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Une nuit de luxure et de libertinage

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Lue : 1790 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 01/02/2022

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La villa est si grande que Marlène en perd son sens de l’orientation. Elle s’affole, un peu décontenancée par tout ce qu’elle y voit. Partout où elle va, ce n’est que débauche et luxure. La soirée a vite dégénéré en joyeuse pagaille orgiaque et échangisme débridé. Une femme de cinquante ans, serrée dans un pantalon et un boléro de satin jaune électrique, vient de faire tomber le slip de son jeune amant, de vingt ans son cadet, lui saisissant la queue, la secouant avec une vigueur incroyable, comme si elle cherchait à l’étirer davantage, alors que ses mensurations sont déjà considérables. Marlène en a mal pour lui. Plus loin, un superbe noir oscille sur place, les yeux révulsés, avec un mépris total du rythme, tandis que sa compagne, adossée au mur, le contemple avidement, emprisonnant de ses doigts le tissu de son pantalon, et serrant avec une insistance sans nuance la bosse qui s’y dessine. Juste à côté d’eux, un jeune couple se caresse mutuellement, à un stade très avancé. C’est la femme qui a pris les initiatives en emprisonnant dans sa main l’énorme calibre de son compagnon, se penchant pour le prendre dans sa bouche avec un appétit vorace. Ici, elle aperçoit une superbe blonde se faire prendre en levrette. Elle voit nettement l’énorme queue aller et venir dans la chatte largement offerte. Marlène assiste à l’orgasme de la jeune femme, qui hurle de plaisir. Là, ce sont deux femmes qui avalent le sperme d’un jeune mâle.
Marlène les dépasse vivement, prenant garde de se montrer la plus discrète possible. Étrangement, il règne dans toute cette débauche un respect total, où toute sollicitation est bannie, évitant ainsi les malaises et les conflits. Aucune proposition indécente ne lui a été imposée. Juste des regards insistants, dans l’attente de son approbation. Tous ces regards chargés de désir flattent son égo, elle se sent malgré elle la femme la plus belle et la plus désirable. Décidément, jamais elle n’aurait pensé un jour finir dans ce genre d’endroits, suite à un étrange concours de circonstance aussi improbable qu’inattendu.
Comment avait-elle pu se laisser embrigader là-dedans, entraînant son mari aussi dans une soirée échangiste? Tout cela pour l’épater, sortir de l’ordinaire, briser cette routine qui engluait leur couple dans une triste vérité. Après tout, qu’était la routine alors qu’ils avaient tout pour être heureux? D’origine modeste, son mari Franck avait finalement réussi dans les affaires. Il menait une carrière brillante et elle l’avait toujours soutenu jusqu’au bout… Son agence immobilière était florissante, alors même que Marlène connaissait un succès d’estime dans l’évènementiel. Franck était motivé par un désir de se voir reconnu et de se hisser dans l’échelon social. Marlène par l’amour de son métier. Sa passion, tout simplement…
C’est pour fêter leur succès réciproque qu’ils avaient réussis à se libérer ensemble et se consacrer une soirée exceptionnelle, repas aux chandelles dans un restaurant gastronomique étoilé, à l’ambiance feutrée et romantique.
C’était il y a quelques heures à peine...Marlène se souvient de la tête de son mari, quand elle lui avait présenté le bristol, qu’une femme en colère, lui avait remis.
C’était une invitation dans un club échangiste. Elle attend la réaction de son mari, qui oppose un refus total, à ce genre d’endroit. Marlène insiste, ne serait-ce que par curiosité.
Malgré lui, il se soumet. Il ne pouvait pas lui résister. Sa joie de vivre rayonnait d’un éclat qui emportait tout. Son optimisme était une force, une tempête, un raz de marée. Et que dire de sa beauté encore plus lumineuse. Un mètre soixante dix admirablement proportionné, bouche rieuse délicatement dessinée, yeux verts et cheveux d’or en cascade, Marlène avait un visage de poupée qui l’auréolait d’innocence. Avec un corps à provoquer l’arrêt cardiaque, une taille de guêpe, des jambes fuselées, des seins menus mais insolents, des fesses hautes et dures comme du granit… Dans n’importe quel vêtement, moulant ou pas, elle était inconsciente que chaque courbe gracieuse était une réelle incitation à la débauche.
