, je reste avec toi »
Son regard bleu est devenu intense, elle avait certainement compris ce qu’il allait en découler si je restais cette nuit là en sa compagnie, elle s’en doutait. Mais elle n’eut pas le temps de réfléchir, elle a émis un cri de surprise en se regardant entre les cuisses
-L « Oh ! Ca coule partout ! »
En effet, j’ai pu observer, un bref instant, une grande coulure blanchâtre sur l’intérieur de sa cuisse…Elle a pris la direction de la salle de bain, je lui ai fait couler un bain tiède, je l’ai aidée à se déshabiller pour ma plus grande joie et elle s’est plongée dans une mousse vaporeuse.
-L « Tu es vraiment gentil…merci » a-t-elle dit en me lançant un bisou.
Elle est revenue dans un peignoir dont elle seule connaît l’effet que cela provoque. J’ai toujours connu ma tante avec des beaux vêtements de nuit, que ce soit chemise de nuit, peignoir ou robe de chambre. Ce soir, ce peignoir rouge satiné, ultra court, lui allait à merveille. Sa tête ébouriffée, son visage blanc bouffi, l’agrémentaient, je la trouvais superbe, attirante, fatale. Elle s’est ruée dans mes bras pour me serrer contre elle qui avait besoin de réconfort. J’ai embrassé son cou, ses joues, ses lèvres sèches, je sentais qu’elle s’abandonnait totalement à mon étreinte. Nous avons dîné en tête à tête, nos mains n’arrêtaient pas de se retrouver, nos regards se croisaient, L a beaucoup apprécié le plat que j’avais préparé, lui rappelant ces années où son mari se plaisait à le réaliser pour toute la famille.
-L « Tu dois être un mari formidable…Je ne comprends pas que ta femme ne t’apprécie pas »
Je lui ai raconté brièvement, comment nous en étions arrivés là, une femme arriviste, peu courageuse, un enfant qui n’a pas amené la solution de notre discorde, la rencontre d’une autre femme, etc.
-L « Et tu trouves normal que tu lui fasses déjà des infidélités à ta nouvelle compagne ? »
-Moi « Comme toi ! Mais entre nous, ce n’est pas pareil, nous avons toujours été attirés l’un vers l’autre, n’est ce pas ? »
-L « Oui, c’est vrai, surtout depuis ce soir de 71 chez moi ! Depuis, tu es resté ancré en moi, je ne suis jamais parvenue à t’oublier…»
Enfin des aveux ! L s’ouvrait enfin, avouait ses sentiments pour moi, reconnaissait cette attirance partagée. Elle est venue vers moi pour chuchoter à mon oreille et déposer une bise tendre
-L « Je suis perdue…Je t’aime »
Je l’ai prise sur mes genoux en la prenant dans mes bras
-Moi « je t’aime aussi…depuis toujours »
Ma main passait sous sa fine robe de chambre en satin qui, lentement s’ouvrait, laissant apparaître ses seins en poire et, plus bas, le début de sa fine toison blonde. Son corps sentait la fleur d’oranger, provenant du sel de son bain. Ses effluves m’enivraient, m’attiraient toujours vers elle. Nous nous sommes étreints comme des amoureux juvéniles.
-L « On va faire comment maintenant, dis moi ? »
-Moi « On va vivre notre vie, continuer notre chemin et, si nous nous retrouvons à nouveau, je l’espère vraiment, nous pourrions, en secret, nous aimer à nouveau »
-L « Ce sera dur d’oublier ce qu’on a fait… Mais tu as raison, on doit avancer, on va se marier chacun de son côté comme prévu et nous nous aimerons en secret, j’espère que cela ne portera pas préjudice à nos couples respectifs ! »
-Moi « A moins que… »
-L « Que quoi ? »
-L « Qu’on se mette ensemble… ! »
Les dés étaient jetés. J’ai vu ma tante partir dans une profonde réflexion
-L « Non, ce n’est plus possible…Après mon divorce et avant que tu te maries la première fois, je n’aurais pas dit non ! »
Cette réponse a été une révélation douloureuse, je comprenais que j’étais peut être passé à côté de la chance de ma vie, faire ma vie avec la femme que j’aimais en secret depuis ma jeunesse ! Nous aurions été au devant de difficultés majeures, certainement, mes parents, par exemple n’auraient pas accepté que leur fils vive avec leur ancienne belle sœur ! Et que dire de mon oncle dont elle s’est séparée ? Il y avait quand même 13 ans d’écart…
-L « Sinon, vivons le moment présent…et il est beau ! »
Une nouvelle fois, nos bouches se sont réunies pour un baiser passionné.
