Une nièce pas comme les autres 2

Le tonton continue de labourer le ventre de sa nièce. Sa queue voyage dans le conduit remplit de sperme, en faisant un bruit de clapotis, de longues minutes il lui, pilonne le ventre. Enfin, il ressort sa verge, qui laisse tomber sur le sol quelques gouttes de semence. Souriant il dit en regardant Marion :

-Tu en veux toujours à ton tonton petite râleuse ?

Pour toute réponse, Marion saisit la verge qui balance sur le bas-ventre de son oncle, la décalotte et la gobe d'un coup. Elle suce et tète comme une vorace. Sa tante Lucie l'encourage :

-Oui ma chérie, suce bien la bite qui vient de te faire jouir, fais la cracher encore une fois, tonton va encore te baiser, j'en suis sûr !

La tante reprend entre ses doigts son clito et comme une hystérique, continue de le maltraiter, elle geint en serrant les dents, la coquine sait comment ce faire jouir, elle explose en hurlant de jouissance.

Marion a les yeux qui brillent de bonheur, elle s'acharne sur le gland qui rejette ce qui reste de semence dans la hampe. Elle ressort de sa bouche gourmande le gland et commence a le lécher, sa langue agile tourne autour, agace le frein, lape les perles de rosée que le méat rejette. Elle sort de sa bouche le cèpe royal, observe l'engin un moment, puis regarde sa tante et lui dit :

- Elle est très bonne la queue de tonton, tu veux as vue comme il m'a défoncé le cochon. Tu fais de trucs spéciaux avec lui !

Lucie fronce les sourcils et demande entre deux souffles :

-Tu entends quoi par des trucs spéciaux ma chérie ?

Marion se racle la gorge et dit :

-Hum, il t'enfonce des trucs dans la chatte, il te sodomise, aller raconte ?

Lucie sourit et répond :

-Oh oui, c'est un gros pervers, mais j'adore ce qu'il me fait !

Marion ravale sa salive, ses yeux s'illuminent et dit un peu excitée :

-Oh tante, il peut te le faire maintenant, oh je veux voir ça, dis oui, dis oui !

Lucie regarde son mari, sa bite est toujours hors du pantalon, elle est secouée de soubresauts, Paul la presse fortement, pour faire cesser les spasmes qui la secoue. Il sourit et dit :

-Faisons plaisir à cette petite salope voyeuse, je vais chercher de quoi te faire grimper aux rideaux ma chérie !

Il réapparait quelque temps après, avec deux gros concombres une bonne carotte. Marion regarde les légumes en écarquillant les yeux. Lucie regarde aussi les objets de défonce. Là son mari à choisit les plus volumineux, elle s'angoisse un peu, en secouant négativement ma tête. Paul en souriant dit :

-Il ne faut pas la décevoir, elle veut voir, elle verra !

Paul retire son pantalon et son slip, il invite sa femme de faire de même. Marion excitée comme une puce s'agite dans son fauteuil Paul regarde sa femme et dit en souriant :

- D'abord, ma chérie, je vais te prendre par le cul pour ouvrir un peu le passage !

Lucie, adore la pénétration anale, elle se met à quatre pattes, et cambre les reins. Marion regarde avec insistance, l'œillet fortement boursoufflé. Elle à hâte de voir son tonton enculer sa tata. Paul crache sur l'anus de sa femme, le badigeonne de salive, il enduit sa verge aussi de salive et la présente à la petite porte brune. Il pousse doucement, Lucie serre les dents. Lentement la verge s'enfonce dans la gaine qui doit être souvent visitée. Bien qu'habituée à ce genre de pénétration, Lucie grimace, la verge de son homme a un gros calibre.

Une fois que la bite à prise possession des lieux, la chevauchée peut commencer. les yeux de la nièce sont figés sur la verge qui voyage dans les fondement dilaté de sa tante. Lucie geint, elle agite sa croupe. les coups de reins qu'assène son mari son violents. Elle gémit comme une bête malade, la tension monte de plus en plus. Le ramonage puissant finit par produire son effet. Lucie se cabre en poussant un hurlement affreux. Une jouissance phénoménale la fait trembler de tous ses membres. Elle halète fortement sa respiration est rapide.

Paul ne jouit pas, il retrie sa bite du rectum, saisit la carotte et la plante dans le trou resté ouvert. Le légume est bien plus gros que sa bite, le gredin fouille le cul de sa femme sans le ménager. Le va-et-vient est violent, Marion ne loupe rien du spectacle, elle ravale sa salive, sa chatte est en ébullition. Sa tante jouit une seconde fois en hurlant fortement.
Paul retire la bite factice du rectum fortement sollicité, et demande à sa femme de changer de position. Elle s'assoit sur le canapé en repliant les jambes sur son ventre. Ses orifices sont bien mis en évidence.

Mais lorsque son oncle saisit le monstrueux concombre, Marion sursaute. Paul l'enduit de gel lubrifiant, et le place contre l'anus béant. Il pousse en faisant tourner le légume, comme par enchantement, il s'enfonce lentement dans l'anus en le dilatant affreusement. Marion croit que le cul de sa tante va se déchirer, tellement il est distendu. Lentement le monstre pénètre centimètre par centimètre la gaine anale. la tante souffle comme un bœuf, ses gémissements sont inhumains.

Le légume est enfoncé en elle de vingt cinq centimètre, jamais elle n'a reçu un engin aussi gros dans le cul et aussi profond. Elle grimace. Paul commence le va-et-vient, lorsque le légume recule dans son fondement, Lucie souffle de soulagement, mais lorsqu'il s'enfonce, elle se tend comme un arc en grognant. Sa chatte ne cesse de rejeter son jus. Paul cesse de pousser, il rend l'autre concombre et l'approche de la chatte dégoulinante.