Et, étrangement, cette nuit, dans cette ambiance chaude et électrique où tous les plaisirs semblaient possibles dans ce mas qui s’appelait « L’Alibi », qui était bien un club libertin, elle prenait réellement conscience de son pouvoir de séduction, de l’attrait et la fascination que sa beauté déclenchait tout autour d’elle. Tous ceux ou celles qui la dévoraient du regard rendaient hommage à sa beauté, un désir lancinant, brûlant de fièvre, qui la rendait fiévreuse, à fleur de peau… Et, encore plus étrange, aucun geste déplacé, aucune avance lourde ou vulgaire, mais du respect, une attente, comme si c’était elle qui pouvait décider du moment et du partenaire. Un sentiment de puissance qui la grisait un peu…
Marlène slalome entre tous les couples enlacés qui, debout, assis ou allongés, s’adonnent avec délices aux plaisirs de la chair. Elle passe devant une porte ouverte d’où sortent des bruits suspects. Si des bruits peuvent exprimer la débauche et la luxure, ce sont bien cela. Elle n’en a aucun doute malgré sa naïveté, surtout depuis quelques minutes où elle n’en a jamais vu autant de toute sa vie. Poussée par la curiosité, elle tourne la tête et aperçoit une brève seconde un dos splendide, d’une cambrure exceptionnelle, puis des fesses magnifiques, rondes et d’une blancheur éclatante, tout de suite cachées par une silhouette masculine qui se penche dessus, les palpant fermement avant d’y appuyer son bas-ventre d’un coup de reins, puis se déhanchant avec rage en poussant des grognements de plaisir. La femme pousse des cris saccadés en tortillant et reculant son splendide postérieur pour mieux se faire pénétrer. L’obscurité ne fait que suggérer la scène, ne la rendant que plus érotique. Malgré elle, Marlène s’est arrêtée, observant la scène. Ce spectacle la fascine. Ses yeux s’habituent à la pénombre et, brusquement, elle vacille sur place, comme frappée
d’un coup de poignard en plein cœur. L’homme vient de tourner légèrement la tête.
Marlène reconnaît Frank, son mari.
Un homme doux, gentil, réservé, un peu taciturne, mais un merveilleux mari plein d’amour et d’attention pour elle. Et il est là, entièrement nu, muscles tendus dans l’effort, le visage ruisselant de sueur, les traits figés par l’extase, le regard embué d’un désir primitif, en train de faire l’amour à une autre femme! Ses premiers sentiments sont la colère, l’incompréhension, toute cette confusion à la fois qui lui fait mal et lui donne envie de pleurer. Elle retient ses larmes, se mord les lèvres jusqu’au sang. Son cœur, alors serré dans un étau à lui broyer la poitrine, se remet à battre à un rythme accéléré. Maintenant, il y’ a la tristesse et la culpabilité. Puis, enfin, la fatalité. Après tout, à quoi pouvait-elle s’attendre en se rendant dans une soirée privée entre couples échangistes ? Tout cela n’était-il pas de sa faute puisque c’est elle qui avait poussé son mari à l’accompagner ? Pour briser la routine! Et voilà, elle était servie.
Ils venaient de se confronter à un monde qu’ils ignoraient et n’auraient jamais dû connaître, bouleversant de façon irrémédiable leur petite vie bien rangée. Et, au lieu de fuir ventre à terre, se dépêchant de se détourner de toute forme de tentation, elle avait pris cela à la légère, elle avait joué avec le feu… Il semblait logique qu’elle en fasse les frais, même si tout dérapait avec une rapidité qui dépassait l’entendement.
