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Vaisselle, MILF et sexe à outrance

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 1 - Histoire postée le 14/08/2024

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VAISSELLE,MILF ET SEXE A OUTRANCE

Ca a été un samedi après-midi, à la mi-septembre que je l'ai VRAIMENT vue pour la première fois.
J'étais dans ma buanderie. Face à moi, mon portail, je laissais toujours un battant ouvert, et juste en face, une maison.
Elle habitait en face, mais tout ce que j'avais aperçu d'elle jusqu'à présent, c'était une silhouette dans une voiture, silhouette dont je n'avais pas distingué grand chose.
Elle est sortie de chez elle, a traversé le chemin, et je me la suis prise de plein fouet.
Elle était...La quintessence de la MILF. Celle qui fait fantasmer tous les hommes, du plus jeune au plus vieux.
On était en plein été indien, et elle avait une tenue en conséquence. Décontractée parce qu'on était au début du week-end.
J'aurais aimé que ces quelques secondes où elle a avancé vers moi durent une éternité.
J'en ai pris plein les mirettes.
Si on avait créé un concours Madame Sensualité (quoi qu'il devait bien exister quelque part...)et si elle s'était présentée, elle aurait gagné haut la main. Car elle était l'incarnation même de la sensualité. Il devait y avoir des filles plus jolies, plus jeunes, mais pas une sans doute ne suscitait un désir aussi immédiat que fort.
Elle était habillée simplement. Un short en jean, très court, et moulant autant qu'il était possible. Il dessinait clairement ses hanches, des hanches pleines, la pente de son pubis mais aussi, de manière extrêmement précise, le renflement de son sexe, et la fente qui coupait celui-ci en deux. Quand elle s'est tournée, plus tard, j'ai pu aussi apercevoir une croupe bien charnue, haute, coupée en deux par un sillon profond.
Le short était accompagné par un débardeur mauve. Deux fines bretelles, et un tissu lâche, sous lequel elle n'avait pas jugé nécessaire de mettre un soutien-gorge. Il soulignait deux loches bien pleines, et qui malgré son âge, ne pendaient pas et ne ballottaient pas. Le tissu marquait ses aréoles et deux tétons partiellement érigés.
Elle était très grande, j'aurais dit 1 mètre 85, avec des jambes sans aucun défaut.
J'étais dans la buanderie, occupé à une tâche pas bien glorieuse. Je faisais la vaisselle. Avec de bonnes piles de vaisselle devant moi.
Je commençais à comprendre que les calculs que j'avais pu faire jusqu'à présent n'étaient pas forcément bons. Je partais sur l'idée que je ne faisais pas la vaisselle dans la semaine, parce que ça m'ennuyait profondément, et que je m'y consacrais le week-end.
Il fallait que je revoie mon plan d'action. Parce que ça me faisait des piles de vaisselle sous les yeux, dont je n'arrivais pas à voir la fin.
Mieux valait que je fasse la vaisselle un peu tous les jours, et j'aurais un samedi plus tranquille.
D'autant que j'avais des restes de la semaine précédente.
J'avais une grande fenêtre, ouverte, parce qu'il faisait beau, et elle s'est calée juste devant. Elle m'a fait un grand sourire.
— Bonjour, je suis votre voisine, et je n'ai pas encore eu l'occasion de me présenter. Je vous ai aperçu, et vous m'avez aussi aperçue. Je m'appelle Sophie.
Elle m'a tendu la main. S'est rendue compte que la mienne était enduite d'eau savonneuse.
— Vous êtes en pleine vaisselle à ce que je vois. Et pas adepte de le machine.
— Je fais toujours la vaisselle à la main.
— Moi aussi. J'habite en face de chez vous. Je suis comptable dans un garage. Et je vis seule.
On se connaissait à peine, et elle me déclinait sa vie avec facilité. Il est vrai qu'on parle peut-être plus facilement aux gens qu'on ne connaît pas.
— Enchanté, je lui ai répondu. Comme vous avez du le remarquer, je suis ici depuis peu. J'ai acheté cette maison parce que je viens m'installer ici. Je suis responsable, depuis peu, des placements pour une compagnie d'assurances. Je connais déjà le département, j'y suis venu pour les vacances, et quand j'ai vu que le responsable prenait sa retraite, j'ai demandé le poste, et je l'ai eu.