-L « Si j’ai bien compris, tu restes ici cette nuit ? »
-Moi « Oui…tu veux bien ? »
-L « Oh oui…viens ! »
Elle s’est relevée et sa main m’a tiré pour m’emmener dans sa chambre. Elle a fermé les volets et la porte à clef, pour revenir avec un grand sourire. Sa robe de chambre était dénouée, les deux pans volaient de chaque côté des ses cuisses, elle n’était pas gênée d’apparaître ainsi devant moi, j’étais son proche, son amant désormais.
Elle a repoussé les draps et, après s’être dévêtue, elle m’a fait un sourire d’ange et me dit
-L « Viens…profitons en…j’ai envie d’être dans tes bras »
Je me suis assis sur le bord du lit et je l’ai attirée contre moi, mon visage sur son ventre plat. Elle sentait bon. Je déposais des bisous ici et là, ses seins n’étaient qu’à quelques centimètres au dessus de mon visage, j’ai préféré descendre plus bas, me perdre dans son buisson blond et léger, l’odeur propre de son pubis m’excitait, je savais que j’allais pouvoir passer la nuit entière à honorer ma tante, à la câliner, à l’aimer. Ma bouche est passée entre ses cuisses qu’elle m’a ouvertes, son regard se posait sur moi, elle assistait à son « broutage », je voyais bien qu’elle appréciait beaucoup. Sa bouche s’ouvrait, sa tête partait en arrière de temps en temps et ses gémissements étaient de plus en plus forts. Je ne pouvais guère atteindre l’entrée de son vagin, mais son clitoris m’était accessible, je ne m’en suis pas privé. Je l’ai assailli de mes lèvres gourmandes, je le tirais, au fur et à mesure que je le taquinais, je le sentais se gorger de sang, devenir plus sensible, L se contorsionnait de plus en plus mais résistait à mon « suçage ». J’ai senti qu’elle allait défaillir, je l’ai amenée sur le lit, pour l’installer sur le dos, le dos relevé avec un oreiller. Je me suis installé entre ses jambes qu’elle m’a ouvertes, j’ai repris mon broutage, mais cette fois ma langue atteignait enfin son vagin et je m’y suis engouffré. La réaction était immédiate. Le son de sa voix a changé, c’était un feulement puissant, presque incompatible avec la physionomie de cette belle femme, si enfantine dans la vie, si gourmande dans le sexe, la Dr Jekyll et Mrs Hyde était dans mes bras, sous mon corps, sous ma langue ! L rugissait, comme jamais je ne l’avais entendue, j’ai compris qu’elle se donnait sans aucune retenue, sans barrière. Moi, je la prenais avec beaucoup de respect, je la goûtais délicatement, je l’appréciais, j’allais la pénétrer à nouveau avec son accord, j’étais aux anges ! Je me suis remonté pour me placer face à son abricot ouvert, j’ai introduit ma verge tendue dans son nid douillet, nous nous sommes remis à communiquer comme avant, lentement, doucement, silencieusement mais puissamment. J’étais sur mes genoux repliés, L semi allongée, elle fixait mon sexe qui la pilonnait lentement, elle se regardait couler comme une fontaine…elle a éclaté en se serrant contre moi, elle a gémi comme si elle manquait d’air, elle suffoquait, je me suis arrêté pour lui laisser le temps de reprendre ses esprits. C’était trop tard, elle basculait dans un orgasme violent, rapide, puissant, dévastateur, elle a perdu pied, sa tête balancée en arrière sur l’oreiller, elle gardait la bouche ouverte et s’est enfin calmée ! C’était la première fois que je la voyais jouir avec autant d’intensité. En plein orgasme, elle s’est glissée devant moi pour attraper mon sexe encore luisant de liqueur, elle l’a avalé et s’est mise à me sucer tout en me branlant d’une main. Elle ne m’avait pas beaucoup fait de fellation durant tous nos ébats, je pensais que ce n’était pas son truc…visiblement, j’avais tout faux ! Elle a prouvé qu’elle était une grande experte de cet acte, elle m’a montré tout un tas de caresses buccales qui ont eu raison de moi, j’ai joui dans sa bouche et elle avalait tout. Quand elle eut fini, elle s’est étalée de tout son long sur le dos, les bras en croix, son visage reprenait un aspect plus calme, ses lèvres avaient encore un filet de mon sperme à la jointure et sur le côté de la joue, qu’elle était belle ! Je me suis collé contre elle, elle m’a pris dans ses bras, nous nous sommes calmés…endormis comme des bienheureux.
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