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Vive le télétravail 2

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Lue : 0 fois - Commentaire(s) : 0 - Histoire postée le 02/09/2024

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Claude presque entièrement absorbé par son travail, avec juste dans un coin de sa tête une pensée pour ce qui s’était passé le jour précédent.
Mais cette petite pensée suffisait à lui donner un début d’érection.
Marie allait-elle à nouveau jouer la secrétaire lubrique, comme elle l’avait suggéré ?
Aujourd’hui, il n’avait pas de téléconférence, il était assez libre de son temps.
Il pouvait toujours bosser tard, pour ne pas prendre de retard.

Mais Marie avait une autre idée en tête.
Alors que Claude était assis devant son ordinateur, il entendit Marie monter l’escalier en bois.
Elle apparue vêtue d’une tenue de soubrette. Elle se plaça devant lui, et dit :
- j’espère que cela ne dérange pas monsieur si je fais le ménage pendant qu’il travaille ?
- Pas du tout, vous arrêterez seulement de faire du bruit si je reçois un appel
- Bien monsieur, comme il vous plaira
Marie commença de l’autre côté de la grande pièce du grenier, aménagée en chambre d’amis.
Elle replaça les coussins, tira sur les draps pour rendre le lit impeccable.
Claude admirait les gros seins de Marie, qui dépassait de plus en plus du léger haut en forme de tablier de sa tenue.
Elle lui tourna le dos pour passer un coup de chiffon sur la table de nuit, en baissant plus de que raison.
Claude s’aperçut immédiatement qu’elle ne portait rien sous la très courte jupe fendu de la tenue.
En tout cas, pas de sous vêtement. Car il y avait bien quelque chose. Un bout de silicone dépassait de ses lèvres intimes, avec un clignotement régulier.
Claude avait déjà vu ce type d ‘œuf vibrant dans des ventes en ligne, il ignorait que Marie s’en était acheté un.
Pendant qu’il regardait les fesses de Marie, hypnotisé par le clignotement, elle ouvrit le tiroir, se releva et revint vers lui avec une petite télécommande.
- Si vous avez besoin de quoi que ce soit, il suffit de me sonner avec ceci, lui dit elle en lui donnant la télécommande.
Puis elle retourna au fond de la pièce, passant le chiffon sur les meubles.

Claude la laissa continuer quelques instants, admirant le balancement des seins et le mouvements des fesses alors qu’elle nettoyait.
Mais son téléphone sonna. C’était un collègue qui avait surement un nouveau projet client à lui soumettre.
Il répondit. C’était effectivement pour un nouveau projet.
Il écoutait attentivement la description faite par le commercial, en fixant son écran car il lui partageait des documents.
Il jeta cependant un œil en direction de l’autre extrémité de la pièce.
Marie s’était couchée sur le dos, les seins dépassant de part et d’autre du tablier, le sexe épilé bien visible.
Claude attrapa la télécommande, et appuya 1x sur le bouton +, afin de mettre en route l’œuf à faible vibration.
Marie fit mine de se lever, mais il lui indiqua de la main de rester couchée.
Elle se remit sur le dos, mais les jambes plus ouvertes, offrant une vue directe sur son sexe entièrement épilé.
Claude pressa une seconde puis une troisième fois sur le +.
Un léger vrombissement se fit entendre, et Marie réagit presque immédiatement : elle releva les genoux, et écarta les jambes.
Les grandes lèvres étaient maintenant ouvertes, luisantes de l’huile de coco dont elle faisait toujours abondamment usage, et le bout de silicone de l’œuf dépassait des petites lèvre, clignotant au rythme des vibrations.
Tout en prenant des notes sur son ordinateur, Claude voyait du coin de l’œil Marie, qui commençait à onduler du bassin sous l’effet des vibrations.
Il augmenta alors la cadence au maximum. Il vit de son bureau l’effet des puissantes vibrations : les petites lèvres vibraient avec l’œuf, et Marie avait maintenant deux doigts sur son clitoris tout en restant silencieuse.
De son autre main, elle attrapa la queue de l’œuf qui dépassait, et commença à la faire aller et venir dans son sexe. Elle n’en avait visiblement plus pour très longtemps avant d’arriver au sommet de son plaisir solitaire.