Voilà. On se connaissait un peu mieux. Et je connaissais un peu mieux ses charmes. Vu que je les avais pile devant les yeux. Une belle paire de seins, dont le débardeur et l'absence de soutien-gorge me permettaient bien de profiter. Des courbes que le short soulignait bien. Des jambes magnifiques.
Je pensais qu'on allait en rester là. On s'était présentés l'un à l'autre.
Au lieu de ça, elle m'a dit :
— Vous voulez un coup de main ?
Je l'ai regardée, un rien surpris.
Elle a désigné les piles de vaisselle qui s'étalaient autour de moi.
— Ca fait....Très longtemps que vous n'avez pas fait la vaisselle,non?
— Pas tant que ça, non...
— Ca monte vite, quand on ne fait pas la vaisselle régulièrement. Ecoutez, voilà ce que je vous propose. Vous en faites une partie, je l'essuie. J'en fait encore une partie, vous l'essuyez. On arrivera bien au bout, à un moment.
J'aurais du avoir un sursaut d'orgueil. Lui dire carrément non. Même si j'y passais l'après-midi. Et puis j'ai changé d'avis. D'abord parce qu'on ne refuse pas l'aide qu'on vous propose. Ensuite parce que j'avais envie de la garder un peu plus près de moi. J'étais sous le charme. Elle était très attirante. Et aussi très chaleureuse. Les deux combinés...
Elle s'est glissée dans la buanderie. Je finissais de rincer une quinzaine d'assiettes. Elle les a essuyées et rangées.
— Je prends la suite.
Elle a fait glisser dans le bac de gauche, celui où je lavais, plusieurs plats.
— Vous auriez du les laver tout de suite. Ils vont être durs à avoir. Bon, on va y arriver.
— Ca fait longtemps que vous êtes ici?, je lui ai demandé.
— J'étais dans la région lyonnaise. A l'époque, je vivais avec un homme. Il s'est rapproché, il était d'ici et on a acheté cette maison ensemble. Et puis, c'est la vie, on s'est séparés. Je lui ai racheté sa part de la maison. Elle m'appartient totalement aujourd'hui.
C'est à ce moment-là que l'incident s'est produit.
Elle avait les mains dans le liquide et elle récurait les plats, quand l'une des bretelles du débardeur est descendue, suivie par l'autre. J'étais derrière elle, et j'ai vu le tissu partir. Elle a sorti les mains de l'eau, s'est retournée vers moi, me présentant sa poitrine nue. Ce qu'on voyait à travers le tissu ne mentait pas. Elle avait une belle poitrine, haute et ferme. Et ses tétons pointaient bien, on aurait dit qu'ils avaient encore grossi depuis que je les avais observés quand elle était de l'autre côté de la fenêtre. Ils étaient épais et durs. L'espace d'un instant, j'ai eu envie de poser ma bouche dessus, de les caresser de la langue.
— Vous pouvez me remonter le débardeur...? Ça m'évitera de me laver les mains, de les essuyer...
Les mains un peu tremblantes, j'ai attrapé les bretelles du débardeur, et je les ai remontées vers le haut. Le tissu a de nouveau enveloppé sa poitrine. J'ai bien calé les bretelles sur ses épaules. Mais elles descendraient sans doute à nouveau.
Elle a rincé les plats, je les ai essuyés.
— C'est à mon tour, j'ai dit.
Il y avait une seconde pile d'assiettes qui attendait. Je me suis mis au travail.
J'étais en plein savonnage quand elle m'a dit:
— Ca vous dirait que j'enlève un vêtement?
Je me suis retourné vers elle, me demandant si j'avais bien entendu. Elle m'a souri.
— Vous savez, je me suis habillée pour venir vous voir, mais chez moi, je suis tout le temps à poil. J'aime bien faire la vaisselle à poil. Et là, je ressens un manque.
Je ne savais pas trop quoi dire. On se connaissait à peine, et elle voulait enlever ses vêtements devant moi. En même temps, ça ne changeait pas grand chose. Elle était déjà à moitié nue, et elle venait de me balancer ses seins sous les yeux, même si elle n'était pour rien dans la chute du débardeur. Quoique...Pour me rendre visite, elle avait peut-être choisi un débardeur dont elle savait que les bretelles allaient glisser facilement...Non, je devenais parano.
