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Un été de télétravail - 1

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 22/08/2024

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Pour Claude le travail n’a jamais été aussi prenant.
En effet, suite aux 2 élections successives, les clients voulaient absolument utiliser leur budget au plus vite, par crainte de coupe à venir.
L’été s’annonçait donc difficile.

Claude était en télétravail, 4 et même souvent 5 jours par semaine.
Le grenier avait été aménagé en 2 parties : 1 chambre et le bureau de Claude, sans séparation, en mezzanine.

Depuis l’épisode – photocopies au bureau -, Claude avait souvent le fantasme de la secrétaire.
Souvent, pendant des calls qui s’éternisaient, il pensait à sa femme, qui aurait pu être sous son bureau, son membre dans sa bouche…

N’y tenant plus, il fit part à Marie de son fantasme de secrétaire particulière, dévouée corps et âme à son patron. Marie l’écouta vaguement.

Une semaine passa, Claude était à fond dans son boulot.
Ce mardi après-midi de mi-juillet, il écoutait vaguement la juriste de l’entreprise négocier un contrat avec le juriste du client, quand Marie apparut devant lui, vêtue d’une jupe de tailleur et d’un chemisier blanc largement échancré.
Marie s’arrêta à 3 mètres de lui, entre le bureau et le lit.
Elle ajusta son chemisier, et Claude pouvait presque la moitié des seins de Marie dans l’encolure. Ils étaient toujours aussi excitant, il faut dire que le 105D de Marie était particulièrement suggestif.
Marie tourna sur elle-même. Elle avait parfaitement compris la vision érotique de la secrétaire qu’imaginait Claude. Il en fut surpris, ayant eu l’impression qu’elle ne l’avait pas écouté une semaine avant.
Maintenant de dos, Marie montrait la jupe de tailleur ajustée au point qu’il se dit que Maris ne devait pas porter de culotte, ni même de string, sinon il en aurait aperçu le pli.

Bloqué sur sa chaise, Claude admirait les courbes de sa femme.
A nouveau de face, Marie dévoila un sein. Le mamelon, dur et épais, était mis en valeur par une pince à sein qui le rendait turgescent.
Claude sentait sa verge se durcir et se sentit à l’étroit dans son caleçon.
Marie découvrit l’autre sein, dont le téton était également pincé. Une chaine argentée reliait les 2 pinces, dans une courbe passant au-dessous du nombril.
Claude ne pouvait qu’admirer, avec de grandes difficultés à suivre les remarques des juristes.
Heureusement que sa webcam était coupée, sinon ses interlocuteurs se seraient demandés pourquoi sa tête virait au pivoine.

Marie recula doucement jusqu’au lit et fit monter lentement la jupe jusqu’à la taille.
Claude aperçu le sexe fraichement rasé de Marie, ses grandes lèvres charnues qui brillait légèrement. Elle avait appliqué son huile de soin sur tout son corps, lui donnant une légère brillance.
Elle s’assit doucement sur le lit, reculant ses fesses de manière à pourvoir mettre ses pieds sur le lit. Puis elle écarta doucement les genoux, laissant apparaitre son sexe en totalité.
Ses jambes complètement écartées, elle laissa Claude profiter de la vue : le sexe ouvert lui laissa apparaitre les petites lèvres, et le clitoris semblait déjà bien gonflé. Marie s’était visiblement déjà masturbée avant de monter le rejoindre.
Mais un autre détail attira toute l’attention de Claude : un reflet brillant indiquait sans doute possible qu’elle avait installé un plug anal dans l’étroit canal que Claude convoite toujours autant.
Par ailleurs, le reflet blanc indiquait sans aucun doute possible qu’elle avait choisi le plus large des trois qu’il lui avait acheté : 4 cms de diamètre. Il l’avait choisi car il correspondant peu ou prou à son sexe.

Claude faisait maintenant de gros efforts de concentration pour continuer à écouter les juristes pinailler sur des points de détail du contrat, le spectacle de sa femme étant autrement plus intéressant.

Marie fit monter la pression d’un cran supplémentaire : elle attrapa sous les coussins un vibromasseur rose, qu’elle alluma. Elle s’excita d’abord les pointes de ses seins, qui de l’avis de Claude, pointèrent un peu plus, toujours serrés dans les pinces, puis elle descendit vers son clitoris, autours duquel elle tourna lentement.
Visiblement l’effet commençait à se faire sentir, car Marie ne regardait plus Claude. Elle avait les yeux levés au plafond, la respiration plus rapide, et les mouvements se faisaient plus rapide.
Elle ne tarda pas à jouir, silencieusement, même si Claude avait pensé à couper son micro, au cas où.