Au début, ils avaient joués les voyeurs, à la fois moqueurs et troublés par tous ce qu’ils voyaient… Quelques illusions, quelques défis, et son mari qui, pour la provoquer, ne faisait rien pour repousser les avances d’une splendide femme qui ne cessait de le draguer. Ce qui n’avait rien d’extraordinaire alors que son mari, possédait un charme viril qui plaisait toujours aux femmes…
A son tout sollicitée par un homme assez séduisant, ils s’étaient ensuite perdus de vue, et elle était partie à sa recherche, peu inquiète en vérité, et tellement distraite par tout ce qui se passait autour d’elle…
La culpabilité ne cesse de la torturer, mais un autre sentiment indéfinissable s’y mêle, qui ressemble à une poussée d’adrénaline, à une excitation malsaine alors qu’elle ne cesse d’observer son mari avec cette autre femme. Pour des raisons obscures, elle se sent submergée par une violente bouffée de chaleur quand son mari plonge la tête sur la nuque de sa compagne, la léchant goulûment comme un animal affamé le ferait. Tenant solidement les hanches de sa partenaire, il accélère ses va-et-vient, mêlant ses râles aux gémissements éperdus de celle qui se fait si délicieusement prendre par derrière. Marlène détourne vite les yeux, horriblement mal à l’aise de se sentir si excitée, mais une envie irrépressible la pousse à regarder de nouveau, et elle n’arrive plus à détacher son regard. La scène lui paraît violemment érotique, elle tremble nerveusement quand l’inconnue pousse un cri libérateur, gémissant ensuite sans discontinuer alors que l’orgasme la prend pour ne plus la lâcher. Marlène vibre à l’unisson, comme possédée à son tour. C’est comme si cette femme la prenait avec la même intensité. La rapidité avec laquelle cette femme enfouit, ensuite sa tête entre les cuisses de son mari est effrayante, comme si une faim tenace lui donnait envie de goûter à la source même du plaisir masculin, ce sexe encore dur et frémissant qui venait de la pénétrer. Jamais elle ne s’était permis de lui faire une fellation après la pénétration. D’ailleurs, elle ne se permettait pas grand-chose.
Au lit, elle était passionnée, fougueuse, démonstrative, démarrant assez vite dans une extase à la fois brève et intense, mais elle devait reconnaître que l’imagination et la perversité n’étaient pas son fort… Or, justement, cette inconnue lui donnait tout ce qui lui faisait défaut, et une jalousie insidieuse commence à monter en elle.
Brusquement, elle sent une présence tout prés, derrière elle, un souffle sur sa nuque, un regard intense qui ne la lâche plus. Une personne lui susurre à voix basse.
- Ton mari semble vraiment apprécier les faveurs de Margaux… C’est une gourmande, elle sait y faire, et tu as raison de partager son expérience… Rien de t’empêche ensuite de lui refaire la même chose, toute leçon est bonne à prendre…
Confuse, Marlène regarde ailleurs. Elle se sent coupable d’être partagée entre les remords et une excitation sans nom. Elle en a assez vu. Le temps des explications viendra plus tard. Elle veut avancer mais, avec aplomb, celui qui vient de lui parler lui barre le passage.
- Belle inconnue, il ne tient qu’à toi de partager le même bonheur avec moi. … Je peux te donner du plaisir comme ton mari ne t’en a jamais donné, de mille autres façons. Jamais tu ne le regretteras.
Le désir de cet homme est si fort que cela en est contagieux, comme une fièvre qui la gagne à son tour. Grand, d’une beauté à couper le souffle, dégageant une virilité hors norme, c’est un homme qui inspire force et confiance. Un amour passionné vibre dans sa voix, comme une délicieuse promesse qui lui donne la chair de poule. Désorientée, Marlène articule faiblement.
- Jamais je n’aurais dû venir ici. Ce n’est pas un endroit pour moi. Je regrette…
- Je sais… Cela fait un moment que je t’observe, et je vois bien que tu n’es pas habituée à fréquenter notre monde. Alors, agréablement surprise ?