Et hop, je pensais qu'elle allait enlever le débardeur, mais c'est le short qui y est passé.
Elle le portait à même la peau, et j'ai eu la surprise de découvrir son anatomie la plus intime. Un buisson brun, fourni mais impeccablement taillé en triangle. La pente descendante de son pubis et le renflement de son sexe, dont dépassaient ses lèvres. Quand elle s'est tournée pour attraper un torchon sec, j'ai aussi aperçu ses fesses, bien pleines, bien charnues, comme tout homme les aimait, coupées en deux par un sillon profond.
Le fait qu'elle ait gardé le débardeur donnait un aspect troublant à sa nudité, plus que si elle s'était entièrement dépoilée.
En rinçant et lui tendant la vaisselle, je me suis dit que je ne m'attendais vraiment pas à ce que ce samedi prenne cette dimension. J'avais l' oeil accroché à elle. Elle avait un joli corps. Un joli corps de MILF. Épanoui dans ce qu'il y avait de meilleur. Je me rappelais que ça faisait pas mal de temps, trop occupé par mon travail et mon déménagement, que je n'avais pas fait l'amour à une femme.
Je commençais à me demander si sa visite était réellement guidée par le simple désir de se présenter, et si, au-delà, elle n'avait pas envie plutôt de me séduire. Elle m'avait aperçu. Je lui avais plu. Elle était célibataire. Elle s'était dit : 'On va faire une tentative de séduction.'
Si c'était le cas, elle était totalement réussie.
Qui n'aurait d'ailleurs pas été séduit par elle? Elle était attirante au possible. Et sans doute bien consciente de ses capacités de séduction.
On arrivait en fin de vaisselle. Il restait les couverts. Elle a pris la suite.
— On aura bientôt fini, je lui ai dit. Je voudrais vous remercier. Vous n'étiez vraiment pas obligée de m'aider.
— J'ai toujours aidé les autres.
— Ca vous dirait un café?
— Avec plaisir. Cet après-midi, pour une fois, je n'ai rien à faire. Tout le temps pour moi.
On a enfin bouclé. Les couverts essuyés et rangés. Et la certitude que je ferais autrement la prochaine fois. Petit à petit.
Quoi que je n'avais rien à regretter. Ca m'avait permis de faire connaissance d'une brune hyper-sexy qui se tenait à côté de moi quasi totalement nue.
--On le prend ce café?
On est passés dans le corps de la maison proprement dit. Quand je me suis retourné, si elle tenait son short à la main, c'était le cas du débardeur aussi. Elle était entièrement nue.
— Vous êtes vraiment une jolie femme, je lui ai dit.
Elle a souri.
— Un compliment, ça fait toujours plaisir.
Il y avait d'autres choses que j'avais envie de lui dire. Que j'avais très envie de mettre mes mains et ma bouche sur elle. Est-ce qu'elle le sentait? Elle n'était pas stupide.
Elle s'est laissée tomber dans mon canapé, pendant que je faisais les cafés.
— Si vous voulez, je peux faire un thé aussi.
— Non, non, un café ça m'ira très bien. Et aussi ta langue sur ma chatte. Tu crois que c'est possible?
Je me suis retourné vers elle.
La situation avait évolué en quelques secondes. Elle avait basculé en arrière, ramené ses jambes sur le divan, s'était largement ouverte et elle se masturbait. Elle avait une main sur les lèvres de son sexe, main qu'elle faisait tourner dans un mouvement circulaire, classique, mais efficace, à en juger par la manière dont son sexe s'ouvrait, ses lèvres se gorgeaient de sang, son gland clitoridien se décalottait et gonflait, et aussi elle coulait, un liquide sirupeux qui sortait de son sexe, et se répandait sur sa chair. Son autre main était sur ses seins et pinçait des tétons qui semblaient avoir des capacités érectiles impressionnantes.
— Ca te dit?
J'ai mis un moment à répondre. Non que je n'aie pas envie, mais j'étais hypnotisé par la scène. Tous les hommes aiment voir une fille se masturber devant eux.
— A quel homme ça ne dirait rien.
— Il y en a qui détestent faire un cunni à une fille. Moi ça me rend folle.
— Je crois que je ne suis pas trop mauvais sur ce coup, je lui ai répondu.