La conférence continuait, et semblait s’éterniser. Marie avait arrêter le vibromasseur, et narguait Claude en le faisant aller et venir dans son sexe visiblement trempé.
Puis elle se leva et s’approcha, suffisamment près pour qu’il puisse l’attraper par la taille, et l’attirer à lui ;
Lui assis, elle debout, il avait les gros seins de Marie juste devant son visage. Il en pris un dans sa main gauche, et l’amena à sa bouche pour sucer goulument la chair qui dépassait de la pince.
De sa main droite, il descendit de son dos vers ses fesses, et ses doigts suivirent le sillon fessier, jusqu’au plug toujours bien planté. Il joua quelques instants avec, appuyant puis tirant sur le col, provoquant ainsi une dilatation régulière de l’entrée.
Marie, concentrée à la fois sur la succion de ses seins et le mouvement régulier du plug, ne bougeait pas. Elle semblait apprécier.
Claude lâcha le sein droit de Marie et, tout en gardant le téton dans sa bouche, et sa main descendu, cette fois par devant, entre les jambes de Marie. Elle les écarta, presque par reflexe, car elle semblait entièrement absorbée par la succion de ses seins. Claude savait qu’elle y était très sensible, mais il en découvrait encore malgré tout ce temps partagé.
Sa main gauche remontait pour finir 2 doigts sur le sexe de Marie, et il l’avança légèrement pour glisser les doigts dans son vagin. La facilité avec laquelle il lui avait inséré complètement 2 doigts l’étonna. Il ressorti et plongea cette fois 3 doigts. Marie laissa échapper un gémissement. Il sentait contre ses doigts le plug, qui contrastait étrangement avec la douceur du vagin.
Claude fit des va-et-vient réguliers, en ne sortant que d’une phalange, pour bien continuer à remplir Marie de ses doigts. Il crocheta légèrement ses doigts vers l’avant, pour tenter de stimuler ce fameux point G ;
Marie oscillait maintenant légèrement du bassin, ses mains accrochées aux épaules de Claude, se laissant aller vers une nouvelle jouissance qui approchait visiblement à grand pas.
Claude tira à nouveau sur le plug, jusqu’à le maintenir au maximum du diamètre.
Il sentit aussitôt le vagin se resserrer autours de ses doigts, qui le remplissaient maintenant parfaitement.
Marie ne tarda pas : elle jouit une seconde fois, les spasmes serrant les trois doigts maintenus par Claude dans la vagin.
Le plug était maintenant dans la main de Claude, il le posa sur le bureau, tout en libérant le sein, dont la pointe était turgescente comme il ne l’avait encore jamais vu.
Claude n’y tenait plus, et, se levant légèrement de sa chaise, il se débarrassa de son caleçon.
Saisissant Marie par la taille, il la fit pivoter pour qu’elle lui présente son dos (et son postérieur).
Ayant vu la taille rarement atteinte de la verge de Claude, elle compris et commença à tendre son fessier. Quand elle senti la verge devant son sexe, elle se laissa tomber d’un coup. Ils sentirent tous les deux le sexe cogner le fond du vagin.

C’est à ce moment-là que Claude entendit les juristes dire qu’ils avaient fini.
Il alluma d’une main son micro, et pris congés de ses interlocuteurs, non sans difficulté, car Marie, diabolique, faisait de lents mouvements de va et vient, en se laissant systématiquement retomber.
Claude raccrocha enfin. Il sentait qu’il ne tiendrait pas longtemps.
Il attrapa Marie par la taille, lui imprimant son rythme.
En seulement quelques minutes, il arriva au paroxysme.
Lachant sa taille, il la laissa bouger encore une minute, et, explosant, attrapa Marie à pleine main par les seins en pinçant ses tétons hypersensible entre 2 doigts, la força à se laisser tomber sur la verge qui palpitait.
Marie eu alors son troisième orgasme, provoquer par les spasmes du sexe de Claude serré dans son vagin.
Ils restèrent un petit moment dans cette position, puis Marie se leva, et elle rajusta sa jupe restée tout ce temps autours de sa taille, et enfila son chemisier.
Alors qu’elle récupérait son plug sur le bureau, Claude la remercia pour ses bons offices, et lui assena une claque sur la fesse.
Marie se tourna vers lui, et répondit : « si Monsieur est satisfait de mes services, je pourrais revenir demain ? »
Il acquiesça de la tête.
Finalement, cet été sera peut être beaucoup plus intéressant que prévu, se dit il.
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Histoire de benoitClaude

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