Troublée, Marlène prend du temps pour observer ce mâle. Vraiment, il ne manque pas d’audace, même si son physique joue en sa faveur… Sans un mot, elle se détourne de l’inconnu et s’éloigne. Elle croise un couple qui, à moitié nu, se déplace en vacillant, ivre de désir. Puis, aussitôt après, un homme corpulent, tenant à peine sur ses jambes, perd l’équilibre et la percute de plein fouet, l’envoyant promener sans ménagement sur un fauteuil. Aussitôt, l’inconnu qui semblait la suivre se précipite à son secours, après avoir envoyé une insulte bien sentie à l’homme maladroit.
- Oh, ça va ? Pas trop mal ?
- J’ai mal à l’épaule gauche, c’est assez douloureux.
- Fais voir.
Il se positionne derrière elle, lui massant légèrement la zone endolorie d’un geste expert. Marlène ne peut s’empêcher de pousser un petit soupir de bien-être.
- Hmm, ça fait du bien… Vous êtes très douée!
- Et tu n’as pas tout vu !
L’inconnu lui prend la main d’un geste autoritaire, l’entraînant vers l’extérieur. Ils émergent dans la nuit moite, auréolée des néons et ampoules qui éclairent le patio festif. En découvrant plusieurs personnes qui discutent ou flirtent un peu partout, elle résiste un peu, inquiète. L’homme la rassure.
- N’aie pas peur, je ne vais pas te violer. Juste discuter avec toi… Comment une jolie fille comme toi, non libertine, a atterri ici ? Cela m’intrigue et j’aimerai bien connaître ton histoire… Au fait, je me prénomme Dany.
- Marlène.
- Enchantée, Marlène. Allez, viens, l’air frais va te faire du bien…
Dany exhale un gros soupir, fronce les sourcils d’un air pensif, puis finit par secouer énergiquement la tête en déclarant d’un air convaincu.
- Non, je maintiens ce que j’ai dit. Beaucoup de couples viennent à l’échangisme pour chercher de nouvelles sources d’excitation et fuir ainsi la routine. Il n’y a pas de pire ennemie que la monotonie. Avec le temps on finit par se persuader que l’amour de l’autre nous est acquis de façon définitive, et c’est ainsi que l’on ne fait plus d’efforts pour plaire, on ne fait plus attention, on néglige son apparence et on en oublie l’importance de la séduction. Boulot-dodo, le stress, les enfants qui accaparent toute l’énergie, les problèmes quotidiens de la vie, tout cela fait que les couples délaissent sans le vouloir leur intimité. Alors, moins de désirs sexuels, moins d’amour, et voilà pourquoi autant de couples divorcent. Or le libertinage est la solution idéale pour ne pas tomber dans le piège de la monotonie. Du coup, les couples pimentent leur vie sexuelle, transgressent ensemble des interdits, et surtout font beaucoup plus d’efforts pour se plaire mutuellement et pour plaire aussi à leurs futurs partenaires.
– Tu exagères. Des couples qui s’éclatent ensemble au lit peuvent très bien en venir au libertinage pour d’autres raisons. Simplement pour assouvir une libido au-dessus de la moyenne, aller toujours plus loin dans la réalisation de leurs désirs.
Marlène finit son verre d’un trait, assez vite pour que l’on ne remarque pas sa main qui tremble. Elle en a appris beaucoup sur certaines pratiques de tous ces couples libertins qui, autour d’elles, semblent amoureux et complices, soudés par un lien indéfectible. Mais il lui en faut beaucoup plus pour être convaincue du bien-fondé de cette sexualité non-conformiste… Après avoir vue son mari s’éclater comme un fou avec une libertine, il est vrai aussi qu’elle manque d’objectivité, encore sous l’effet de la colère. Elle ne repousse pas le bras de Dany, qui lui caresse l’épaule. Elle se laisse griser par ce doux attouchement, prenant sans le savoir, une expression heureuse. Tout pour se changer les idées, ne plus penser à son mari, et à ce qu’il est en train de faire, avec sa jolie libertine. Alors, elle se concentre sur ce bras qui l’entoure.
Lentement, Dany la fait pivoter, lui prend tendrement les lèvres. Succinct au début, le baiser devient vite torride.