Je me suis approché avec les deux cafés brûlants et je les ai posés sur la petite table basse qui jouxtait le divan. Et je me suis agenouillé, me retrouvant avec le visage à deux centimètres de son ventre. Deux heures plus tôt, on ne se connaissait pas, et maintenant je voyais ses parties intimes de très près.
J'ai donné un bon coup de langue de bas en haut, au milieu de son sexe, prenant dans la bouche une bonne rasade de ce liquide sirupeux qui coulait d'elle, et qui semblait plus abondant à chaque seconde. Goût amer, unique.
J'aurais pu en boire des litres.
Elle a poussé un gémissement.
Le premier d'une longue série de gémissements dans les secondes et les minutes qui ont suivi.
Il fallait croire que je n'étais pas totalement mauvais. En tout cas, je m'appliquais. Dans un premier temps tournant sur ses lèvres, sa cyprine arrosant ma bouche. Elle se masturbait fébrilement pour compléter son plaisir, deux doigts réunis autour de son gland clitoridien, suffisamment épais pour qu'elle puisse le masturber comme elle aurait masturbé une petite bite.
J'ai dardé ma langue pour la plonger en elle, aussi loin que je pouvais rentrer dans son sexe, ce qui n'était pas si difficile que ça. Son excitation, son auto-caresse et ma langue sur elle l'avaient dilatée de minute en minute, et elle était très ouverte, suffisamment en tout cas pour que je puisse la caresser à l'intérieur, et aller relativement loin sur ses parois internes. Elle arrosait ma bouche de ses sécrétions, abondantes et épaisses...C'était bon. Je me suis défait, parce que ma queue prenait le même chemin que son sexe, aussi gorgée de sang que sa vulve l'était, et elle était douloureuse à force d'être comprimée par les tissus qui l'entouraient. J'avais le ventre en feu.
Elle a bien senti que je me défaisais, car elle a tendu la main vers ma queue.
— Laisse-moi te caresser. Ca fait trois semaines que je n'ai pas eu une queue dans la main, dans la bouche, ou dans ma chatte. Je suis trop en manque.
Je me suis redressé. Elle m'a masturbé doucement, allant et venant sur ma tige qui était roide de désir, s'arrêtant quand elle sentait que j'allais jouir.
— Comment vivre sans queue?
— Je te plais vraiment ou c'est juste parce que j'ai une queue que tu es venue vers moi?
— Tu me plais énormément. Je me suis dit qu'il fallait absolument que je tente quelque chose. Avoir quelqu'un qui te fait triper juste en face de chez toi, ça veut dire que tu n'as pas besoin d'aller chercher loin quand tu as envie d'une queue. Pour quelqu'un qui a le feu au cul comme moi, c'est l'idéal. Chaque fois que j'aurais envie de sexe...Je viendrai à ta porte...
Et pour me prouver que ça valait la peine d'aller vers elle, elle s'est penchée sur ma queue, et elle a entrepris une fellation, qui disait clairement qu'elle avait l'habitude de caresser des queues. Sa langue sur moi, chaude souple et habile...Je me suis mis à couler autant qu'elle. Elle a lapé mes liquides, avide. Elle a avalé ma queue et elle a fait aller et venir sa bouche dessus. C'était bon...
Je ne savais pas ce qu'allait devenir notre relation, mais si on allait au-delà de cette fois, ça serait bon pour moi aussi. Une partenaire qui aimait le sexe, habile...Et qui habitait juste en face de chez moi. Je n'avais pas à regretter d'être venu dans la région.
— Tu as des capotes ou tu veux que j'aille en chercher chez moi, elle a demandé en lâchant ma queue.
— J'ai ce qu'il faut...
J'ai été ouvrir un tiroir et j'ai vérifié la date de péremption. C'était bon.
Je l'ai rejointe. Insatiable, elle avait réuni son index et son majeur et elle se fouillait avec, faisant jaillir d'elle des jets de mouille.
— Donne-moi le préservatif. Je vais te le mettre.
Je me suis d'abord dit que ce serait avec la main, avant de me dire qu'avec elle, je ne connaîtrais jamais la norme, mais plutôt l'imagination. Ce à quoi je ne pensais même pas.