Mais le collègue de Claude fit une remarque :
- Il y a comme un bruit incessant sur la ligne, ça vient de chez toi ?
Claude, sans réfléchir, répondit immédiatement :
- Il y a un voisin qui passe la tondeuse dans son jardin, ce doit être ça. Attend, je ferme la fenêtre
Claude se leva, la télécommande en main, et alla jusqu’à la table de nuit, dont il sorti un gode en silicone translucide.
Debout devant Marie, il arrêta l’œuf avec la télécommande, saisi l’œuf et tira jusqu’à le faire sortir, et tendit le gode à Marie.
Puis il retourna vers son bureau :
- Ça va mieux comme ça ?
- Oui, je n’entends plus rien. Ton double vitrage est efficace.
Il continua le debrief avec son collège, tout en jetant un œil vers Marie.
Elle s’était retournée, s’était mise à genou sur le lit, la croupe vers lui, et commençait à se goder, avec force. Elle ne voulait pas laisser retomber son excitation.

Claude était à la fin de son appel. Il raccrocha sans que Marie ne s’en aperçoive, concentrée sur son plaisir.
Il s’approcha doucement, et remis l’œuf en route, en posant une main sur une fesse de sa femme.
Elle senti enfin sa présence, alors que, l’œuf dans sa main droite, il le plaqua entre les fesses, puis le fit descendre doucement jusqu’au clitoris.
Marie commençait déjà à vibrer sous l’effet des pulsations.
Elle avait lâché son gode, et se laissait faire. Claude montait et descendait maintenant avec une régularité de métronome, de son anus à son clitoris, en poussant à chaque fois l’œuf à la limite de la pénétration entre ses petites lèvres.
Marie ne tint pas longtemps. Elle laissa éclater sa jouissance, longtemps retenue pendant qu’il était en ligne.
Claude savait qu’il ne pouvait continuer son aller-retour. Il en profita pour pousser l’œuf dans le sexe de Marie, qui émit un supplémentaire.
Claude s’était déjà débarrassé de son caleçon (en télétravail, pas de pantalon).
Sa main gauche toujours sur la fesse de Marie, il poussa légèrement pour placer l’entrée divine devant sa verge tendue, et le pénétra doucement mais sans s’arrêter , jusqu’au fond.
Il sentait à la fois la douceur moite du sexe de Marie, et l’œuf, placé à environ la moitié de son sexe, et qui vibrait avec force.
il se sentait étrangement à l’étroit dans le vagin, et chaque aller/retour provoquait un blocage à légèrement forcer pour aller plus profond.
Marie, elle, n’avait pas le temps de se poser de questions ; elle n’était pas encore sorti de la première vague de plaisir que cette sensation d’avoir un sexe complètement rempli la submergea.
Elle enchaina un second orgasme, pendant que Claude se concentrait sur ses propres sensations.
Ses mains étaient toutes les 2 sur les fesses de Marie, la droite bloquant l’excroissance de l’œuf pour qu’il n’aille pas se perdre dans le sexe de Marie.
Une idée perverse traversa le cerveau de Claude ; il fit légèrement glisser le bout clignotant de l’œuf vers l’œillet de Marie, et, tout en continuant ses mouvements, il enfonça la queue en silicone, accompagnée de son pouce, dans le fondement de Marie.
Marie arrivait à un seuil de jouissance rarement atteint. Elle tendit instinctivement la croupe pour que le pouce la pénètre complètement, avec une folle impression d’avoir l’œuf vibrant dans ses 2 orifices à la fois.
Claude regardait les fesses de Marie, dont l’orifice anal clignotait par semi transparence, son pouce planté jusqu’au fond, et sentait son sexe maintenant également serré à sa base par le reflexe instinctif de Marie à la pénétration anale.
Il ne tint plus, et poussa une dernière fois son sexe au plus profond, pour décharger longuement. L’œuf, qui vibrait toujours, lui fit également atteindre un plaisir rare.
Il se retira, alors que Marie s’écroulait sur le lit et se débarrassait de l’œuf qui continuait de vibrer, comme si elle était à la limite du supportable.
Claude s’écroula à coté d’elle.
Au bout de 5 minutes, Marie se releva, rajusta sa jupe et son tablier, et lança :
- J’espère que monsieur est satisfait de mon service.
- Absolument, c’est parfait. Je vous remercie et vous demande de revenir régulièrement
- Comme il vous plaira. Je propose à Monsieur d’acheter un plumeau, c’est un outil qui manque à ma panoplie
- Faite
Et sur ces mots, Marie quitta l’étage
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Histoire de benoitClaude

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