Cette sensation est exaltante, comme une joyeuse ivresse, ce qui met sa sensibilité à fleur de peau. Tout cela est confus, cette attirance qu’elle veut refouler, ce genre de conflit intérieur qu’elle n’a jamais eu à affronter parce que son existence avait été jusqu’ici un modèle de conformité et de droiture. Désorientée, elle sent la panique remonter à la surface, avec ces images crues et troublantes de son mari et cette belle inconnue.
Dany sent son malaise, et tente de la détendre, se collant à son oreille, sur un ton de confiance.
- Ne sois pas si nerveuse, tu ne courts aucun risque… Dans le milieu échangiste, c’est toujours la femme qui est seule maîtresse à bord. Tout est permis mais rien n’est obligé. C’est à toi seule à décider, comme une reine qui a plein pouvoir, qui contrôle tout. Tu ne risques donc absolument rien. Sauf si tu en fixes les règles.
- Quelle règles ?
- Qui fait quoi, avec qui, ensemble ou séparément, petits câlins ou relations complètes, avec ou sans pénétration…. Tout ce genre de petits détails qui peuvent être établis pour que chacun fasse ce qui lui plaît, dans la sérénité et le respect.
Cette dernière réflexion assez lourde de sous-entendu la rassure.
Elle ne cesse d’observer Dany, d’un regard fixe et insistant, le cœur battant plus vite dans sa poitrine. Bon sang, comment un tel homme pouvait-il exercer une telle fascination ? Et comment un si beau visage pouvait dégager d’un coup une telle perversité ? Ses yeux sont en parfaite harmonie avec la virilité de son visage, ses traits sont sensuels, pimentés par une bouche chaude et généreuse. Ses longs cheveux noirs comme du jais roulent sur ses épaules, comme animés d’une vie propre, avec la même vitalité qui semble émaner de tous les atomes de son corps. Marlène a du mal à garder la tête froide. Elle le saisit par le cou, et lui prend les lèvres.
Frank, toujours occupé à baiser sa jeune libertine, sursaute en croyant voir passer son épouse, avec un jeune inconnu. Il se lève, essaie de la rattraper...trop tard, elle a disparu. Il s’habille en hâte, et part à sa recherche. Mais le mas est immense, un vrai labyrinthe, et pour peu que l’homme soit un habitué des lieux, ça va être difficile de la retrouver. Au bout d’une bonne heure, et après avoir interrogés plusieurs personnes, il reconnaît l’inconnu qui a embarqué sa femme. Il le rattrape, le clou au mur.
- Ou est-elle...ou est ma femme ? Que lui as-tu fais?
- Oh mon pote, si tu savais comme je l’ai baisée...elle est vraiment bonne…
Frank pète un plomb, donne un coup de poing à l’inconnu, qui tombe à terre. Il le maintient, une main autour du cou, tandis qu’un attroupement s’est formé autour d’eux. Bizarrement, personne n’intervient, pensant le jeune libertin fautif.
- Enfoiré...je te crois pas...elle est pas comme ça…
- Pourtant, c’est elle qui m’a supplié de la baiser...elle a tenu à me tailler une pipe...elle a tout avalé... elle m’a même supplié de la sodomiser, qu’elle ne l’avais jamais fait. Demandes lui, tu verras si je mens.
- Et maintenant, ou est-elle ?
- J’en sais rien, quand je l’ai quittée, un autre mec est entré pour la baiser.
Frank en a assez entendu. Il relâche le jeune libertin, s’appuie conte le mur, la tête enfouie dans son coude. Il se dirige vers la sortie.
Un dernier regard, et il aperçoit Marlène sortir d’un long couloir, essayant d’arranger sa tenue, tentant tant bien que mal, de donner du volume à sa coiffure.
Il l’accueille à bras ouvert.
- Qu’avons-nous fait, ma chérie.
- On s’est perdu, répond Marlène en larmes, s’appuyant sur l’épaule de son mari.
- Mais...ou étais-tu...qu’as-tu fait.
- Chut...c’est fini..oublions cette nuit...rentrons à la maison.
Le couple, uni malgré une nuit torrentielle, quitte le mas en se tenant par la taille. Le temps des explications, et peut-être des regrets, viendra plus tard.
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