Elle a déchiré l'emballage de la capote, et elle est venue, en ouvrant la bouche, la coller contre ses dents. Je n'ai compris pourquoi que quand elle s'est penchée sur moi et qu'elle est descendue, me prenant dans sa bouche, puis dans sa gorge, une sensation qui s'est effacée car elle est remontée tout de suite. Avec sa bouche, en tout cas, elle avait posé le latex sur ma queue érigée.
— Viens...Je veux te sentir en moi. Que tu me remplisses et que tu me fouilles bien. Tu te sens capable de faire ça?
Il y avait des défis que je ne me sentais pas capable de relever. Celui-là si. J'ai plongé sur elle. Elle a attrapé ma queue et elle m'a guidé pour rentrer dans sa vulve, m'enveloppant de sa gaine chaude et très mouillée. Sensation très forte. Je me suis rendu compte que, si elle était en manque, moi aussi. Pas de sexe ces derniers mois. Et la joie de retrouver les plaisirs physiques. Je me suis mis à bouger en elle. Une caresse exquise. C'était...Irremplaçable d'être dans un sexe de femme. Son corps, son visage, disaient le plaisir qu'elle pouvait avoir. On comprenait bien, à la voir, qu'effectivement, ça avait du être dur de ne pas avoir de plaisir pendant plusieurs jours, et combien elle était heureuse d'avoir retrouvé des moments charnels.
Elle m'a éjecté hors d'elle, luisant des jus qui l'arrosaient et elle a changé de position, se mettant à quatre pattes.
— A chaque position, un plaisir différent, suggéra-t-elle. Avec la levrette, j'ai toujours la sensation que la queue va plus profond, qu'elle remonte. C'est tellement bon.
Je suis venu juste derrière elle. Elle n'aurait pas à me guider, sa chatte était tellement ruisselante et dilatée de plaisir que je suis rentré facilement, pour la fouiller sous un autre angle. C'était bon comme ça. On avait du plaisir ensemble, ce que je n'aurais pas imaginé quand je l'avais vue traverser la rue. En tout cas, pas si tôt.
J'avais bien compris qu'elle était imaginative et qu'elle ne reculait pas devant grand chose, mais je ne m'attendais pas à ce qu'elle m'a dit, alors que je la fouillais:
— Le nec plus ultra pour moi, le plaisir le plus raffiné qui soit, celui qui me fait monter le plus haut et me donne les orgasmes les plus puissants, c'est celui-là...
D'une contraction, elle m'a expulsé de son vagin et elle a amené ma queue dilatée comme rarement un peu plus haut, contre ses plissements anaux qui étaient dans ma ligne de mire. Elle m'a posé contre et m'a simplement dit:
— Pousse...Ca va rentrer tout seul. Je suis habituée à me faire enculer, crois-moi.
Je suis rentré en elle avec une facilité étonnante. Elle m'a avalé quasi totalement. Une cavité chaude et serrée.
Dans les minutes qui ont suivi, son plaisir a suivi une autre trajectoire et pris une autre dimension. Elle a crié, parlé, son corps a frémi, tremblé, s'est tendu...Le plaisir était tellement fort qu'elle inondait littéralement le divan, de ses jus intimes qui ruisselaient. Elle a hurlé quand elle s'est mise à jouir, perdant totalement le contrôle, éjaculant de grands jets plus épais, blancs comme du sperme.
Le divan s'en souviendrait.
On est restés allongés dessus, elle reprenait ses esprits, jusqu'à ce qu'elle se rende compte que je n'avais pas joui, et que ma queue, sortie d'elle, demeurait dure comme du marbre. Elle y a jeté un coup d'oeil intéressé.
— Voilà une belle queue qui peut encore servir.
Elle a jeté un coup d'oeil à la pendule.
— Déjà 17 heures...Je n'ai pas vu l'après-midi passer. Tu me laisses une demi-heure, je vais préparer l'apéro, quelque chose pour dîner. Tu me rejoins, et après et on passe la soirée à profiter de cette belle queue bien raide qui ne veut pas débander. Ça te dit ?
Elle s'est rhabillée et elle a momentanément disparu.
Une belle soirée en perspective. Et sans doute aussi la promesse de semaines et de mois à venir vraiment sympas.



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Histoire de JamesB

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Commentaires du récit : Vaisselle, MILF et sexe à outrance

Le 16/08/2024 - 21:56 par JacBZH
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