La pénétration monstrueuse que subit sa tante, se fait ressentir aussi sur Marion. Elle se raidit, plaque sa main sur sa fente,et attrape son clito, elle le branle rageusement sans quitter des yeux sa tante.

Paul appuie fortement sur le concombre, le légume s'enfonce péniblement dans la chatte de sa femme qui rugit. Marion n'en croit pas ses yeux, sa tante prise par deux énormes concombres, c'est fabuleux. Dilatée comme jamais, elle gémit, ses yeux sont presque révulsés. Paul tente de synchroniser du mieux qu'il peut le va-et-vient des deux légumes. Lucie tout en grimaçant, commence à s'agiter sur le canapé. Malgré la douleur, Lucie jouit. Marion s'acharne sur son clito, elle grince des dents, elle cherche elle aussi la jouissance, qui ne tarde pas à arriver. Elle se cabre et en poussant un cri, jouit.

Paul retire un à un les concombres, les trous sont béants, ils ne se referment pas. Marion se penche pour voir les dégâts, elle dit :

-Oh la vache tonton, comme tu as arrangé tante Lucie !

Il la regarde en souriant et lui dit :


-Toi ma petite salope je te réserve une sodomie, tu m'en diras des nouvelles, tu es prête !

Marion regarde son oncle et répond :

-Oui, mais pas avec le concombre, juste ta bite !

Paul éclate de rire, et dit :

-J'ai gardé mon foutre pour ton petit trou ma chérie, je vais t'ouvrir le cul !

Il s'avance vers elle, lui demande de replier les jambes sur son ventre, car il veut voir son visage lorsqu'il lui forera le cul. Marion le regarde et lui dit :

-Tante a raison tu es un perverse, avoue gros cochon !

Paul en souriant dit :

-Si voir une femme se faire casser le cul c'est perverse, eh bien oui je le suis. Et toi tu t'es régalée, lorsque j'ai détruits le cul et la chatte de ta tante, tu as même jouis, tu appelles cela comment, du voyeurisme ou de la perversité !

Marion regarde son oncle en faisant une moue, elle ne sait que répondre. Il lui donne un baiser sur les lèvres et dit :

-Donne moi ta petite fleur, que je l'explose, tu vas vraiment savoir ce que jouir veut dire, petite salope que j'adore !

Il enduit l'anus de sa nièce avec beaucoup de salive. Lucie dans un état comateux, a beaucoup de mal à retrouver sa respiration, ses orifices ne cessent de se contracter, sans pouvoir se refermer totalement. Se temps en temps elle passe la main dessus pour atténuer la brûlure intérieure qu'elle ressent.

Paul frotte le gland qu'il a prit soin de décalotté, sur la petite rosette qui frétille, sous le touché du gland. Le muscle rectal et légèrement boursouflé par les quelques rides qui le strie. Sa souplesse repousse les petites poussées que le tonton applique dessus. Le tonton insiste, l'anneau cède sous la poussée plus forte. La nièce se cabre, en grognant comme une bête blessée. Le gland s'engage dans le conduit étroit. Sous la poussée continue, il progresse dans l'étui de chair, que se dilate au fur et à mesure que la verge s'enfonce en lui. Marion s'agite et supplie :

-Arrête tonton ça fait trop mal tu vas me déchirer le cul arrête, arrête tontooooooooooooon !


Marion serre les dents, grimace en soufflant comme un taureau. L'oncle ne l'écoute pas. Lentement le pal large et épais poursuit sa route pour enfin arriver à destination. Les couilles velues du tonton enculeur, sont au contact des fesses bien rebondies de la soumise, qui geint de douleur.

Lentement la bite coulisse dans la gaine étroite, les allers et retours font geindre Marion comme un animal. Plus Paul lui travaille le cul plus Marion s'agite en gémissant, elle grince des dents et entre deux souffles dit :

-Oh putain tonton tu me cases le cul, la vache comme tu le dilate, comme ta bite est grosse. Mais vas-y défonces-moi, fais moi jouir du cul comme tu as fait jouir tata, vas-y, vas-y, je sens que ça vient !

L'oncle ne retient plus ses coups, il la défonce le plus violemment possible, Marion gémit, a chaque coup de pilon. Elle s'accroche au fauteuil pour ne pas tomber. Les assauts brutaux sont très efficaces, la nièce pousse un hurlement en se cambrant comme un pont, sa jouissant du cul est exceptionnelle. Sa cyprine gicle sur les couilles du tonton enculeur, qui accélère la cadence. Paul dans un rugissement de fauve, remplit le cul de sa nièce avec sa semence visqueuse. Une seconde jouissance, aussi intense que la première, fait cabrer Marion.

Paul retire sa queue du cul qu'il vient de déflorer, il sourit comme un vainqueur. Il regarde l'anus ouvert qui rejette le surplus de semence. Paul se penche sur sa nièce et lui dit :

-Ma chérie comme ton cul est bien chaud et étroit, c'est un régale pour ma bite. Puis sans qu'elle réagisse, il lui replante dans l'orifice gluant. Il la besogne en grognant, jusqu'à ce qu'elle jouisse une nouvelle. Lui aussi au final répand son sperme abondant dans le rectum très accueillant de sa nièce chérie.

C'est incroyable, Paul ne débande pas, il enfonce rageusement sa gaule dans la chatte ruisselante, et donne toute la force qu'il a en lui. Marion et une vraie machine à jouir, elle s'accroche à son amant, pour qu'il déverse en elle, le restant de semence qu'il possède encore dans les couilles. Une fois repus et rassasier, les deux amants échangent un baiser fougueux qui dure de nombreuses minutes. Sous le regarde attendrit de Lucie, qui enfin à reprit ses esprits.